Basil A. Cavendish
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Le Crépuscule des Sorciers :: Avant toute chose :: Etat civil des Personnages :: Présentations Validées
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Basil A. Cavendish
۞ ÂGE : 25 ans ; il est né le 6 juin 1953. ۞ NATIONALITÉ : Anglais sans une goutte de sang étranger.... enfin, pas depuis les six dernières générations en tout cas. ۞ ÉTAT CIVIL : Célibataire, officiellement comme officieusement. ۞ SANG : Né-moldu ۞ BAGUETTE : Comme tout bon sorcier anglais, Basil a acheté sa baguette chez Ollivander. Il a été choisit par une baguette de cornouiller de vingt neuf centimètres qui contient un crin de licorne femelle. Assez souple, elle a une prédisposition pour les sortilèges et les enchantements censés produire quelque chose de coloré ou d’amusant. Malheureusement elle est assez bruyante et parfaitement incompatible avec les sortilèges informulés... ce qui correspond plutôt bien à son maître en fait. ۞ ECOLE : Poudlard ۞ MAISON : Poufsouffle ۞ MÉTIER/OCCUPATION : Journaliste pour « Sorcière Hebdo » dans la rubrique potins et faits divers. ۞ ORGANISATION : Neutre-Phénix ۞ CAPACITE(S) SPECIALE(S) : Aucune |
When I was a child ...
Il était une fois, dans une contrée d’Angleterre qu’on appelle communément le Derbyshire, un gentilhomme prénommé Barnaby Cavendish. C’était un beau garçon de bonne famille – de très bonne famille même ! – mais aussi éduqué qu’il soit, il avait un talent fou pour se mettre en danger de mort toutes les semaines. Lorsqu'il ne montait pas sur le dos d'un cheval fou qui manquait de le foutre par terre et de lui briser la nuque, il se débrouillait pour tomber dans un lac ou se perdre en forêt.... de préférence à proximité d'un terrier de chaporouges affamés. Mais puisque c'est une attaque de créatures maléfiques qui lui a permit de rencontrer son épouse - et sa sauveuse - on ne peut pas vraiment lui en vouloir. Le nom de la demoiselle ? On s'en fiche ! Ce qu'il faut retenir c'est que c’était une sorcière courageuse, qu’elle était aussi amoureuse de son mari que lui l'était d'elle et qu'elle ne mit au monde que des cracmols. C'est d'ailleurs par amour pour eux (et pour leur assurer un avenir brillant chez les moldus) qu'elle choisit de se débarrasser de sa baguette. Elle vécut comme n'importe quelle femme dénuée de pouvoirs et ne révéla ses origines à personnes d'autres qu'à son époux. Oh, bien sûr, il se peut que l'un de ses garçons ait découvert la vérité à un moment ou un autre de sa vie mais si ce fut le cas, il emporta le secret dans la tombe. Ce qui nous ramène à notre personnage principal (oui oui, on y vient !).
Si vous avez bien suivis, vous savez à présent que les Cavendish était une bonne famille anglaise qui trimballait sans le savoir un chromosome sorcier. Au fil des siècles, plusieurs branches du clan perdirent leur titres de noblesses à causes de scandaleuses histoires de mariages hors normes mais toutes demeurèrent respectables.... et protestantes. La religion avait toujours eu une importance capitale pour les Cavendish (sauf peut être pour l'imbécile heureux qui avait épousé une sorcière) et les derniers en date ne comptaient pas déroger à la règle. Ils ne donnèrent peut être pas de prénom biblique à chacun de leur enfant mais ils les firent tous baptiser à la naissance. Ils essayèrent aussi de les élever dans la plus pure tradition chrétienne mais abandonnèrent rapidement l’idée en découvrant le caractère de leur second né. Je parle bien sûr de Basil. Loin d'être aussi calme et docile que sa grande soeur, il abreuvait son entourage de discours insensés sans queue ni tête et entraînait régulièrement ses cadets dans ses conner... aventures. La plupart du temps, c'était des bêtises sans importances qui faisaient rire tout le monde mais quand il dépassait les limites.... on le grondait dix minutes avant de l'embrasser tendrement sur la joue. Voyez-vous, monsieur et madame Cavendish étaient persuadés que toute cette énergie serait utilisée intelligemment lorsqu'il aurait grandit un peu. Aussi n'essayèrent-ils jamais de le brider (si on omet les lectures quotidiennes de psaumes et de versets bibliques censés le faire mûrir). Le gamin grandit donc dans la bonne humeur sans avoir à se soucier de rien.... jusqu'où jour où tout bascula.
Le premier incident se produisit le 4 mai 1961, peu de temps après que monsieur Cavendish ait acquit son nouveau vélo de course. Conscient que certains chenapans mourraient d'envie de l'essayer, il l'enferma à triple tour dans son garage et fit promette à ses enfants de ne pas y toucher. Le lendemain matin, on retrouva le vélocipède au milieu de la chambre de Basil. Le garçon jura qu'il n'y était pour rien ; son père le priva de sortie pendant deux semaines et l'envoya aussitôt au confessionnal.
La deuxième manifestation magique survint un mois plus tard, à l'aube de ses huit ans. Dégoûté de se voir offrir un nouveau livre religieux au lieu d'une bande dessinée américaine, le jeune homme colora involontairement la couverture blanche en rouge-cape-superman. Ce soir là, on évoqua pour la première fois le nom du Diable. Monsieur se demanda si un mauvais esprit n'avait pas prit possession du salon. Madame supposa que c'était la date d'anniversaire maléfique de leur garçon qui était en cause. Le malaise dura un peu plus de trois semaines puis finit par s'estomper.
La troisième fois, ils comprirent que le problème venait de leur fiston adoré. La coïncidence entre sa crise de "Je veux pas manger des épinards !" et la disparition soudaine et inexpliquée du contenu de la casserole était trop flagrante. Oubliant qu'il était vingt trois heures passées, ils se précipitèrent chez le pasteur pour tout lui raconter. Comme Mrs Cavendish, le vieil homme supposa que la malédiction venait de la date de naissance du garçon et leur proposa un panel de solutions toutes plus folles les unes que les autres. Ils refusèrent sagement l'exorcisme – et tout ce qui s’y apparentait - mais acceptèrent d'emmener leur enfant en pèlerinage à Lourdes puis à Romes. Le seul problème restait de décider quoi faire avec les quatre autres... si monsieur était d’avis de les emmener avec eux, madame préférait quant à elle les tenir à l’écart de leur grand frère maudit. Et comme dans toutes les familles dignes de ce nom, ce fut madame qui l’emporta. Ils confièrent donc leurs petits chéris à leurs propres parents et s’envolèrent pour la France avec Basil. Ai-je besoin de dire que ce périple ne servit à rien ?
Un mois après leur retour, les incidents diaboliques – ou magiques si vous préférez – reprirent de plus belle. Dès lors, ils déployèrent les grands moyens : Outre les lectures bibliques, les séances de confessions et les cours de catéchisme quotidiens, on interdit au gamin de chahuter, de bavasser à tord et à travers ou de sortir des sentiers battus. Un changement radical qui aurait pu le détruire s’il n’avait pas eu le soutien de ses sœurs.... enfin, de deux de ses sœurs pour être plus précis. Deborah et Daniel, les benjamins de la fratrie, avaient développé une peur phobique et irrationnelle pour leur grand frère " possédé ". Chaque fois qu’il entrait dans une pièce, ils fuyaient au grand galop ou se terraient dans un coin pour échapper à son regard. Une attitude qui blessa profondément notre petit sorcier en herbe, comme vous l’imaginez bien. Avec Hannah, l’aînée, c’était un peu mieux mais pas encore ça. En effet, elle s’était mit en tête que seule la religion pouvait le sauver et elle récitait des passages du livre saint chaque fois qu’elle croisait son chemin. Quant à Tiffany... eh bien c’était la seule qui arrivait à lui remonter le moral. Persuadée que le mauvais esprit dévorerait son grand frère si on le laissait seul trop longtemps, elle le suivait partout pour le surveiller et le protéger. Bien souvent, elle agrémentait sa compagnie de blagues qu’il lui avait lui-même apprises. En d’autres circonstances, la réutilisation de ses vannes aurait fortement agacé Basil... pour le coup, il trouva ça adorable.
Et ainsi s’écoulèrent les trois années suivantes. Bien sûr, les Cavendish ne réussirent jamais à débarrasser leur fils de ses pouvoirs mais ils refusèrent de se décourager. Ils croyaient fermement qu’ils parviendraient à sauver leur enfant et c’est cet acte d’amour authentique qui rendit son sort un peu plus tolérable au pauvre sorcier. Après tout, ils faisaient ça pour lui. Et malgré ce qu’il était, ils continuaient de l’aimer, de le serrer dans leur bras et de l’embrasser. Reconnaissant comme tout, il se plia à toutes leur exigences et accepta l’idée de vivre ainsi pour toujours.... mais ce n'était pas ce que le destin avait prévu pour lui.
Le 6 juin 1964, un drôle de volatile se posa sur le rebord de sa fenêtre. Deux minutes plus tard, se fut une femme vêtue de noire qui toqua à la porte des Cavendish. Ils l'accueillirent courtoisement sans se douter qu'elle apportait la pire nouvelle qu'ils puissent imaginer.... pour eux comme pour lui.
Si vous avez bien suivis, vous savez à présent que les Cavendish était une bonne famille anglaise qui trimballait sans le savoir un chromosome sorcier. Au fil des siècles, plusieurs branches du clan perdirent leur titres de noblesses à causes de scandaleuses histoires de mariages hors normes mais toutes demeurèrent respectables.... et protestantes. La religion avait toujours eu une importance capitale pour les Cavendish (sauf peut être pour l'imbécile heureux qui avait épousé une sorcière) et les derniers en date ne comptaient pas déroger à la règle. Ils ne donnèrent peut être pas de prénom biblique à chacun de leur enfant mais ils les firent tous baptiser à la naissance. Ils essayèrent aussi de les élever dans la plus pure tradition chrétienne mais abandonnèrent rapidement l’idée en découvrant le caractère de leur second né. Je parle bien sûr de Basil. Loin d'être aussi calme et docile que sa grande soeur, il abreuvait son entourage de discours insensés sans queue ni tête et entraînait régulièrement ses cadets dans ses conner... aventures. La plupart du temps, c'était des bêtises sans importances qui faisaient rire tout le monde mais quand il dépassait les limites.... on le grondait dix minutes avant de l'embrasser tendrement sur la joue. Voyez-vous, monsieur et madame Cavendish étaient persuadés que toute cette énergie serait utilisée intelligemment lorsqu'il aurait grandit un peu. Aussi n'essayèrent-ils jamais de le brider (si on omet les lectures quotidiennes de psaumes et de versets bibliques censés le faire mûrir). Le gamin grandit donc dans la bonne humeur sans avoir à se soucier de rien.... jusqu'où jour où tout bascula.
Le premier incident se produisit le 4 mai 1961, peu de temps après que monsieur Cavendish ait acquit son nouveau vélo de course. Conscient que certains chenapans mourraient d'envie de l'essayer, il l'enferma à triple tour dans son garage et fit promette à ses enfants de ne pas y toucher. Le lendemain matin, on retrouva le vélocipède au milieu de la chambre de Basil. Le garçon jura qu'il n'y était pour rien ; son père le priva de sortie pendant deux semaines et l'envoya aussitôt au confessionnal.
La deuxième manifestation magique survint un mois plus tard, à l'aube de ses huit ans. Dégoûté de se voir offrir un nouveau livre religieux au lieu d'une bande dessinée américaine, le jeune homme colora involontairement la couverture blanche en rouge-cape-superman. Ce soir là, on évoqua pour la première fois le nom du Diable. Monsieur se demanda si un mauvais esprit n'avait pas prit possession du salon. Madame supposa que c'était la date d'anniversaire maléfique de leur garçon qui était en cause. Le malaise dura un peu plus de trois semaines puis finit par s'estomper.
La troisième fois, ils comprirent que le problème venait de leur fiston adoré. La coïncidence entre sa crise de "Je veux pas manger des épinards !" et la disparition soudaine et inexpliquée du contenu de la casserole était trop flagrante. Oubliant qu'il était vingt trois heures passées, ils se précipitèrent chez le pasteur pour tout lui raconter. Comme Mrs Cavendish, le vieil homme supposa que la malédiction venait de la date de naissance du garçon et leur proposa un panel de solutions toutes plus folles les unes que les autres. Ils refusèrent sagement l'exorcisme – et tout ce qui s’y apparentait - mais acceptèrent d'emmener leur enfant en pèlerinage à Lourdes puis à Romes. Le seul problème restait de décider quoi faire avec les quatre autres... si monsieur était d’avis de les emmener avec eux, madame préférait quant à elle les tenir à l’écart de leur grand frère maudit. Et comme dans toutes les familles dignes de ce nom, ce fut madame qui l’emporta. Ils confièrent donc leurs petits chéris à leurs propres parents et s’envolèrent pour la France avec Basil. Ai-je besoin de dire que ce périple ne servit à rien ?
Un mois après leur retour, les incidents diaboliques – ou magiques si vous préférez – reprirent de plus belle. Dès lors, ils déployèrent les grands moyens : Outre les lectures bibliques, les séances de confessions et les cours de catéchisme quotidiens, on interdit au gamin de chahuter, de bavasser à tord et à travers ou de sortir des sentiers battus. Un changement radical qui aurait pu le détruire s’il n’avait pas eu le soutien de ses sœurs.... enfin, de deux de ses sœurs pour être plus précis. Deborah et Daniel, les benjamins de la fratrie, avaient développé une peur phobique et irrationnelle pour leur grand frère " possédé ". Chaque fois qu’il entrait dans une pièce, ils fuyaient au grand galop ou se terraient dans un coin pour échapper à son regard. Une attitude qui blessa profondément notre petit sorcier en herbe, comme vous l’imaginez bien. Avec Hannah, l’aînée, c’était un peu mieux mais pas encore ça. En effet, elle s’était mit en tête que seule la religion pouvait le sauver et elle récitait des passages du livre saint chaque fois qu’elle croisait son chemin. Quant à Tiffany... eh bien c’était la seule qui arrivait à lui remonter le moral. Persuadée que le mauvais esprit dévorerait son grand frère si on le laissait seul trop longtemps, elle le suivait partout pour le surveiller et le protéger. Bien souvent, elle agrémentait sa compagnie de blagues qu’il lui avait lui-même apprises. En d’autres circonstances, la réutilisation de ses vannes aurait fortement agacé Basil... pour le coup, il trouva ça adorable.
Et ainsi s’écoulèrent les trois années suivantes. Bien sûr, les Cavendish ne réussirent jamais à débarrasser leur fils de ses pouvoirs mais ils refusèrent de se décourager. Ils croyaient fermement qu’ils parviendraient à sauver leur enfant et c’est cet acte d’amour authentique qui rendit son sort un peu plus tolérable au pauvre sorcier. Après tout, ils faisaient ça pour lui. Et malgré ce qu’il était, ils continuaient de l’aimer, de le serrer dans leur bras et de l’embrasser. Reconnaissant comme tout, il se plia à toutes leur exigences et accepta l’idée de vivre ainsi pour toujours.... mais ce n'était pas ce que le destin avait prévu pour lui.
Le 6 juin 1964, un drôle de volatile se posa sur le rebord de sa fenêtre. Deux minutes plus tard, se fut une femme vêtue de noire qui toqua à la porte des Cavendish. Ils l'accueillirent courtoisement sans se douter qu'elle apportait la pire nouvelle qu'ils puissent imaginer.... pour eux comme pour lui.
Dire que Basil n’avait pas très envie d’aller à Poudlard serait un euphémisme monstrueux. Pour vous dire toute la vérité, ce fut même le Cavendish le plus difficile à convaincre. En fait c’est simple : lorsqu’il comprit qu’il était différent des siens et amenés à être séparés d’eux, il courut s’accrocher aux jambes de sa mère et promit de lire encore plus de versets religieux tous les soirs avant de dormir. L’instant suivant, il demanda à la méchante dame en noire s’il ne pouvait pas lui rendre ses pouvoirs et redevenir comme tout le monde. Elle eu juste le temps de lui répondre que c’était impossible avant d’être mise en fuite par deux parents fous de rages qui la chassèrent à coups de croix en bois. Lorsque le portail en fer noir se referma derrière elle, ils crurent s’être débarrassés pour de bon de cette adoratrice de Satan qui essayait d’enrôler leur fils. Quelle ne fut pas leur surprise en la voyant revenir deux jours plus tard, accompagnée d’un grand type habillé en bleu céruléen. En les voyant franchir la clôture, ils menacèrent d’appeler la Police mais aucun des deux sorciers ne fit demi-tour. Au contraire, ils approchèrent encore plus près pour leur expliquer qu’ils ne leur voulaient aucun mal. Bizarrement, les moldus ne les crurent pas et leur claquèrent la porte au nez... douze fois. Ce ne fut qu’au bout de six courriers, neuf tentatives d’approches ratées et onze autres visites impromptues qu’ils réussirent enfin à se faire entendre. Les Cavendish mirent du temps à comprendre que leur fils n’était qu’un "phénomène de foire" parmi d’autres mais ils finirent par accepter cette idée... Aussi douloureux que ce soit, ils devaient bien reconnaître qu’aucune de leur tentative n’avait donné de résultat. Basil aurait toujours des pouvoirs et dans le fond, il valait mieux qu’il soit avec les "siens". Ils donnèrent donc leur accord pour l’emmener dans leur école bizarre et promirent de lui acheter tout ce dont il aurait besoin pour son nouveau départ. Mais encore fallait-il qu’il parte....
Loin d’être aussi convaincu que ses parents, le jeune garçon pleura et cria jusqu’à la veille de la rentrée. Il menaça de rentrer à pied, de se laisser mourir de faim, de se jeter dans la bouche d’un chien et jura qu’il irait à l’église tous les jours mais rien n’y fit ; désormais persuadés que c’était la meilleure solution, ses parents le traînèrent sur le quai et le poussèrent de force dans le Poudlard Express. Un départ mémorable en somme.... Sitôt assis de force sur un banc – parce qu’il était interdit de rester debout dans le couloir pendant le trajet – il se jura de ne plus prononcer un mot avant de rentrer chez lui. Et il s’y tint ! .... enfin presque. Il poussa bien un cri admiratif en découvrant l’école mais il se rappela très vite qu’il était censé rester muet et il ne décolla plus les lèvres de la soirée (pas même pour manger). Le lendemain, il remit ça et s’attira les regards curieux de quelques camarades. Qu’est-ce que c’était que ce Poufsouffle morose qui ne mangeait presque rien, ne parlait pas et semblait toujours à deux doigts de pleurer ? Soucieux, plusieurs élèves essayèrent de lui remonter le moral mais le regard haineux de Basil les découragea tous... tous sauf une première année un peu plus têtue que les autres. Son nom ? Amabelle Flint.
Bien qu’elle vienne d’une famille sang-pure, Amabelle n’avait aucun préjugé à l’encontre des nés-moldus. Au contraire, elle trouvait Basil particulièrement attachant ! Elle décida donc d’en faire son meilleur ami, au grand damne de son frère jumeau à la fois jaloux et soucieux de la voir s’attacher à un type aussi étrange. Mais étant à Gryffondor, Amaury Flint ne pouvait surveiller sa sœur en permanence et elle employa tout ce temps libre pour gagner l’affection du petit Cavendish. Parce que oui, Basil, finit bel et bien par céder. Les premières semaines il résista vaillamment aux sourires et aux petits soins de sa camarade mais le dernier jour de Septembre, il perdit son masque de tristesse ; l’histoire de la pire chute en balai d’Amabelle avait eu raison de lui. Le lendemain il se remit à parler et il ne lui fallut pas longtemps pour retrouver ses vieilles habitudes. Je parle bien sûr de sa manie de débiter bêtise sur bêtise à toute allure et d’enchaîner les conneries entre deux cours. Heureusement – ou pas – les trois dernières années l’avaient grandement assagit. Même s’il demeurait très zélé, il n’allait jamais bien loin et restait toujours dans les limites du tolérable. Et puis pour compenser, il s’appliquait en cours. Il n’avait peut être pas des notes mirobolantes mais il était bon élève et il passait volontiers plusieurs heures enfermé dans la salle commune pour obtenir de bons résultats. Soit disant pour s’assurer un avenir brillant.... en vérité, il ne pensait qu’à ses parents et à la satisfaction qu’ils éprouveraient.
Voyez-vous, à cette époque il s’était remit à espérer qu’ils le soutiendraient envers et contre tout. Il fut brutalement démentit le 20 décembre 1964, date à laquelle il reçut la lettre où sa mère lui annonçait qu’il passerait Noël à Poudlard pendant que "toute" la famille partirait en vacances en Irlande. L’été suivant, il constata qu’il ne faisait quasiment plus partie du clan. Si Tiffany restait profondément attaché à son grand frère, tous les autres lui tournaient le dos. Hannah disait ne plus ressentir aucune connexion avec ce frère dont elle ignorait presque tout. Deborah et Daniel tremblaient toujours de peur sur son passage. Quant à ses parents, ils ne lui donnaient plus rien d’autre que le confort matériel que le devoir leur obligeait d’offrir. Basil comprit alors que les choses ne changeraient jamais... et il enferma cette blessure à triple tour au fond de son cerveau. Il ne voulait plus perdre son temps à se lamenter sur son sort ; il voulait vivre. Et c’est ce qu’il fit.
Pendant six ans, il mena une existence merveilleuse parsemée de rires et de découvertes extraordinaires. Oh bien sûr, il y avait quelques ombres au tableau ; outre les amourettes ratées, Basil eu droit à l’animosité persistante d’Amaury qui s’obstinait à vouloir débarrasser sa sœur jumelle du nuisible Cavendish. Mais il préférait largement cette hostilité à l’indifférence dont il souffrait chez lui et il ne se plaignit jamais du Gryffondor... ni de quoique ce soit d’ailleurs. Même quand la guerre éclata, il s’estima satisfait d’être à l’abri à Poudlard. Bien sûr, il compatissait avec les familles qui subissaient des pertes mais tant que ça ne le touchait pas directement, il n’y accordait pas beaucoup d’attention. Et idiot comme il était, il pensait sincèrement être immunisé contre les disparitions tragiques...
Loin d’être aussi convaincu que ses parents, le jeune garçon pleura et cria jusqu’à la veille de la rentrée. Il menaça de rentrer à pied, de se laisser mourir de faim, de se jeter dans la bouche d’un chien et jura qu’il irait à l’église tous les jours mais rien n’y fit ; désormais persuadés que c’était la meilleure solution, ses parents le traînèrent sur le quai et le poussèrent de force dans le Poudlard Express. Un départ mémorable en somme.... Sitôt assis de force sur un banc – parce qu’il était interdit de rester debout dans le couloir pendant le trajet – il se jura de ne plus prononcer un mot avant de rentrer chez lui. Et il s’y tint ! .... enfin presque. Il poussa bien un cri admiratif en découvrant l’école mais il se rappela très vite qu’il était censé rester muet et il ne décolla plus les lèvres de la soirée (pas même pour manger). Le lendemain, il remit ça et s’attira les regards curieux de quelques camarades. Qu’est-ce que c’était que ce Poufsouffle morose qui ne mangeait presque rien, ne parlait pas et semblait toujours à deux doigts de pleurer ? Soucieux, plusieurs élèves essayèrent de lui remonter le moral mais le regard haineux de Basil les découragea tous... tous sauf une première année un peu plus têtue que les autres. Son nom ? Amabelle Flint.
Bien qu’elle vienne d’une famille sang-pure, Amabelle n’avait aucun préjugé à l’encontre des nés-moldus. Au contraire, elle trouvait Basil particulièrement attachant ! Elle décida donc d’en faire son meilleur ami, au grand damne de son frère jumeau à la fois jaloux et soucieux de la voir s’attacher à un type aussi étrange. Mais étant à Gryffondor, Amaury Flint ne pouvait surveiller sa sœur en permanence et elle employa tout ce temps libre pour gagner l’affection du petit Cavendish. Parce que oui, Basil, finit bel et bien par céder. Les premières semaines il résista vaillamment aux sourires et aux petits soins de sa camarade mais le dernier jour de Septembre, il perdit son masque de tristesse ; l’histoire de la pire chute en balai d’Amabelle avait eu raison de lui. Le lendemain il se remit à parler et il ne lui fallut pas longtemps pour retrouver ses vieilles habitudes. Je parle bien sûr de sa manie de débiter bêtise sur bêtise à toute allure et d’enchaîner les conneries entre deux cours. Heureusement – ou pas – les trois dernières années l’avaient grandement assagit. Même s’il demeurait très zélé, il n’allait jamais bien loin et restait toujours dans les limites du tolérable. Et puis pour compenser, il s’appliquait en cours. Il n’avait peut être pas des notes mirobolantes mais il était bon élève et il passait volontiers plusieurs heures enfermé dans la salle commune pour obtenir de bons résultats. Soit disant pour s’assurer un avenir brillant.... en vérité, il ne pensait qu’à ses parents et à la satisfaction qu’ils éprouveraient.
Voyez-vous, à cette époque il s’était remit à espérer qu’ils le soutiendraient envers et contre tout. Il fut brutalement démentit le 20 décembre 1964, date à laquelle il reçut la lettre où sa mère lui annonçait qu’il passerait Noël à Poudlard pendant que "toute" la famille partirait en vacances en Irlande. L’été suivant, il constata qu’il ne faisait quasiment plus partie du clan. Si Tiffany restait profondément attaché à son grand frère, tous les autres lui tournaient le dos. Hannah disait ne plus ressentir aucune connexion avec ce frère dont elle ignorait presque tout. Deborah et Daniel tremblaient toujours de peur sur son passage. Quant à ses parents, ils ne lui donnaient plus rien d’autre que le confort matériel que le devoir leur obligeait d’offrir. Basil comprit alors que les choses ne changeraient jamais... et il enferma cette blessure à triple tour au fond de son cerveau. Il ne voulait plus perdre son temps à se lamenter sur son sort ; il voulait vivre. Et c’est ce qu’il fit.
Pendant six ans, il mena une existence merveilleuse parsemée de rires et de découvertes extraordinaires. Oh bien sûr, il y avait quelques ombres au tableau ; outre les amourettes ratées, Basil eu droit à l’animosité persistante d’Amaury qui s’obstinait à vouloir débarrasser sa sœur jumelle du nuisible Cavendish. Mais il préférait largement cette hostilité à l’indifférence dont il souffrait chez lui et il ne se plaignit jamais du Gryffondor... ni de quoique ce soit d’ailleurs. Même quand la guerre éclata, il s’estima satisfait d’être à l’abri à Poudlard. Bien sûr, il compatissait avec les familles qui subissaient des pertes mais tant que ça ne le touchait pas directement, il n’y accordait pas beaucoup d’attention. Et idiot comme il était, il pensait sincèrement être immunisé contre les disparitions tragiques...
Si tôt sortit de Poudlard, Basil s’empressa de trouver une formation au ministère. N’importe laquelle faisait l’affaire tant qu’il travaillait dans le bâtiment sorcier... et qu’il était à moins de cinquante mètres de sa meilleure amie. Terrifié à l’idée de se retrouver à nouveau seul dans un environnement inconnu, il avait supplié la sang-pure de le laisser la suivre où qu’elle aille. Amabelle accepta volontiers, bien qu’elle soit consciente qu’une carrière au ministère n’était pas faite pour son ami. Peut être espérait-elle que ces nouvelles responsabilités le feraient mûrir ? Ou qu’un rapprochement hors des murs de l’école ferait évoluer leur relation dans une autre direction.... Basil lui-même commençait à y songer mais il n’eu jamais eu le temps de creuser la question ; le 24 Octobre 1971 Mrs Flint périt dans un tragique " accident" et tout bascula à nouveau.
Amabelle disparut subitement de la circulation pour pleurer la mort de sa mère et ne réapparut plus pendant des semaines. Ses réponses aux lettres intempestives de Basil ne furent pas très éloquentes non plus ; quelques lignes à peine pour s’excuser de son silence, expliquer qu’Amaury avait besoin d’elle et lui promettre qu’ils se reverraient bientôt. Bientôt... quel mot convenant ! Pendant plus d’un mois et demi elle lui fit miroiter des retrouvailles émouvantes. Et lorsqu’ils se retrouvèrent enfin, elle lui annonça qu’elle quittait définitivement l’Angleterre. Mr Flint avait apparemment défié les mauvaises personnes et sa sottise s’était retourné contre sa femme.... pour l’instant. Il craignait que ses deux enfants ne soient également en danger et préférait fuir en France, mère patrie de feu Mrs Flint. Amabelle n’aimait pas beaucoup ce plan mais elle avait accepté pour ne plus avoir à vivre dans le manoir hanté par les souvenirs de sa mère. Cependant, elle jura qu’elle lui écrirait tous les jours et qu’elle reviendrait dans quelques mois, quand la peine se serait dissipée. Il y crut naïvement sans se poser de questions.
Les dix premières semaines, elle tint parole. Chaque matin, elle lui envoyait une lettre pour lui raconter sa vie à Grasse, lui parler de ses nouveaux amis et lui demander de ses nouvelles. Puis, les hiboux s’espacèrent... jusqu’à ne plus arriver du tout. Dans sa dernière missive, elle avoua qu’elle avait trouvé un poste de traductrice au ministère de la magie français et qu’elle était très occupée. Il y avait aussi ce sorcier aux yeux bleus qu’elle citait fréquemment... trop fréquemment. Comprenant qu’elle ne reviendrait jamais, il abandonna sa propre place au ministère et se mit à chercher autre chose.
Il pensa d’abord à se reconvertir dans la vente, de préférence dans la boutique d’un vieux camarade de classe, mais le job fut offert à un autre. Dépité, il fit le tour de son répertoire et trouva finalement secours auprès d’une ancienne Serdaigle. La jeune femme travaillait dans un magazine sorcier qui cherchait justement un assistant capable de rédiger cinq phrases à peu près correctement. Il frappa donc à leur porte, fit un grand sourire et devint gratte-papier pour le compte d’un vieux journaliste bedonnant.... et ivrogne. Au bout de trois jours, Basil comprit qu’on l’avait surtout engagé pour corriger les énormes fautes du bonhomme et écrire à sa place quand il était ivre mort. Mais loin de s’en offusquer, il saisit cette opportunité pour prouver à tout le monde qu’il avait du talent et qu’il valait mieux que le pauvre type qui lui servait de supérieur. Sa détermination et son enthousiasme séduisirent le rédacteur en chef et il grimpa rapidement les échelons... jusqu’à changer de magazine pour un beaucoup plus prestigieux.
En 1976, Sorcière Hebdo le contacta pour un poste de chroniqueur dans la rubrique « Potins ». Bien que le thème le laissât de marbre, la paie alléchante le persuada d’accepter et il commença une brillante carrière de journaliste à scandales. Ce métier lui allait comme un gant cousu sur mesure et il devint rapidement amoureux de son boulot. Les stars le passionnaient, de par leur manière de vivre dans un autre monde, de représenter un idéal reconnu et d’être à la fois plus fragile que n’importe quel autre humain. En fait, il adorait tellement les observer et les écouter parler qu’il oublia qu’il travaillait seul... et qu’il s’en sortait très bien ! Oh bien sûr, il était toujours célibataire, trouillard comme tout et ses articles ne changeaient la vie de personne. Mais au moins il aidait les pauvres citoyens anglais à se changer les idées quand ils ne voulaient plus penser à la guerre. Cette guerre qui n’en finissait pas... cette guerre qu’il avait décidé d’ignorer autant que possible. S’il y a bien une chose dont il était certain, c’est qu’il n’avait pas le cœur assez accroché pour y prendre part. Alors il resterait terré dans son trou en attendant que ça passe.... comme il avait toujours fait.
Amabelle disparut subitement de la circulation pour pleurer la mort de sa mère et ne réapparut plus pendant des semaines. Ses réponses aux lettres intempestives de Basil ne furent pas très éloquentes non plus ; quelques lignes à peine pour s’excuser de son silence, expliquer qu’Amaury avait besoin d’elle et lui promettre qu’ils se reverraient bientôt. Bientôt... quel mot convenant ! Pendant plus d’un mois et demi elle lui fit miroiter des retrouvailles émouvantes. Et lorsqu’ils se retrouvèrent enfin, elle lui annonça qu’elle quittait définitivement l’Angleterre. Mr Flint avait apparemment défié les mauvaises personnes et sa sottise s’était retourné contre sa femme.... pour l’instant. Il craignait que ses deux enfants ne soient également en danger et préférait fuir en France, mère patrie de feu Mrs Flint. Amabelle n’aimait pas beaucoup ce plan mais elle avait accepté pour ne plus avoir à vivre dans le manoir hanté par les souvenirs de sa mère. Cependant, elle jura qu’elle lui écrirait tous les jours et qu’elle reviendrait dans quelques mois, quand la peine se serait dissipée. Il y crut naïvement sans se poser de questions.
Les dix premières semaines, elle tint parole. Chaque matin, elle lui envoyait une lettre pour lui raconter sa vie à Grasse, lui parler de ses nouveaux amis et lui demander de ses nouvelles. Puis, les hiboux s’espacèrent... jusqu’à ne plus arriver du tout. Dans sa dernière missive, elle avoua qu’elle avait trouvé un poste de traductrice au ministère de la magie français et qu’elle était très occupée. Il y avait aussi ce sorcier aux yeux bleus qu’elle citait fréquemment... trop fréquemment. Comprenant qu’elle ne reviendrait jamais, il abandonna sa propre place au ministère et se mit à chercher autre chose.
Il pensa d’abord à se reconvertir dans la vente, de préférence dans la boutique d’un vieux camarade de classe, mais le job fut offert à un autre. Dépité, il fit le tour de son répertoire et trouva finalement secours auprès d’une ancienne Serdaigle. La jeune femme travaillait dans un magazine sorcier qui cherchait justement un assistant capable de rédiger cinq phrases à peu près correctement. Il frappa donc à leur porte, fit un grand sourire et devint gratte-papier pour le compte d’un vieux journaliste bedonnant.... et ivrogne. Au bout de trois jours, Basil comprit qu’on l’avait surtout engagé pour corriger les énormes fautes du bonhomme et écrire à sa place quand il était ivre mort. Mais loin de s’en offusquer, il saisit cette opportunité pour prouver à tout le monde qu’il avait du talent et qu’il valait mieux que le pauvre type qui lui servait de supérieur. Sa détermination et son enthousiasme séduisirent le rédacteur en chef et il grimpa rapidement les échelons... jusqu’à changer de magazine pour un beaucoup plus prestigieux.
En 1976, Sorcière Hebdo le contacta pour un poste de chroniqueur dans la rubrique « Potins ». Bien que le thème le laissât de marbre, la paie alléchante le persuada d’accepter et il commença une brillante carrière de journaliste à scandales. Ce métier lui allait comme un gant cousu sur mesure et il devint rapidement amoureux de son boulot. Les stars le passionnaient, de par leur manière de vivre dans un autre monde, de représenter un idéal reconnu et d’être à la fois plus fragile que n’importe quel autre humain. En fait, il adorait tellement les observer et les écouter parler qu’il oublia qu’il travaillait seul... et qu’il s’en sortait très bien ! Oh bien sûr, il était toujours célibataire, trouillard comme tout et ses articles ne changeaient la vie de personne. Mais au moins il aidait les pauvres citoyens anglais à se changer les idées quand ils ne voulaient plus penser à la guerre. Cette guerre qui n’en finissait pas... cette guerre qu’il avait décidé d’ignorer autant que possible. S’il y a bien une chose dont il était certain, c’est qu’il n’avait pas le cœur assez accroché pour y prendre part. Alors il resterait terré dans son trou en attendant que ça passe.... comme il avait toujours fait.
Absolument rien. Mais s’il savait que quelques fous peuvent voir des choses qui n’existent pas, il se précipiterait sur eux avec une plume à papotte... avant de réaliser qu’ils peuvent être dangereux et de remettre une certaine distance de sécurité entre lui et son sujet d’étude. Si le ou la Crépusculaire ne se montre pas agressif, il continuera de le ou la harceler de questions (en restant loin) jusqu’à avoir trop mal à la mâchoire pour articuler un mot de plus. Dans le cas contraire, il s’éloignera prudemment – sans cesser de jeter des coups d’œil en arrière pour s’assurer qu’on ne l’attaque pas dans le dos – et suivra l’affaire dans la presse.... En admettant que les journalistes moins peureux que lui veuillent bien enquêter là-dessus et se fassent publier. Dans le pire des cas, il leur enverra les noms et adresses des quelques fo... Crépusculaires qu’il aura réussit à dénicher pour qu’ils les interrogent à sa place. Et voilà le travail d’équipe !
۞ QUEL RAPPORT AVEZ-VOUS AVEC LA DIVINATION ? :
Quelle divination ? Si vous pensez à l’avenir qu’on lit dans les cartes, les feuilles de thé et les boules de cristal, autant vous arrêtez tout de suite. Basil n’y connaît rien et il n’est pas vraiment sûr de croire. C’est tellement brumeux tout ces trucs là... Par contre, il prend très au sérieux la divination par l’arithmancie. Il est persuadé que chaque chiffre a un pouvoir magique et il affirme qu’un bon arithmancien peut prédire n’importe quoi. Bon, en fait, il y croit même peut être un peu trop.... mais pour sa défense, il a été traumatisé par le chiffre six ! A force de s’entendre répéter que sa date de naissance était à l’origine de sa malédiction, il s’est auto-convaincu que ça avait effectivement influencé sa destinée. Et puis, ne dit-on pas que toutes les légendes contiennent une parcelle de vérité ? Alors non, le chiffre 6 n’est peut être pas celui du diable mais oui, il porte malchance. Et tous les autres ont aussi une signification qu’il prend au pied de la lettre. Il s’y connaît d’ailleurs assez bien dans ce domaine. Mais à part ça, il est plutôt terre à terre et refuse de croire n’importe quoi sous n’importe quel prétexte.
۞ QUE PENSEZ-VOUS DE L'ORDRE DES PHÉNIX ET DES MANGEMORTS ? :
Le simple terme « mangemort » le fait trembler de la tête aux pieds. Il les déteste – parce qu’il estime qu’ils sont responsables du départ d’Amabelle – mais les craint encore plus. S’il venait à croiser la route de l’un d’eux (ou même d’un sorcier qu’il soupçonnerait d’être mangemort sans en être tout à fait sûr) il transplanerait aussitôt sans prendre le temps de dire « Cracmol ». Aussi essaie-t-il de ne pas penser au fait que bon nombre de partisans du Lord des Ténèbres se cachent parmi les autres sorciers. Il aime se faire croire qu’il reconnaîtrait un type suspect et qu’il n’en a aucun dans son cercle d’amis. D’ailleurs, si vous lui affirmez le contraire, il se mettra probablement à parler de la météo ou du dernier match de quidditch.
Quant aux Phénix... eh bien, il n’est pas très envie d’en croiser un non plus, de peur qu’on l’associe à eux et qu’on l’entraîne dans de drôles d’histoires. En fait c’est très simple : plus il se tient éloigné de la guerre et de tout ce qui s’y rapporte en général, mieux il se sent. Les Phénix étant invariablement associés à la crise qui frappe le pays depuis 8 ans, il ne veut rien avoir à faire avec eux. Qu’ils sauvent le pays sans lui, il les remerciera plus tard avec des articles élogieux à leur gloire.
۞ AVATAR : Matthew Gray Gubler ۞ DOUBLE COMPTE ? Nope ۞ PRÉNOM OU PSEUDO :Aïda ۞ ÂGE DU JOUEUR : Mentalement ou physiquement ? Physiquement, j’en ai 23 (T_T). Mentalement... je suis pas encore très sûre. ۞ COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? On m’y a tirée. Violemment. Avec un lasso en cuir noir. Heureusement que j’aime ça ۞ COMMENT TROUVEZ-VOUS LE FORUM ? Le forum sort du lot, tant au niveau design que contexte. Et pour le reste... à découvrir ^^ ۞ PRÉSENCE SUR LE FORUM : Je me connecterai tous les jours et je rpotterai aussi souvent que possible, selon l’inspiration, la motivation et mon emploi du temps. |
Dernière édition par Basil Cavendish le Dim 26 Oct - 17:22, édité 4 fois
Basil Cavendish- Messages : 356
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Re: Basil A. Cavendish
EHEHEHEHE
Coucou !
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Dorion Volk- Terreur de Bouillie
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Re: Basil A. Cavendish
Enfin un côté Phénix et il faut que ce soit un enquiquineur de première ... TT
Mais bienvenue quand même Et bon courage pour la rédaction de ta fiche !
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Célène Fraser- Drama Queen Serial Kickeuse
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Re: Basil A. Cavendish
Tiens tiens.. bienvenue petite chose !
Bon courage pour le blablatage de ta fiche et la validation :red:avant de pouvoir croiser en personne ton petit enquiquineur sur pile électrique (rechargeable?)
Bon courage pour le blablatage de ta fiche et la validation :red:avant de pouvoir croiser en personne ton petit enquiquineur sur pile électrique (rechargeable?)
Nicholaus Rosenhirsh- Messages : 910
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Re: Basil A. Cavendish
Doudou !
Quoique des petits coeurs avec Severus ça fait pas très sérieux --' Enfin bienvenuuue **
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Invité- Invité
Re: Basil A. Cavendish
Merci les gens ! Et j'ai finiiiiiiii !!!
*Pleure*
Bon, je vous offre votre première fiche pompeuse avec plein de longueurs, me remerciez pas
Et je suis pour la cave ! C'est quand qu'on l'ouvre dites, dites, diiiiites ?
*Pleure*
Bon, je vous offre votre première fiche pompeuse avec plein de longueurs, me remerciez pas
Et je suis pour la cave ! C'est quand qu'on l'ouvre dites, dites, diiiiites ?
Basil Cavendish- Messages : 356
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Re: Basil A. Cavendish
Tu viens d'intégrer Crépuscule !
Eh oui ! Comme ça, du premier coup ! L'histoire est originale, le personnage attachant malgré son côté hyperactif et fouineur ... Donc rien de notable à relever, si ce n'est quelques fautes d'accord et d'inattention qui n'enlèvent rien à la qualité de ton écriture.
Alors pour la peine ...
Tu rejoins le groupe des
Médias .
Tu rapportes également 10 Points de Poudlard aux Poufsouffles.
Tu peux d'ores et déjà créer ta fiche de lien & commencer à rédiger ton carnet de bord. Nous t'invitons également à bien fouiner notre forum, car bien d'autres sujets s'offrent à toi !
Nous te souhaitons la bienvenue sur le Crépuscule des Sorciers & surtout, un bon jeu !
Eh oui ! Comme ça, du premier coup ! L'histoire est originale, le personnage attachant malgré son côté hyperactif et fouineur ... Donc rien de notable à relever, si ce n'est quelques fautes d'accord et d'inattention qui n'enlèvent rien à la qualité de ton écriture.
Alors pour la peine ...
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