Aliénor de Vigneral [Terminée]
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Célène Fraser
Aliénor de Vigneral
6 participants
Le Crépuscule des Sorciers :: Avant toute chose :: Etat civil des Personnages :: Présentations Validées
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Aliénor de Vigneral [Terminée]
۞ ÂGE : 31 Mars 1956, 22 ans. ۞ NATIONALITÉ : Française. ۞ ÉTAT CIVIL : Célibataire, encore pour un temps sans doute. ۞ SANG : Sang-pur. ۞ BAGUETTE : Bois d'Orme, crin de Licorne, 31,2 centimètres, flexible. La baguette d'Aliénor est légèrement courbée, d'une forme torsadée finement sculptée. Aliénor s'en sert toujours avec une certaine agilité et avec une grande élégance. La baguette est, comme pour beaucoup de sorciers, une vrai continuité de son bras dans ses mouvements. ۞ ECOLE : Beaux-Bâtons. ۞ MAISON : Même si le système n'existe pas sous cette forme en France, Aliénor, contre toute attente, aurait sans doute été répartie à Serdaigle. ۞ MÉTIER/OCCUPATION : Dernière année de formation en affaires internationales, détachée en Grande Bretagne. ۞ ORGANISATION : Phénix. Définitivement Phénix. ۞ CAPACITE(S) SPECIALE(S) : Animagus. |
When I was a child ...
« Aliénor ? Mais où est-elle encore, cette enfant ? » Le rire étouffé qui lui répond fait pousser un soupir fatigué bien qu’amusé à la nourrice chargée de s’occuper du petit monstre. Pas qu’elle n’aime pas la petite Aliénor, mais il faut bien avouer que lorsque Madame de Vigneral l’a contacté, il y a de cela déjà cinq ans, elle ne s’était pas attendu à devoir faire face à une jeune demoiselle aussi agitée. Le fait que ses parents, dans leur envie quasi viscérale de rendre à tout prix leur petite princesse heureuse, lui passait absolument tous ses caprices n’aidait en rien le travail de Miss Lorgnes. Mais c’est ainsi. Et elle n’échangerait jamais sa vie actuelle, même contre tous les gallions du monde. Pas quand elle peut apercevoir le sourire espiègle de l’enfant en dégageant la lourde tenture pourpre derrière laquelle elle s’est savamment dissimulée. « Je vous y reprend, mademoiselle, à tenter d’échapper à votre leçon. » « Mais on a déjà fait ça hier ! » « Nullement. Chaque jour apporte son lot de nouvelles connaissances. » Et Miss Lorgnes doit bien se forcer à ne pas sourire, à garder la mine parfaitement sévère devant l’air renfrogné qu’a prit sa petite protégée. « Mais je voulais faire du balais ! » « Si vous vous montrez raisonnable, je penses que je pourrai en glisser un mot à Madame… » Un silence, un instant de réflexion intense qui peut aisément se lire sur la frimousse contrariée, puis un hochement de tête et le retour du sourire ravi. « D'accord ! Mais après, je sors ! » Et Eloïse ne peut s'empêcher, à son tour, de rire un peu. D'autant plus qu'elle sait parfaitement qu'Aliénor oubliera son projet dès lors qu'elle aura réussit à la captiver. Et elle su avec certitude qu'une fois de plus, elle avait gagné, lorsque les yeux d'Aliénor s'illuminèrent devant son carnet d'écriture qui prenait vie sous ses yeux.
Eloïse avait assisté aux joies. Eloïse avait assisté aux peines. Elle avait même assisté aux colères, rares, mais dévastatrice pour une si jeune enfant. Elle l'avait vu devenir une jeune fille curieuse et pleine de vie, qui ne parvenait à garder les bonnes manières en société imposées par son rang qu'au prix de grands efforts, qui semblait devenir tout de même légèrement plus facile alors que s'écoulaient les années.
Elle avait vu les premières punitions de ses parents. Elle avait assisté à sa première démonstration de magie alors que sa mère refusait, hésitante et pourtant aussi ferme que possible, de lui céder sur un caprice d'enfant. Elle avait vu la porte claquer si fortement qu'elle en avait fait trembler les murs et ce, sans que personne ne la touche. Elle avait vu la mère, fébrile, s'en réjouir dès que l'enfant avait été calmée, puis annoncer ça à son époux et tout deux être fiers comme des paons de voir leur unique enfant suivre leurs traces.
Elle avait été là quand, au courrier du matin, au cours de sa onzième année, Aliénor avait reçu le courrier tant attendu : la lettre d'admission à Beaux-Bâton. Et elle était toujours là lorsque les achats pour la rentrée ont été fait. Pour la nouvelle vie d'Aliénor.
Toujours là, oui, au fur et à mesure des années. Toujours là, mais toujours un peu plus lointaine alors que Mme. de Vigneral était toujours plus présente dans la vie de sa fille - pas plus aimante, pourtant, parce qu'Eloïse savait qu'elle l'avait toujours aimé de tout son cœur. Et elle était toujours un peu plus éloignée de ce monde dans laquelle on la préparait à entrer, au delà de l'école de Magie. Un monde qu'elle-même connaissait sur le bout des doigts, mais dont elle resterait toujours dans l'ombre.
Et c'est ici que se terminait sa mission auprès de la jeune fille. Avec les recommandations pour un nouveau travail. Onze années de sa vie. Les toutes premières de celle d'Aliénor. Et la vie qui l'attendait maintenant serait fantastique. Elle en était sûre.
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Eloïse avait assisté aux joies. Eloïse avait assisté aux peines. Elle avait même assisté aux colères, rares, mais dévastatrice pour une si jeune enfant. Elle l'avait vu devenir une jeune fille curieuse et pleine de vie, qui ne parvenait à garder les bonnes manières en société imposées par son rang qu'au prix de grands efforts, qui semblait devenir tout de même légèrement plus facile alors que s'écoulaient les années.
Elle avait vu les premières punitions de ses parents. Elle avait assisté à sa première démonstration de magie alors que sa mère refusait, hésitante et pourtant aussi ferme que possible, de lui céder sur un caprice d'enfant. Elle avait vu la porte claquer si fortement qu'elle en avait fait trembler les murs et ce, sans que personne ne la touche. Elle avait vu la mère, fébrile, s'en réjouir dès que l'enfant avait été calmée, puis annoncer ça à son époux et tout deux être fiers comme des paons de voir leur unique enfant suivre leurs traces.
Elle avait été là quand, au courrier du matin, au cours de sa onzième année, Aliénor avait reçu le courrier tant attendu : la lettre d'admission à Beaux-Bâton. Et elle était toujours là lorsque les achats pour la rentrée ont été fait. Pour la nouvelle vie d'Aliénor.
Toujours là, oui, au fur et à mesure des années. Toujours là, mais toujours un peu plus lointaine alors que Mme. de Vigneral était toujours plus présente dans la vie de sa fille - pas plus aimante, pourtant, parce qu'Eloïse savait qu'elle l'avait toujours aimé de tout son cœur. Et elle était toujours un peu plus éloignée de ce monde dans laquelle on la préparait à entrer, au delà de l'école de Magie. Un monde qu'elle-même connaissait sur le bout des doigts, mais dont elle resterait toujours dans l'ombre.
Et c'est ici que se terminait sa mission auprès de la jeune fille. Avec les recommandations pour un nouveau travail. Onze années de sa vie. Les toutes premières de celle d'Aliénor. Et la vie qui l'attendait maintenant serait fantastique. Elle en était sûre.
Il y avait eu l'émerveillement de la première fois. Il y avait eu ce coucher de soleil au dessus du château, perdu sur les bords de la Loire. Il y avait eu le scintillement du fleuve et la lumière rasante, il y avait eu le bruissement dans les feuille des arbres du parc. Il y avait eu l'entrée dans un monde de pure magie et, sur les lèvres d'Aliénor, le même sourire émerveillé que sur celui de ses nouveaux condisciples. Bien sûr, Aliénor était habituée à vivre dans un monde de luxe teinté de magie. Bien sûr, elle avait l'habitude des réceptions, des tenues d'apparats... Mais rien qui n'avait jamais fait briller ainsi ses yeux que lors de ses premiers pas dans le domaine de l'Académie de Beaux-Bâtons, fière héritière de la Renaissance, puis, par la suite, des philosophies des Lumières.
Il y avait eu les premiers cours. La complexité d'une formule magique, la magie d'un sortilège réussit. Il y avait eu surtout les cours passionnants de métamorphose. Il y avait eu cette première approche d'une matière des plus difficiles, mais avec qui elle s'était immédiatement sentie en osmose. La matière qui lui avait peut être, par la suite, sauvé la vie. Il y avait eu les premiers retard, les premières incartades aux règlements et les premières punitions qui lui avait fait regretter amèrement le temps d'Eloïse. Il y avait eu les heures interminables d'Histoire de la Magie et les rituels de Divination ratés, les rires étouffés et les bâillements discrets.
Il y avait eu les amies, les ennemis. Les garçons que l'on observe en chuchotant, les coup bas dans les couloirs. Les soirées passées à réviser, les matchs supportés du haut des gradins. Il y avait eu les banquets et les bonbons chipés, les colis des parents, les journaux à moitié délaissés et les courrier auxquels on oubliait parfois de répondre. Les dortoirs et les couvre-feu que l'on ne veut pas respecter. Et un peu de punitions, encore une fois. Et il y avait eu les rires et les larmes, la vie.
Il y avait eu les vacances, aussi. Les sourires attendris de sa mère et ces regards qui ne la voyait que comme une enfant. Les remontrances de son père lorsqu'elle prenait à la légère ses mises en garde, qu'elle se moquait de ses discussion trop sérieuses. Il y avait eu ces moments passés à profiter des rayons de soleil filtrant à travers les rideaux de la bibliothèque familiale, à finir par s'intéresser presque malgré elle à ces discussions d'adultes, alors qu'elle se faisait battre une fois de plus aux échecs sorciers. Et il avait eu les lectures qu'il lui imposait et pour lesquelles elle finissait par se passionner, presque malgré elle. Et il y avait eu la découverte de ces traditions, de ces idéaux qui faisaient, depuis des générations, la fierté des de Vigneral.
Et puis il y avait eu ce début de quatrième année. Il y avait eu cette chaude matinée de mai, ce samedi où elle et ses amies étaient sortis réviser leurs examens dans le parc. Il y avait eu la venue du professeur. Il y avait eu l'attaque de son père qu'aucun médicomage n'avait pu aider. Fatale.
Il y avait eu le vide. Il y avait eu l'impression de chuter. Il y avait eu les bruits autour d'elle qui ne voulait plus rien dire. Il y avait eu le froid, soudain. Il n'y avait plus rien eu.
Il y avait eu le retour dont elle n'avait aucun souvenir. Il y avait eu l'enterrement. Il y avait eu sa mère éplorée, dévastée. Et qui ne semblait pas vouloir s'en relever.
Il y avait eu les camarades qui avaient fuit son silence à défaut de retrouver ses rires. Il y avait eu les amis qui n'avaient pas su quoi lui dire. Et il y avait eu les livres. Ce qui ne la trahiraient pas, quoi qu'il arrive. Ce qui n'avaient pas peur de rester des heures enfermés avec elle, à supporter son silence. Et il y avait eu la métamorphose, encore et toujours. Dans laquelle elle avait été se perdre. Parce qu'elle pouvait maîtriser, contrôler. Pas toujours à la perfection. Mais elle pouvait le faire. Et puis il y avait eu ce besoin de toujours plus. De le travailler, encore et encore. Jusqu'à ce qu'elle ai besoin de plus. Jusqu'à ce qu'elle sente que cela ne suffisait pas.
Il y avait eu ce professeur, qui l'avait surprise en pleine action. Qui l'avait arrêtée avant qu'elle ne commette sans doute l'irréparable sur elle-même. Ce professeur de métamorphose, qui la suivait depuis sa première année. Qui l'avait vu se perdre dans cette matière plus que dans toute autre. Et qui avait décidé, avec l'aval de la direction de l'Académie, de l'aider.
Il y avait eu les longues heures d'étude, de solitude. Il y avait eu le besoin de se poser pour ne pas perdre l'esprit. Et il y avait eut cet intérêt grandissant pour tout ce que son père avait toujours tenté de lui enseigner. Pour les valeurs qu'il avait toujours défendu. Pour ce qui faisait d'elle aujourd'hui ce qu'elle était.
Il y avait eu les examens de fin de scolarité, qu'elle avait remporté haut la main. Il y avait eu cette fête où elle n'était pas aller. Et il y avait ces éclats, ce caractère si pétillant qui avait été la petite Aliénor et dont, aujourd'hui, elle n'avait plus même conscience - ne restait plus que la curiosité polie et les manières d'une De Vigneral. Il y avait eu une toute autre vie qui commençait.
Il y avait eu les premiers cours. La complexité d'une formule magique, la magie d'un sortilège réussit. Il y avait eu surtout les cours passionnants de métamorphose. Il y avait eu cette première approche d'une matière des plus difficiles, mais avec qui elle s'était immédiatement sentie en osmose. La matière qui lui avait peut être, par la suite, sauvé la vie. Il y avait eu les premiers retard, les premières incartades aux règlements et les premières punitions qui lui avait fait regretter amèrement le temps d'Eloïse. Il y avait eu les heures interminables d'Histoire de la Magie et les rituels de Divination ratés, les rires étouffés et les bâillements discrets.
Il y avait eu les amies, les ennemis. Les garçons que l'on observe en chuchotant, les coup bas dans les couloirs. Les soirées passées à réviser, les matchs supportés du haut des gradins. Il y avait eu les banquets et les bonbons chipés, les colis des parents, les journaux à moitié délaissés et les courrier auxquels on oubliait parfois de répondre. Les dortoirs et les couvre-feu que l'on ne veut pas respecter. Et un peu de punitions, encore une fois. Et il y avait eu les rires et les larmes, la vie.
Il y avait eu les vacances, aussi. Les sourires attendris de sa mère et ces regards qui ne la voyait que comme une enfant. Les remontrances de son père lorsqu'elle prenait à la légère ses mises en garde, qu'elle se moquait de ses discussion trop sérieuses. Il y avait eu ces moments passés à profiter des rayons de soleil filtrant à travers les rideaux de la bibliothèque familiale, à finir par s'intéresser presque malgré elle à ces discussions d'adultes, alors qu'elle se faisait battre une fois de plus aux échecs sorciers. Et il avait eu les lectures qu'il lui imposait et pour lesquelles elle finissait par se passionner, presque malgré elle. Et il y avait eu la découverte de ces traditions, de ces idéaux qui faisaient, depuis des générations, la fierté des de Vigneral.
Et puis il y avait eu ce début de quatrième année. Il y avait eu cette chaude matinée de mai, ce samedi où elle et ses amies étaient sortis réviser leurs examens dans le parc. Il y avait eu la venue du professeur. Il y avait eu l'attaque de son père qu'aucun médicomage n'avait pu aider. Fatale.
Il y avait eu le vide. Il y avait eu l'impression de chuter. Il y avait eu les bruits autour d'elle qui ne voulait plus rien dire. Il y avait eu le froid, soudain. Il n'y avait plus rien eu.
Il y avait eu le retour dont elle n'avait aucun souvenir. Il y avait eu l'enterrement. Il y avait eu sa mère éplorée, dévastée. Et qui ne semblait pas vouloir s'en relever.
Il y avait eu les camarades qui avaient fuit son silence à défaut de retrouver ses rires. Il y avait eu les amis qui n'avaient pas su quoi lui dire. Et il y avait eu les livres. Ce qui ne la trahiraient pas, quoi qu'il arrive. Ce qui n'avaient pas peur de rester des heures enfermés avec elle, à supporter son silence. Et il y avait eu la métamorphose, encore et toujours. Dans laquelle elle avait été se perdre. Parce qu'elle pouvait maîtriser, contrôler. Pas toujours à la perfection. Mais elle pouvait le faire. Et puis il y avait eu ce besoin de toujours plus. De le travailler, encore et encore. Jusqu'à ce qu'elle ai besoin de plus. Jusqu'à ce qu'elle sente que cela ne suffisait pas.
Il y avait eu ce professeur, qui l'avait surprise en pleine action. Qui l'avait arrêtée avant qu'elle ne commette sans doute l'irréparable sur elle-même. Ce professeur de métamorphose, qui la suivait depuis sa première année. Qui l'avait vu se perdre dans cette matière plus que dans toute autre. Et qui avait décidé, avec l'aval de la direction de l'Académie, de l'aider.
Il y avait eu les longues heures d'étude, de solitude. Il y avait eu le besoin de se poser pour ne pas perdre l'esprit. Et il y avait eut cet intérêt grandissant pour tout ce que son père avait toujours tenté de lui enseigner. Pour les valeurs qu'il avait toujours défendu. Pour ce qui faisait d'elle aujourd'hui ce qu'elle était.
Il y avait eu les examens de fin de scolarité, qu'elle avait remporté haut la main. Il y avait eu cette fête où elle n'était pas aller. Et il y avait ces éclats, ce caractère si pétillant qui avait été la petite Aliénor et dont, aujourd'hui, elle n'avait plus même conscience - ne restait plus que la curiosité polie et les manières d'une De Vigneral. Il y avait eu une toute autre vie qui commençait.
L'entrée dans la vie adulte. La possibilité d'utiliser la magie librement. La liberté, tout court, de mouvement, et de tout le reste. Et le poids de l'héritage des de Vigneral qui se met à peser plus que jamais sur ses épaules. Bien sûr, il y avait des gens pour gérer le domaine et les affaires de son père ; des gens qui s'y connaissaient bien mieux qu'elle, des gens en qui il avait eu toute confiance. Mais tout cela lui appartenait désormais. L'héritage physique, tout comme l'héritage spirituel. Et elle se devait d'être responsable. Et, surtout, par dessus tout, de lui faire honneur. Savoir que, s'il avait encore été à ses côtés, il aurait pu dire avec fierté qu'elle était sa fille.
La décision avait été prise depuis longtemps. De nombreux mois de réflexion et un choix d'orientation arrêté. Elle ferait une grande carrière ministérielle. Et elle ferait une carrière dans l'international. Parce qu'elle le pouvait. Parce qu'elle le voulait. Et parce qu'elle avait tout un monde à découvrir. Pourtant, les pérégrinations de la jeune femme ne devaient pas la mener si loin de sa France natale. Après deux années passées sur les bancs de l'Université Magique Française et lorsque le temps était venu de faire un choix, Aliénor n'avait pas hésité très longtemps. Ce serait le Royaume Unis. Pas très loin, pas très exotique, mais oh combien passionnant ! Parce que de son vivant déjà, et même au delà de la mort, son père l'avait poussé à s'intéresser à ce qu'il se passait au delà de leurs frontières. A la montée en puissance discrète mais terriblement inquiétante de ce mage noir qui se faisait appeler Lord Voldemort. Et Aliénor avait voulu voir cela de plus près. Elle avait voulu s'y rendre, aider. Elle avait voulu, toujours, rendre son père fier d'elle. Elle était une de Vigneral. Et les de Vigneral ne pouvaient pas laisser s'installer une telle situation sans réagir. Sans réagir.
Il y avait bien sûr eu sa mère à rassurer. La convaincre de laisser sa fille unique partir dans un pays dont l'atmosphère, selon les échos reçus en France, étaient loin d'être sûre. Aliénor avait longtemps batailler pour cela, des mois durant. Mais, à force de discussions, d'énergie dépensée, elle était parvenue à obtenir gain de cause. En ne lui mentant pas, ou presque pas. En la persuadant que, malgré les échos des médias, elle ne risquait rien où pas grand chose ; qu'elle donnerait souvent des nouvelles, qu'elle ne prendrait aucuns risques. Et même si cela lui laissait toujours un arrière goût de malaise lorsqu'elle y pensait, elle avait éhontément profiter de l'état de faiblesse inhérent de sa mère depuis le décès de son tendre époux pour la faire flancher. Mais, comme toujours, et pour la première fois réellement consciemment au détriment de quelqu'un d'autre, Aliénor avait obtenu ce qu'elle désirait. Et elle s'était envolée pour Londres, prête à mener un combat contre les Ténèbres dont son père aurait été plus que fier. Elle avait fait les démarches nécessaires, obtenu sa place au sein de l'Université Magique anglaise. Elle avait déclaré sa forme d'animagus au gouvernement, faisant fi du sourire un rien moqueur de l'employée qui avait enregistré sa forme animale et ses particularité. Et oui. Un chien. Un labrador retriever. Et elle était fière de ce qu'elle était. Concentrée et calme lorsque la situation le nécessitait. Un peu trop impulsive parfois lorsque quelque chose la motivait ou l'excitait - le danger, l'attention, mais aussi les bonnes nouvelles. - Et fidèle par dessus tout à la cause embrassée.
Sauf que tout n'avait pas été aussi simple, bien loin de là. Parce qu'il y avait eu le dépaysement, tout d'abord. La barrière de la langue, la barrière de l'accent, les différences de culture, même au sein de familles qu'elle connaissait depuis sa plus tendre enfance, de cousins éloignés qui n'avaient pas hésités à l'accueillir. Parce qu'il y avait eu les cours, déjà très pointus en France, mais qui devenaient d'autant plus difficiles lorsqu'on n'en saisissait pas toutes les subtilités. Et parce qu'il y avait, surtout, le silence. Le secret et l'inaction. Le tabou de cette guerre latente que relataient pourtant régulièrement les médias français. Et autant de murs dressés face à Aliénor.
L'entrain des premiers jours avait bien faillit céder la place à un abandon teinté de désespoir alors que s'étaient écoulés les jours autour d'elle, la laissant toujours un peu plus seule. Seule avec ses rêves de lutte et de liberté. A se heurter à cette présentation de ceux qu'elle avait prit pour des héros, traînés plus bas que terre, rabaissés au même niveau que les Mangemorts : de vulgaires terroristes. A ne plus oser lire même, à force de douches froides, les articles où l'on mentionnait leurs soit disant actes de barbaries. C'était les Mangemorts les barbares. C'était eux les êtres mauvais, néfastes, ceux qu'il fallait combattre coûte que coûte... Sauf que rien autour d'elle ne semblait vouloir aller dans ce sens. Elle avait faillit baisser les bras, oui. Plus d'une fois. Elle avait faillit continuer simplement sa petite vie. Ses petites études, pas si petites que ça d'ailleurs. Juste continuer simplement à suivre ce que l'on disait de suivre, à croire ce que l'on disait de croire.
Mais ça, Aliénor aurait pu s'y résoudre si elle n'avait pas été aussi têtue. Si elle n'avait pas fini par se reprendre en main, par chasser les idées sombres qui gagnaient de plus en plus de place dans son esprit. Parce qu'elle était ce qu'elle était et qu'elle savait qu'elle refusait de baisser les bras. Alors elle avait décidé d'enfermer tous ses doutes à double tour dans un coin de son esprit. Et elle avait commencé à chercher. Si l'on ne voulait lui dire la vérité et bien elle la trouverait elle-même. Ca avait été long. Ca avait été fastidieux. Ca avait été se forger petit à petit une réputation de jeune fille de bonne famille mais à la curiosité très mal placée qui pouvait commençait à déranger. Ca avait été un épuisement moral de tous les jours, avoir l'impression de ne jamais avancer. Et pendant des mois, elle avait cherché, semble-t-il en vain, mais en refusant toujours d'écouter les versions officielles qui lui convenaient un peu moins chaque jour.
Jusqu'à ce qu'une personne la prenne par surprise. Une personne de qui elle se serait le moins attendu. Et qui, pourtant, depuis des mois, la testait à sa manière. Surveillait ses capacités magique, mais titillait également ses motivations. Et sans qu'Aliénor ne s'en rende comte, alors même qu'elle pensait être de la plus grande discrétion, la voilà qui avait révélé la quasi totalité de son histoire et de ses pensées à une parfaite inconnue ! La deuxième professeur qui devait changer sa vie.
Rentrer dans l'Ordre. Voilà ce qu'elle lui proposait. Après une confrontation où Aliénor avait bien faillit perdre la vie - ou, tout du moins, sa liberté -. Une ultime discussion houleuse des plus inquiétante. Où Miss Crawley prit bien soin de la pousser dans ses derniers retranchements. Dans le but de voir si, vraiment, comme elle le pensait, elle était prête. Et il faut croire que la fougue qu'avait montré Aliénor avait fini de la convaincre.
Les premiers pas dans l'Ordre avaient été maladroits. Aliénor avait même fait preuve d'une timidité qu'elle ne se soupçonnait pas. Mais finalement, elle avait su très rapidement qu'elle avait trouvé sa place, enfin. Son combat. Et, pour la première fois depuis son arrivée sur les terres de Grande Bretagne, Aliénor s'était enfin sentie chez elle.
La décision avait été prise depuis longtemps. De nombreux mois de réflexion et un choix d'orientation arrêté. Elle ferait une grande carrière ministérielle. Et elle ferait une carrière dans l'international. Parce qu'elle le pouvait. Parce qu'elle le voulait. Et parce qu'elle avait tout un monde à découvrir. Pourtant, les pérégrinations de la jeune femme ne devaient pas la mener si loin de sa France natale. Après deux années passées sur les bancs de l'Université Magique Française et lorsque le temps était venu de faire un choix, Aliénor n'avait pas hésité très longtemps. Ce serait le Royaume Unis. Pas très loin, pas très exotique, mais oh combien passionnant ! Parce que de son vivant déjà, et même au delà de la mort, son père l'avait poussé à s'intéresser à ce qu'il se passait au delà de leurs frontières. A la montée en puissance discrète mais terriblement inquiétante de ce mage noir qui se faisait appeler Lord Voldemort. Et Aliénor avait voulu voir cela de plus près. Elle avait voulu s'y rendre, aider. Elle avait voulu, toujours, rendre son père fier d'elle. Elle était une de Vigneral. Et les de Vigneral ne pouvaient pas laisser s'installer une telle situation sans réagir. Sans réagir.
Il y avait bien sûr eu sa mère à rassurer. La convaincre de laisser sa fille unique partir dans un pays dont l'atmosphère, selon les échos reçus en France, étaient loin d'être sûre. Aliénor avait longtemps batailler pour cela, des mois durant. Mais, à force de discussions, d'énergie dépensée, elle était parvenue à obtenir gain de cause. En ne lui mentant pas, ou presque pas. En la persuadant que, malgré les échos des médias, elle ne risquait rien où pas grand chose ; qu'elle donnerait souvent des nouvelles, qu'elle ne prendrait aucuns risques. Et même si cela lui laissait toujours un arrière goût de malaise lorsqu'elle y pensait, elle avait éhontément profiter de l'état de faiblesse inhérent de sa mère depuis le décès de son tendre époux pour la faire flancher. Mais, comme toujours, et pour la première fois réellement consciemment au détriment de quelqu'un d'autre, Aliénor avait obtenu ce qu'elle désirait. Et elle s'était envolée pour Londres, prête à mener un combat contre les Ténèbres dont son père aurait été plus que fier. Elle avait fait les démarches nécessaires, obtenu sa place au sein de l'Université Magique anglaise. Elle avait déclaré sa forme d'animagus au gouvernement, faisant fi du sourire un rien moqueur de l'employée qui avait enregistré sa forme animale et ses particularité. Et oui. Un chien. Un labrador retriever. Et elle était fière de ce qu'elle était. Concentrée et calme lorsque la situation le nécessitait. Un peu trop impulsive parfois lorsque quelque chose la motivait ou l'excitait - le danger, l'attention, mais aussi les bonnes nouvelles. - Et fidèle par dessus tout à la cause embrassée.
Sauf que tout n'avait pas été aussi simple, bien loin de là. Parce qu'il y avait eu le dépaysement, tout d'abord. La barrière de la langue, la barrière de l'accent, les différences de culture, même au sein de familles qu'elle connaissait depuis sa plus tendre enfance, de cousins éloignés qui n'avaient pas hésités à l'accueillir. Parce qu'il y avait eu les cours, déjà très pointus en France, mais qui devenaient d'autant plus difficiles lorsqu'on n'en saisissait pas toutes les subtilités. Et parce qu'il y avait, surtout, le silence. Le secret et l'inaction. Le tabou de cette guerre latente que relataient pourtant régulièrement les médias français. Et autant de murs dressés face à Aliénor.
L'entrain des premiers jours avait bien faillit céder la place à un abandon teinté de désespoir alors que s'étaient écoulés les jours autour d'elle, la laissant toujours un peu plus seule. Seule avec ses rêves de lutte et de liberté. A se heurter à cette présentation de ceux qu'elle avait prit pour des héros, traînés plus bas que terre, rabaissés au même niveau que les Mangemorts : de vulgaires terroristes. A ne plus oser lire même, à force de douches froides, les articles où l'on mentionnait leurs soit disant actes de barbaries. C'était les Mangemorts les barbares. C'était eux les êtres mauvais, néfastes, ceux qu'il fallait combattre coûte que coûte... Sauf que rien autour d'elle ne semblait vouloir aller dans ce sens. Elle avait faillit baisser les bras, oui. Plus d'une fois. Elle avait faillit continuer simplement sa petite vie. Ses petites études, pas si petites que ça d'ailleurs. Juste continuer simplement à suivre ce que l'on disait de suivre, à croire ce que l'on disait de croire.
Mais ça, Aliénor aurait pu s'y résoudre si elle n'avait pas été aussi têtue. Si elle n'avait pas fini par se reprendre en main, par chasser les idées sombres qui gagnaient de plus en plus de place dans son esprit. Parce qu'elle était ce qu'elle était et qu'elle savait qu'elle refusait de baisser les bras. Alors elle avait décidé d'enfermer tous ses doutes à double tour dans un coin de son esprit. Et elle avait commencé à chercher. Si l'on ne voulait lui dire la vérité et bien elle la trouverait elle-même. Ca avait été long. Ca avait été fastidieux. Ca avait été se forger petit à petit une réputation de jeune fille de bonne famille mais à la curiosité très mal placée qui pouvait commençait à déranger. Ca avait été un épuisement moral de tous les jours, avoir l'impression de ne jamais avancer. Et pendant des mois, elle avait cherché, semble-t-il en vain, mais en refusant toujours d'écouter les versions officielles qui lui convenaient un peu moins chaque jour.
Jusqu'à ce qu'une personne la prenne par surprise. Une personne de qui elle se serait le moins attendu. Et qui, pourtant, depuis des mois, la testait à sa manière. Surveillait ses capacités magique, mais titillait également ses motivations. Et sans qu'Aliénor ne s'en rende comte, alors même qu'elle pensait être de la plus grande discrétion, la voilà qui avait révélé la quasi totalité de son histoire et de ses pensées à une parfaite inconnue ! La deuxième professeur qui devait changer sa vie.
Rentrer dans l'Ordre. Voilà ce qu'elle lui proposait. Après une confrontation où Aliénor avait bien faillit perdre la vie - ou, tout du moins, sa liberté -. Une ultime discussion houleuse des plus inquiétante. Où Miss Crawley prit bien soin de la pousser dans ses derniers retranchements. Dans le but de voir si, vraiment, comme elle le pensait, elle était prête. Et il faut croire que la fougue qu'avait montré Aliénor avait fini de la convaincre.
Les premiers pas dans l'Ordre avaient été maladroits. Aliénor avait même fait preuve d'une timidité qu'elle ne se soupçonnait pas. Mais finalement, elle avait su très rapidement qu'elle avait trouvé sa place, enfin. Son combat. Et, pour la première fois depuis son arrivée sur les terres de Grande Bretagne, Aliénor s'était enfin sentie chez elle.
Et si jamais elle venait à en savoir plus ? Elle prendrait sans aucun doute la personne qui l'informerait serait à ses yeux un fou également. Ce que ces gens pourraient voir n'existe pas : à quoi bon les écouter ?
۞ QUE PENSEZ-VOUS DU MINISTÈRE DE LA MAGIE ? :
Aliénor le trouve incompétent. Oh, bien sûr, pas dans son fonctionnement quotidien. Le Ministère est une grande organisation qui, depuis des siècles et des siècles, fait marcher le monde de la Magie anglais, et ça, ce n'est pas rien. Mais Aliénor déplore, si ce n'est à voix haute, au moins dans le secret de son esprit et auprès de ses camarades de l'Ordre, la gestion que le Ministère a du conflit actuel. Entre silences et manipulation, Aliénor a de plus en plus de mal à supporter la ligne officielle. Pourtant, une fois qu'elle gagne les bureaux du Département de la Coopération Magique Internationale, elle garde un silence de plomb sur le sujet. Et elle apprend, avec une certaine réticence mais non moins d'assiduité, les rouages complexes de la politique.
۞ COMMENT AVEZ-VOUS VÉCU LA JOURNÉE DU 1ER NOVEMBRE 1978 ET SES CONSÉQUENCES ? :
Mal. Extrêmement mal. La seule et unique fois où Aliénor a regretté d'avoir mis sa baguette au service de l'Ordre. Car il s'agissait d'un piège et elle s'est retrouvé avec ses camarades coincée par la diversion des Mangemort. Ces monstres... Oser s'attaquer à Sainte Mangouste, à un lieu sacré parmi les sacré ! Aux malades, à ceux qui ont le plus besoin de protection... Aliénor les détestaient déjà avant, les méprisaient pour leurs idéologies noires et destructrices. Maintenant, elle les hait. Et elle s'est fait la promesse d'être toujours présente, désormais, pour pouvoir les combattre. Et pour qu'ils ne puissent plus jamais, jamais nuire à personne !
۞ AVATAR : Michelle Dockery ۞ DOUBLE COMPTE ? Yep, je suis Aiden D. Lehnsman ۞ PRÉNOM OU PSEUDO : Mara ۞ ÂGE DU JOUEUR : Toujours trop vieille TT ۞ COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? Tirée par la peau des fesses au départ, mais il faut croire que je m'y plais ^^ ۞ COMMENT TROUVEZ-VOUS LE FORUM ? Toujours aussi extra ^^ ۞ PRÉSENCE SUR LE FORUM : La question qui fâche... Promis, je reviens plus souvent ! |
Dernière édition par Aliénor de Vigneral le Mer 19 Mar - 8:33, édité 5 fois
Aliénor de Vigneral- Messages : 60
Date d'inscription : 05/03/2014
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Re: Aliénor de Vigneral [Terminée]
Hiiiiii
Rebienvenue ! J'espère que tu t'éclateras autant avec ce perso qu'avec Aiden !
Rebienvenue ! J'espère que tu t'éclateras autant avec ce perso qu'avec Aiden !
Célène Fraser- Drama Queen Serial Kickeuse
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Re: Aliénor de Vigneral [Terminée]
Rien ne saurait me plaire plus que nos petites discussions pleine de calme et de sérénité, amour ♥
*file rp. Sisi*
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Aiden D. Lehnsman- Messages : 82
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Re: Aliénor de Vigneral [Terminée]
Merci à toi Morgane!
Normalement, ma fiche est terminée !
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Aliénor de Vigneral- Messages : 60
Date d'inscription : 05/03/2014
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Re: Aliénor de Vigneral [Terminée]
Hellow!! re-bienvenue à toi parmi nous! Ta demoiselle à l'air de valoir le détour, un sacré caractère aussi dur que doux! hé hé!
Nicholaus Rosenhirsh- Messages : 910
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Re: Aliénor de Vigneral [Terminée]
Re bienvenue p'tite française ! Hate de te croiser en RP
Sirius Black- Black-Bad-Boy-Bébé-Style !
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Re: Aliénor de Vigneral [Terminée]
Tu viens de (ré)intégrer Crépuscule !
Un petit délice de fiche à lire, vraiment. Tu nous as posé une ambiance à la fois légère et sombre, le contexte est parfaitement intégré, le personnage passionnant, le tout totalement cohérent ... On a juste envie d'en découvrir plus ! Et très vite !
Merci de nous quoter ces deux petites modifications. Quoi qu'il en soit, tu es d'ores et déjà validée !
Tu rejoins le groupe du
Ministère de la Magie .
Tu rapportes également 10 Points de Poudlard aux Serdaigles. N'hésite pas à nous signaler si, malgré les prédispositions d'Aliénor, tu préfères donner ton soutien à une autre maison.
Tu peux d'ores et déjà créer ta fiche de lien & commencer à rédiger ton carnet de bord. Nous t'invitons également à remplir tous les champs de ton profil, mais surtout, à bien fouiner notre forum, car bien d'autres sujets s'offrent à toi !
Un petit délice de fiche à lire, vraiment. Tu nous as posé une ambiance à la fois légère et sombre, le contexte est parfaitement intégré, le personnage passionnant, le tout totalement cohérent ... On a juste envie d'en découvrir plus ! Et très vite !
Il y a juste deux petits éléments que nous aimerions que tu rajoutes, par rapport à son statut d'Animagus.
- Est-elle déclarée au Ministère de la Magie Britannique comme à celui Français ? De notre point de vue, oui, car une telle information serait difficile à cacher d'un gouvernement à l'autre, mais peut-être as-tu trouvé un stratagème pour qu'elle l'ait évité.
- Enfin, pourquoi un chien ? Cela peut paraître un peu étrange comme question, mais l'animal correspondant souvent au caractère de la personne ou à un événement de sa vie, nous aimerions bien connaître la raison de cette forme de métamorphose.
- Est-elle déclarée au Ministère de la Magie Britannique comme à celui Français ? De notre point de vue, oui, car une telle information serait difficile à cacher d'un gouvernement à l'autre, mais peut-être as-tu trouvé un stratagème pour qu'elle l'ait évité.
- Enfin, pourquoi un chien ? Cela peut paraître un peu étrange comme question, mais l'animal correspondant souvent au caractère de la personne ou à un événement de sa vie, nous aimerions bien connaître la raison de cette forme de métamorphose.
Merci de nous quoter ces deux petites modifications. Quoi qu'il en soit, tu es d'ores et déjà validée !
Tu rejoins le groupe du
Tu rapportes également 10 Points de Poudlard aux Serdaigles. N'hésite pas à nous signaler si, malgré les prédispositions d'Aliénor, tu préfères donner ton soutien à une autre maison.
Tu peux d'ores et déjà créer ta fiche de lien & commencer à rédiger ton carnet de bord. Nous t'invitons également à remplir tous les champs de ton profil, mais surtout, à bien fouiner notre forum, car bien d'autres sujets s'offrent à toi !
Destin- Admin
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Re: Aliénor de Vigneral [Terminée]
Merci beaucoup ! Vos commentaires me motivent encore plus pour ce personnage !
J'ai rajouté ceci
J'espère que ce sera suffisant. Ce n'est pas grand chose, mais j'ai beaucoup de mal à rajouter des trucs dans un texte déjà écrit j'avoue ^^'
J'ai rajouté ceci
Elle avait fait les démarches nécessaires, obtenu sa place au sein de l'Université Magique anglaise. Elle avait déclaré sa forme d'animagus au gouvernement, faisant fi du sourire un rien moqueur de l'employée qui avait enregistré sa forme animale et ses particularité. Elle était fière de ce qu'elle était. Concentrée et calme lorsque la situation le nécessitait. Et fidèle par dessus tout à la cause embrassée.
J'espère que ce sera suffisant. Ce n'est pas grand chose, mais j'ai beaucoup de mal à rajouter des trucs dans un texte déjà écrit j'avoue ^^'
Aliénor de Vigneral- Messages : 60
Date d'inscription : 05/03/2014
Organisation : Ordre du Phénix
Re: Aliénor de Vigneral [Terminée]
Pour la première question, c'est bon pour nous !
Il nous manque juste l'explication du pourquoi cette forme animale .
Il nous manque juste l'explication du pourquoi cette forme animale .
Destin- Admin
- Messages : 632
Date d'inscription : 10/07/2013
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Re: Aliénor de Vigneral [Terminée]
Hey je ne t'ai pas souhaité la bienvenue ><
Bienvenue Miss et à très vite sur le rp ♥
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Invité- Invité
Re: Aliénor de Vigneral [Terminée]
Parce que je suis un boulet qui oublie toujours la moitié des trucs :
Voilà! j'espère que ce sera suffisant ^^'
Mais, comme toujours, et pour la première fois réellement consciemment au détriment de quelqu'un d'autre, Aliénor avait obtenu ce qu'elle désirait. Et elle s'était envolée pour Londres, prête à mener un combat contre les Ténèbres dont son père aurait été plus que fier. Elle avait fait les démarches nécessaires, obtenu sa place au sein de l'Université Magique anglaise. Elle avait déclaré sa forme d'animagus au gouvernement, faisant fi du sourire un rien moqueur de l'employée qui avait enregistré sa forme animale et ses particularité. Et oui. Un chien. Un labrador retriever. Et elle était fière de ce qu'elle était. Concentrée et calme lorsque la situation le nécessitait. Un peu trop impulsive parfois lorsque quelque chose la motivait ou l'excitait - le danger, l'attention, mais aussi les bonnes nouvelles. - Et fidèle par dessus tout à la cause embrassée.
Voilà! j'espère que ce sera suffisant ^^'
Aiden D. Lehnsman- Messages : 82
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