Intrigue 1 ☠ No Mercy in Hospital ☠ Groupe 3 ☠ Sujet RP

Buuuuuuuuuuuuurn baby buuuuurn !:

Pas trop poisseux ? :

Tadaaaa :

Elle ne s'en tire pas si mal ! :

Pouvoir du prisme lunaiiiiiire ...:

Il cracha sur les débris de la porte et entreprit de reconstruire le peu de gros morceaux qui restaient pour qu’elle fasse semblant de tenir la route. Oui, s’il avait eu de l’imagination sur le moment, il aurait appelé ça, le jeu des Lefos, où on peut tout construire avec des petits morceaux. Mais il n’avait malheureusement pas eu la présence d’esprit. Ou en tout cas, le processus de sa pensée avait été mystérieusement interrompu par un quelconque événement. Quelconque, mais pas bénin.

Sa passion du crachat augmenta subitement, pendant que ses jambes tournicotaient sur elles-mêmes, dans la plus belle tentative de valse solo qu’il avait jamais essayée. Et puis elles retombèrent toutes seules comme de pauvres choses sans vie. Et il se prit le sol. Il n’avait pas la réputation de quelqu’un qui tombe facilement, mais là. Il devait reconnaître que la situation jouait en sa défaveur.
Il sentit le sol trembler pendant que la médicomage venait vers lui. Genre il allait mourir ! Hey, c’était Dorion Volk, c’est pas parce que y’a deux mangemorts qui se pointent à Sainte-Mangouste pour manger une galette, qu’il va avoir les boules. Par pur réflexe, il cracha à la figure de la bonne femme.
Dans la seconde même, elle se mit à convulser. MERDE, SON CRACHAT FAISAIT CONVULSER. Putain de caleçon de Merlin. C’était quoi qu’on lui avait refilé ? Sérieusement ?! Mais peut-être que ça pourrait les aider à sortir de là, qui sait. Enfin, s’il pouvait se déplacer sans faire penser à une limace en perte de vitesse après une intense session de saut de haies olympique. Pour l’instant, c’était complètement raté.

Et puis il prit soudain conscience que non, ce n’était pas de la faute de son crachat si elle convulsait. C’était juste de la faute d’un abruti  congénital qui avait foutu n’importe quoi et qui réclamait des chemises. Il faillit lui demander pourquoi il voulait des vêtements.
Et un deuxième éclair de génie lui traversa le crâne. OH YEAH. IL VEUT DES DOSSIERS ET OH MON MERLIN, ON SERA ….

Hey, il fait quoi le Marcelin là ? Il branle quoi le Black ? On peut m’expliquer ? Normalement il est pas aussi con quand il a pas bu. Enfin, c’est ce que supposait Dorion, la personne qui écrit sait très bien que Sirius est un peu pas frais sur les bords. (Un peu, beaucoup, passionnément, sacrées marguerites !)


Dorion se jeta sur lui, pour lui faire comprendre le fond de sa pensée. En même temps, heureusement qu’il était près de lui, parce que le saut d’une limace n’est jamais dans les records du monde. Étrangement. Il faillit se prendre un sort, qui alla faire un feu d’artifice. Il entendit l’engueulade monumentale de la sexyness. Il chuchota « Tu fermes ta gueule Black, j’ai pas envie de crever. De toute façon, j’ai toujours l’impression que je vais mourir quand t’es le coin, alors tu te tais sinon je t’étouffe en te crachant dans la gorge. » Puis de reprendre à voix haute, à l’intention de Dolohoupette, « C’EST BON, ON FERA CE QUE VOUS DITES, VOUS AUREZ LES CHEMISES. »

Et à Black de se débattre dans les  régles de l’art. Apparemment, le sang revenait dans ses jambes, avec lui, des fourmillements. Il en profita pour donner quelques légers coups contre Black, en le regardant. « Quoi ?! J’ai des fourmis dans les pieds ! Bouge pas, tu me fais mal ! »

Et de se faire répliquer vertement à la gueule. Il lui cracha dessus. (Il avait promis, il n’était pas sûr que c’était dû au sort même.) Et lui plaqua la main sur la bouche.
« Au dodo, petit alpaca.
Brosse toi les dents, ou l’épouvantard viendra.
Ferme les yeux, ou le doxy y rentrera.
Fais de beaux rêves ou le basilic te mangera.
Dors, mon botruc. »
Oui, certes, c’était la comptine qu’il chantait à son fils quand il ne voulait pas dormir.
Il entend des trucs qui se brisent derrière lui, mais non il ne se retournera pas. Cette fois-ci, il n’y avait pas Borridge pour lui sauver la mise quand il était en manque d’attention sur sa cible principale.

On lui avait enseigné à agir dans l’ombre, pas à se battre ouvertement. Vous n’êtes pas des guerriers disait son grand-père. Vous êtes des agents de l’ombre. Apprendre à viser juste, à anticiper le mouvement de l’autre pour mieux l’atteindre. Toucher sans être touché.  Honnêtement, elle n’avait jamais été la plus douée dans ces exercices. C’était peut-être un peu pour ça que sa famille ne lui avait pas trop fait la gueule pour son changement d’orientation professionnelle ne collant pas aux ambitions familiales.

Sauf que ce n’était plus un jeu.  Même qu’elle avait failli y rester. La bouffée d’air qui pénétra dans sa bouche fut plus que bienvenue et Sorcha lança un regard plein de gratitude à sa sauveuse. Pas le temps de s’étendre en larmoiement et en remerciements interminables. Il fallait poursuivre. Tout faire pour ne pas abandonner l’étage aux mains de l’ennemi. L’objectif était clair : le bureau de Fowles. Tenant fermement sa baguette entre ses doigts, Sorcha ouvrit la marche, quoi qu’en dise Aiden. Car c’était son environnement. Des éclats de voix. L’ennemi les avait donc devancés? Mais combien étaient-ils, bordel de goule?

Sauf que… cette voix… Un ennemi forcément! Comment pouvait-on être guidé par de telles aspirations? Comment osait-il ainsi se retourner contre l’hôpital? Et tout ça pour quoi? Pour des dossiers? Elle avait envie de lui cracher au visage.

« Comment oses-tu…! »

Une colère sourde monta en elle et elle tâcha d’employer toute cette énergie pour tenter de toucher le Mangemort qui semblait guider les opérations [Dolohov, donc]. Il fallait à tout prix l’empêcher de poursuivre son abject dessein. Aquaeructo! pensa-t-elle de toutes ses forces. Une trombe d’eau jaillit de sa baguette.

Comment disait-on déjà? L’arroseur arrosé? Sorcha fut projetée violemment vers l’arrière. Heureusement dans sa malchance, quelqu’un amortit sa chute [frérot peut-être?] Sorcha était désormais toute trempée et si elle avait été un tant soit peu comme sa cousine Alshaïn, elle aurait hurlé à la mort à cause d’un brushing foutu ou un ongle cassé. Cette pensée la rasséréna quelque peu et elle trouva la force de libérer la pauvre personne qui avait eu l’obligeance d’amortir sa chute. Bien vite, elle sentit sa peau lui brûler, l’eau était terriblement chaude, mais elle n’avait pas de pâte pour les brulures sous la main. Si jamais ils sortaient vivants de cet enfer, ce serait le premier geste qu’elle poserait.

MANGE TA MORT ! (Ou pas ?):

Le dé de la non-collaboration:

Mission kamikaze ! (pis en fait non, pasqu'elle a trop bobo en fait):

Il entendit un bruit bizarre venir de dehors. Et étrangement, il n’aimait pas ce bruit. Il ne l’aimait pas du tout. Il avait envie de lui faire la peau. Non, on ne peut pas faire la peau à un bruit. Dorion le sait, voyons !

Putain, c’était une femme qui criait, et … Merde, Rosier ne venait pas tout juste de sortir avec les dossiers en main ?! Putain, un bordel monstre se créait devant lui alors qu’il avait très envie de laisser le Black s’occuper du mangemort qui voulait leur peau.

Dix quoi ? Secondes ? Est-ce que c’était déjà humainement possible de faire quelque chose en dix secondes ? Non, et pour avoir travaillé longtemps avec Borridge, on se rend rapidement compte que même vingt secondes ne suffisent pas. C’est ça, c’était sûrement un sang-pur de mes deux, du genre qu’on avait envie d’étrangler dans son dortoir. Sauf les Prewett, ils étaient sympas les Prewett. Le genre de petit connard prétentieux, il pouvait même être sûr que c’était un serpentard. Il puait la mue à des kilomètres à la ronde.

Et en plus, EN PLUS, IL OSE NOUS PRENDRE EN OTAGE. Sapristi ! Dorion Volk quoi, tu le prends pas en otage, déjà tu le prends pas tout court. Et ensuite, tu lui fais de la place parce qu’on touche pas à ses copains. Surtout pas à des gens du Ministère. Que nenni, ce n’est pas le genre de la maison de tout laisser en partant.
Bon, il lui fallait réfléchir deux secondes. Il tapa dans une de ses jambes, avant de se rendre compte qu’il n’avait aucune sensation. MERDE, ALERTE ROUGE. Il baissa les yeux pour s’apercevoir que c’était sur Black qu’il tapait. Il s’excusa et se leva d’un bond. Les jambes : check. Deuxième phase de la reflexion, trouver un moyen de sortir de là. Peut-être essayer un truc de groupe. Il croise le regard de la bombasse, et ..

Ok, d’accord, passe devant que veux-tu. Elle vida un garde de son sang, Dorion fit apparaître une pancarte au-dessus de sa tête avec un dix dessus. C’était une très belle prestation, les plus grands duellistes devaient être fiers. Il la fit disparaître quand elle se prit quelque chose dans la main. Une quoi ? Une statue de chat qui était laide comme un pou ? Mais dans quel bureau étaient-ils tombés ? De une, des dossiers pourris, qui ne servaient à rien qu’à choper des doloris, et ensuite des statuettes de chaton. Mais à quand l’hippopotame qui vient voleter au-dessus d’eux en répandant de la poudre de PerliMerlin ?

Bon, il n’allait pas laisser tout ça tel quel, il lui fallait faire quelque chose, mais quoi ?
« ET TA MERE CONNARD ?! » Bam, Dorion évite un sort qui fait exploser quelque chose derrière lui et se prend des trucs dans le crâne. Qui a dit que la nuque était un endroit sensible ?

Dorion se penche à la porte, enfin l’encadrement, et lance un « Inanimatus Apparitus Armoirus, fils de sirène ! »
Dorion se dit à ce moment, que peut-être armoirus n’est pas le nom latin de la chose. Ni fils de sirène, tout au plus, des gouttes et de la sciure tombe sur Dolohov qui lui renvoie aussitôt un sort. Oups, c’est le mut à côté de sa tête qui prend. Il encaisse le choc, mais la vague fait tomber Dorion en arrière. Oh, c’était un coccyx ça ?

DEEEEEEEEEEEEEEE:

Parce que lancer un sort dans ces conditions, ça va pas être évident...:

Sorcha mena la marche jusqu’au bureau de Fowles. Comment en étaient-ils arrivés-là ? Sainte-Mangouste était un endroit où le maître mot était les soins : soigner les malades. Et voilà qu’aujourd’hui que la bâtisse était synonyme de combat. Severus espérait n’avoir touché personne. Il ne voulait pas être responsable de la mort de quelqu’un qui ne le méritait pas. Sa mâchoire lui était toujours douloureuse mais il survivrait. Une bonne étoile flottait au-dessus de sa tête aujourd’hui. Il avait eu beaucoup de chance. Ils devaient y aller, se diriger vers le bureau alors que les autres s’occuperaient des Mangemorts restant. Parfait. Cela lui allait très bien … Sauf qu’il ne se doutait pas que d’autres têtes encagoulées seraient présentes.

Des éclats de voix les avertirent du danger avant de se lancer tête baissée. Il y avait bel et bien du monde sur place. Severus regarda avec agacement le sort de la brune se retourner contre eux. C’était mal parti. Hein ? Il avait bien entendu ? Leur supérieur avait peut-être décidé de se rendre mais que quelqu’un le vende pour sauver leur peau, Severus n’était pas certain que ça le botte. Quoique, peut-être que si. Il y tenait tellement à ce que personne ne soit blessé que ça aurait pu être possible de sa part mais le brun n’était pas certain d’approuver cette façon de penser même s’il tenait à la vie avant tout. Il n’avait pas envie de prendre cher mais n’avait pas non plus envie d’être traité de traître ta race parce qu’il avait fait ce que ce type avait venait de faire. Dilemme crucial qui lui avait été ôté. Marche ou crève. Que voulaient-ils à la fin ? Des dossiers ? Fowles ? Le beurre et l’argent du beurre et le cul de la fermière ? Un peu du tout mélangé à la fois. Ils n’avaient peut-être cependant pas prévu tout ce qui venait de leur tomber sur la gueule depuis leur attaque. Ils avaient peut-être une chance de s’en sortir sans pour autant vendre leur chef ni même quoique ce soit. C’était du rêve, du délire. Le rêve était utopiste mais possible alors il fallait tenter. Le chef, ses acolytes ? Qui viser ? Etait-il assez fou pour tenter une brèche au risque des conséquences ? Il n’en était pas certain. « Incarcerem » La réaction est plus sévère que son sort manqué. Le Serdaigle n’a que le temps de rager face à son inutilité avant de voler au loin dans le corridor.

Spoiler: