[Périple] Bringing darkness from above [ Pv : Nicholaus ]
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[Périple] Bringing darkness from above [ Pv : Nicholaus ]
« Mr Black,
La terrible journée du 1er novembre nous a révélé à quel point Voldemort et ses partisans étaient susceptibles de s’intéresser à nos concitoyens les plus vulnérables.
Voilà pourquoi je vous envoie, Mr Awkreed et vous, vous assurer que l’un d’entre eux se porte bien. Ainsi que, naturellement, d’assurer sa protection si les événements venaient à s’emballer.
En d’autres termes, faites attention à lui, mais à vous également.
A. Dumbledore. »
La terrible journée du 1er novembre nous a révélé à quel point Voldemort et ses partisans étaient susceptibles de s’intéresser à nos concitoyens les plus vulnérables.
Voilà pourquoi je vous envoie, Mr Awkreed et vous, vous assurer que l’un d’entre eux se porte bien. Ainsi que, naturellement, d’assurer sa protection si les événements venaient à s’emballer.
En d’autres termes, faites attention à lui, mais à vous également.
A. Dumbledore. »
Jusque là, d'accord. Aucun problème ; au contraire, c'est avec bonne foi et volonté que je comptais toujours remplir cette mission, pour le temps que Dumbledore jugera nécessaire. Là où ça s'est compliqué, c'est au moment où j'ai décidé d'inspecter le reste de l'enveloppe pour trouver les documents joints à la lettre au sujet de cette dite personne vulnérable. Je me suis donc baissé sous la table afin de récupérer l'enveloppe que j'avais jetée - sans penser qu'il y aurait des trucs utiles à l'intérieur, évidemment -. Sauf qu'en tirant sur le papier, toujours baissé sous la table, j'ai dégagé la photo du pauvre bougre traqué par les mangemorts. J'ai été tellement surpris de tomber sur ce fou furieux aveugle que je me suis redressé d'un coup. Et que le coin de la table est resté imprimé sur l'arrière de mon crâne.
Je mourrai stupidement. Ca ne fait aucun doute.
* ~ * ~ *
« Ca fait cinq jours qu'on est plantés ici comme des mandragores ... Ca va durer encore longtemps ? De toute façon il reste cloîtré dans cet appartement à longueur de temps, qu'est-ce qui peut bien lui arriver ? »
Je grogne, et éloigne mon regard de la fenêtre du Rosenhirsch. En plus, son foutu flerreur n'arrête pas de se percher au bord et de regarder das notre direction, et ça me stresse. Surtout que, surveiller ce vieux fou, c'est une chose ; mais perdre mon temps à observer une fenêtre, une porte qui reste résolument fermée à l'exception d'une livraison ... Ceci étant, les membres de l'Ordre qui le surveillaient avant nous nous ont prévenus qu'il ne se passait pas grand chose. Mais à ce point ... J'ai simplement l'impression de perdre mon temps. « Reste calme, jeune homme. C'est Dumbledore qui nous a chargés de ça, tout ce qu'on a à faire c'est surveiller ce pauvre bougre, et le faire de façon efficace. Évite-nous la crise de nerfs, s'il te plait. »
Je me tourne vers Awkreed et hausse un sourcil. Voilà qu'il joue les autoritaires, celui-là. Sur les nerfs, hm ? Peut-être que ma mauvaise humeur permanente commence à venir à bout de sa patience. Hé bien tant pis ; Dumby n'avait qu'à réfléchir avant de me coller ce père de famille médicomage sur le dos. Ou plutôt, de me coller sur son dos à lui, parce qu'il est clairement plus qualifié que moi pour avoir affaire aux gens complètement dérangés comme c'est le cas de Nicholaus. Je l'ai déjà rencontré une fois, et merci, ça me suffisait. Pas besoin de rajouter cette foutue mission. Surtout si c'est pour rester planté ici de cette façon.
En tout cas, le maximum de précaution a été prises. On a placé des détecteurs de passage à l'entrée de son immeuble, et depuis notre observatoire, on peut voir et la fenêtre sur laquelle son chat se poste régulièrement, et ladite entrée surveillée. A moins qu'il existe une entrée invisible, aucun allé ou retour jusque dans son appartement ne peut nous échapper. Tant qu'il reste à l'intérieur, on reste sûrs que tout va bien. Mais si jamais il vient à sortir, ce sera le moment d'intervenir ; au moins de le suivre, et dans l'idéal, de l'aborder pour qu'il finisse par accepter de nous avoir avoir dans les pattes. Ca nous faciliterait grandement les choses. Mais évidemment, vu la situation de l'homme, impossible de faire les choses n'importe comment. J'ai eu droit à l'exposé des troubles de Nicholaus, puisque mon cher collègue est un spécialiste de la question. Je suis rôdé, en tout cas. Promis, plus de geste brusque, de menace ... de défonçage factuel, non plus.
« En cinq jours, il n'est pas sorti une seule fois. Par précaution, je suggère qu'on aille jeter un oeil là haut. On peut prétexter qu'on vient de Sainte-Mangouste pour prendre de ses nouvelles. Etant donné l'avancée de ses pathologies je pense que ça doit arriver de temps en temps, ça ne devrait pas trooop le surprendre. Je l'espère en tout cas. » Je grimace. Hors de question que je retourne dans cet appartement tant que ce fou furieux me considérera comme son ennemi. Il est totalement imprévisible ; et étant donné ce qui s'est passé la dernière fois que j'ai eu affaire à lui, je préfère me tenir éloigné. L'idéal étant qu'il ne sache même pas que je le surveille et que seul Awkreed s'occupe de la garde rapprochée (officieuse, encore, évidemment). Dans sa tête, il faudrait que je reste le gamin avec qui Célène a couché pour décompresser. Ce serait vraiment l'idéal.
« Vas-y, toi. Moi je préfère me tenir éloigné de lui, ça vaut mieux. Je reste en bas de l'immeuble, près de la cage d'escalier, et je te laisse monter pour lui parler ; et vérifier qu'il est vivant. » Il fronce les sourcils, guère ravi de se voir imposer des contraintes par son gamin de coéquipier. « A moins que tu aies une meilleure idée ? Il m'a déjà vu -on se fout des circonstances, ok ?-, il pourrait se mettre en tête que je le suis et que je suis un ennemi, vu comment il déraille ! En plus, le médicomage, c'est toi, tu seras beaucoup plus convaincant que moi. Et tu risque moins de faire une connerie. » C'est en tout cas ce que j'espère ; parce que dans le genre pas doué, il n'est pas mal non plus. C'est un type sympa, phénix engagé et sûr de ses convictions ... Mais il est aussi père de famille, et a surtout très peur pour ses enfants, et pour sa femme, qui sont tous en Irlande. Il n'est pas vraiment à l'aise avec l'idée de se battre et de devoir tuer ; mais il est prêt à le faire pour protéger les siens. Le problème étant qu'il se débrouille comme il peur pour s'en sortir au milieu de tout ça, mais qu'il est encore plus maladroit que moi. Le capteur à l'entrée de l'immeuble, il n'arrêtait pas de s'activer pour rien. Ce boulet l'avait mal installé et il a fallu que j'y retourne pour le replacer correctement. Autant dire que l'idée qu'il monte tout seul à haut ne me plait pas ; mais c'est quand même plus sûr.
Nous quittons donc notre observatoire pour rejoindre l'entrée de l'immeuble. Naturellement, le capteur accroché au col de ma veste émet un léger signal lorsque nous franchissons la porte. Sur un signe de tête de Awkreed, je me place dans l'angle de la cage d'escalier et reste en place le temps qu'il monte jusqu'au premier étage. En croisant les doigts pour qu'il ne fasse pas de boulette.
Quelques coups retentissent contre le bois de la porte, et je retiens ma respiration. « Mr Rosenhrisch-irsh ? Bonjour, je suis Dr Heaven, je travaille à Sainte-Mangouste. La section psychomagie de l'hôpital m'envoie pour m'assurer que vous vous portez bien ; avec les récents événements, ces terroristes qui courent les rues ... Il fait vraiment pas bon vivre en ce moment, hein ? Enfin voilà, vu votre condition, être tout seul dans ces circonstances ce n'est pas ce qu'il y a de plus sage et »
Je grince des dents, et décide finalement d'arrêté d'écouter, de peur de désespérer seul en bas de cet escalier pendant que mon imbécile de coéquipier perd toute crédibilité. Si dieu existe, qu'il fasse quelque chose !
Sirius Black- Black-Bad-Boy-Bébé-Style !
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Re: [Périple] Bringing darkness from above [ Pv : Nicholaus ]
Nicholaus - Sirius
[Périple] Bringing darkness from above
Appartement de Nicholaus Cela faisait des années qu'il se savait surveillé, épié, mil à mal et prit à parti. Des années qu'il travaillait chez les Oubliators, avec les Langues-de-Plombs à devoir discerner les mensonges de la réalité et en recréer d'autres. Des années que tous les regards, les murmures, les complots étaient tournés vers lui. Quelles que soient les raisons, les groupuscules, les réalités et les espaces temporels. Pensaient-ils vraiment qu'il ne les remarquerait pas? Qu'il était un simple handicapé subissant sa situation sans jamais se méfier et se protéger du monde extérieur? Il savait. Trop de choses même. Depuis combien de temps étaient-ils là? Qui étaient-ils? Des agents du Lord? Nicholaus en avait déja remarqué, et le Seigneur des Ténèbres lui avait même tous simplement dit qu'il ferait plus que garder un yeux sur lui, qu'il n'aurait pas d’échappatoire, qu'il lui appartenait d'une certaine façon, surtout après les événements de Novembre et l'aveux de sa condition de Crépusculaire au Mage Noire. Des sbires du Ministère ? Probable aussi. En tant qu'ancien oubliator soi-disant devenu fou, il pouvait présenter un risque dans la situation actuelle, et il connaissait bien le Ministère, ces dernier ne reculeraient devant rien, interceptant la moindre miette qui leur mettrait la puce à l'oreille..Sans parler bien sur de son appartenance aux Mangemorts... Ce qui menait au troisième groupe. Les Phénix. Pouvaient-ils se douter de quelque chose? Son étrange absence de présence à Sainte-Mangouste? Son refus de voir ce satané Dumbledore malgré la lettre que ce dernier lui avait écrit? Nicholaus lui avait poliment répondu de s'occuper de lui-même et de sa barbe mais tout le monde savait à quel point ce genre de personne pouvait être obstinée...ou Perspicace. En plus d'être plus que soupçonné d'être l'un des fondateurs de l'Ordre contre lequel le Crépusculaire se battait. Peut-être aurait-il dut le voir? Lui parler? Mais cela aurait été risquer plus encore. Dumbledore ne faisait rien sans rien et Nicholaus se méfiait de lui depuis quelques années, oscillant entre méfiance et culpabilité. Ou alors... Les Non-Morts. Les sans-Souffles. Les Possédants. Les pires. Qui pouvaient être seuls et tout ceux-là à la fois, entremêlant les fils des complots et pièges, des fautes et conséquences. N'avait-il pas remarqué la mise en Majuscule de certains lettres dans les derniers parchemins reçus? Ce n'était pas là par hasard. Difficile à savoir. Difficile à affirmer. Mais il y avait quelqu'un. Plusieurs. Surtout que lorsqu'il s'en était rendu compte, abruptement, après avoir méticuleusement prit soin de tout vérifier, la peur et la méfiance s'était insinuée avec force et il avait eu beaucoup de mal à regagner son apparemment, le verrouiller plus encore qu'habituellement pour laisser la crise d'angoisse l'envahir quelques instants plus tard, à l'abri, en relative sureté. Les heures, les jours étaient passés. Les voix aussi, moqueuses. Les signes, incertains, les ombres, silencieuse. Il n'en avait qu'été plus prudent. Refusant toute visite, même de Curtis dont le silence révélait qu'il était vexé, une fois de plus. Pas de Crumble aux myrtilles de la part de Mutter. Mieux valait prévenir que guérir. La présence de Melchior, régulière, placide, sur le bord de sa fenêtre rassurait autant qu'elle inquiétait le Crépusculaire. Veillait-il vraiment? Les avait-il vu lui aussi? Juste une partie? Ou rien que le vide? Rester chez lui était le meilleur moyen de ne pas interférer avec le Destin et les missions de ces inconnus, quels qu'ils soient. Autant que faire se pouvait du moins, puisqu'à son grand damne il ne pouvait non plus complètement rester renfermer, ne serait-ce que pour ne pas mettre le Lord en colère. Ce dernier ayant exigé à plusieurs reprises quelques observations menues -souvent avortées par sa cécité- de ce qu'il semblait considérer comme important. Une situation nettement pas arrangeante quand on se savait veillé par les plus sombres complots. Une situation clairement stressante et qui fatiguait plus encore l'ancien oubliator. Difficile d'obéir au Sombre Lord quand on se savait surveillé mais qu'on n'en connaissait les tenants et aboutissants. Même s'il s'agissait de sbires mangemorts, il aurait suffit que le Rosenhirsh soit trop confiant et le Maître pourrait considérer ceci comme une tentative de trahison. Quand au reste... Une tasse de lait chaud entre les doigts, Nicholaus était pensif, sourcils froncés, caressant mécaniquement le pelage de Melchior, appréciant le grincement régulier du coucou germanique qui ornait le mur qu'il s'avait d'une blancheur immaculée. Si ces moments pouvaient s'étirer en éternité au lieu de laisser le temps courir et tout chambouler immanquablement.. Le coursier de la veille en était un parfait exemple. Ce dernier venant simplement délivrer au Crépusculaire des commandes qu'il ne pouvait se faire livrer par hibou témoignait parfaitement de la main-mise du Lord: un ordre sous forme de parchemin enchanté et discret -le livreur n'était qu'un pion qui n'avait probablement aucune idée de son implication- demandant au Blond d'aller lui-même livrer à son tour un message à l'un des leurs... Véritable besoin pour l'organisation ou simple test, un de plus, de la part de Voldemort? Nicholaus avait eu besoin de la journée de la veille et tout le début de celle-ci pour se préparer mentalement à ressortir et mener à bien sa mission pour revenir au plus vite, tout en devant absolument prendre en compte le reste des risques. Les Autres. Les regardeurs. Cette donnée inconnue et dangereuse. Son programme était parfaitement réglé. Aujourd'hui conviendrait, si tout se passait correctement. En attendant, il avait le temps de savourer son lait, le silence, ses repaires, d'essayer faussement d'oublier le monde extérieur. Quand tout s'écroula. Une alarme magique s'activa, révélant un passage à l'entrée de l'immeuble, une autre dans les escaliers. Puis les marches qui menaient à SON étage. L'instant d'après, on toquait. Nicholaus en avait arrêté de respiré, s'était rapidement déplacé dans la pièce, la tasse fumante abandonnée sur le meuble, baguette à la main. Ses sortilèges de reconnaissances placés en extérieur et sur sa porte ne lui apprirent rien. La voix qui s'éleva peu après encore moi. Ses paroles lui insinuèrent le frisson trop connu de la méfiance. Il ne connaissait pas cet homme. Mais il était vrai qu'il ne mettait presque plus les pieds à Ste Mangouste, le lieu le rebutait, l'effrayait et le mettait mal à l'aise. Ses médecins plus encore. Ce que n'importe qui pouvait comprendre avec la destruction du bâtiment, les attaques, les disparitions.. Il acceptait de recevoir Sorcha mais de manière plus qu'exceptionnelle et avait effectivement décliné poliment mais sèchement deux de leurs rendez-vous. Leur dernier échange avait été plus que glacial. L’hôpital avait probablement entendu parler de cela, ou s'occupait peut-être simplement de faire le point après trop peu d'informations. Mais.. Il ne connaissait pas cet homme. D'où Fowles enverrait ainsi un inconnu pour quelqu'un dans "sa" situation comme le disait si bien le sorcier de l'autre côté de la porte? D'une voix neutre aux intonations aussi sûres que froides, Nicholaus prit la parole, non sans avoir préalablement levé le sortilège gardant son appartement hors de la perception auditive de l'extérieur. " Si vous êtes effectivement ce que vous prétendez être, Docteur Heaven, vous devez avoir un document de Ste Mangouste. Je vous serais gré de bien vouloir me le fournir. Il y a un espace disponible sur le bas de la porte, aux trois quarts." Et un fin sourire froid et sans joie étira les lèvres de l'albinos. L'autre avait bien mis trois secondes à trouver quoi en dire, avant de se mettre à bafouiller, expliquer qu'il n'avait pas besoin de cela, qu'il devait lui faire confiance, que c'était pour sa propre santé et qu'être aussi méfiant ne l'aiderait pas. Nicholaus reconnaissait aisément que l'autre avait l'air d'effectivement mettre sa santé au premier plan, mais un psychomage envoyé chez lui sans cette preuve? Soit c'était bien un mensonge, et le Rosenhirsh refusait de risquer quoi que ce soit, soit l'homme disait la vérité et avait sans doute oublié lui-même de prendre le parchemin et n'était donc qu'un sot. Ce qui n'était pas moins dangereux dans sa situation. "Je refuse pertinemment de discuter avec un homme qui ne peut prouver être mon médecin. Et si vous continuez, je contacterai sans hésiter la Brigade Magique." Son ton n'était pas mauvais, très calme et neutre au contraire, témoignant qu'il mettrait sa menace à exécution sans soucis. Bien sûr, derrière la porte, le Blond serrait les lèvres, prêt à user de sa baguette si l'homme s'évertuait à insister, à rester ou pire...essayait d'entrer par la force. Il serait reçut. Heureusement, l'autre du rapidement comprendre la situation, gardant un ton poli et contrit, s'excusant et assurant qu'il reviendrait rapidement avec le-dit document pour prouver qu'il n'y avait rien à craindre, finissant même avec un: "Dans tous les cas, je suis ravi de vous savoir apparemment en bonne santé et assez en forme pour vous occuper d'invités gênants, Mr Rosenhirsh. Je reviens vite, promis!" Avant de disparaître d'un pas rapide dans les escaliers. |
- Le pouvoir des Dés:
1.Qu'en est-il du document?
1- Le Phénix avait tout prévu, il en possède un, certifié, et impossible à remetre en doute (merci les contacts!)
2- D'un coup de baguette, le Sorcier transforme discrètement son propre document d'Irlande en un valable à ce nom, pour S-M. Nicholaus ne peut trouver la faille maintenant, mais peut-être plus tard.
3- L'homme n'avait absolument pas pensé que Nicholaus pourrait être aussi pointilleux, il bafouille et galère.2.(si tout sauf 3 au jet précédent) Nicholaus parvient-il à se débarrasser du Phénix gênant?
1- Oui
2- Pas tout de suite, il lui faut un peu de temps, de négociation, d'accepter d'en dire un peu plus sur lui avant d'enfin lui claquer la porte au nez.
3- Non, l'autre arrive même à le convaincre d'ouvrir la porte et de le laisser rentrer un peu.
Dernière édition par Nicholaus Rosenhirsh le Sam 10 Mai - 16:06, édité 2 fois
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Re: [Périple] Bringing darkness from above [ Pv : Nicholaus ]
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Re: [Périple] Bringing darkness from above [ Pv : Nicholaus ]
Depuis le bas de l'escalier, je cesse d'écouter la pluie qui a commencé à tomber et que j'entends derrière la porte, pour tenter de percevoir les derniers mots de mon coéquipier ... qui s'excuse piteusement devant l'appartement de notre homme et qui redescend illico. Je me décolle du mur, me redresse et l'attends en posant une main sur la clenche, près à sortir d'ici, jugeant qu'il serait plus prudent de discuter dehors. Pour autant, je ne le dispense pas d'un regard généreusement dépité. Et dire qu'on avait remis mes compétences en cause quand j'étais entré dans l'Ordre à cause, notamment, de mon âge ... C'est désolant. J'ouvre le battant, le laisse passer devant moi et m'engage sous la pluie à sa suite. Nous nous éloignons de quelques pas et nous plaçons juste à l'abri sous la charpente de l'immeuble. J'en profite pour dévisager mon camarade, attendant, sinon un rapport, au moins une petite explication, un résumé de ce qui vient de se passer. Penaud et mal à l'aise, il se balance d'un pied sur l'autre, les yeux allant d'un point derrière moi à quelque chose sur le sol en allé-retour.
« Oui, bon, de toute façon le but n'était pas de rentrer, je voulais juste voir s'il allait bien, hein ... Et puis c'est le cas, il est prévoyant, il laissera personne rentrer sans justification d'identité. » Je soupire. « Donc t'es en train de me dire qu'on a flingué notre couverture -ou en tout cas le fait qu'il ne sache pas qu'on le suit-, tout ça pour s'assurer que, comme tout le laisser penser, il était encore vivant et que, comme on le savait déjà, il est très prudent ? C'est un bon résumé ? » « Oh, baisse d'un ton, jeune homme. On a rien flingué du tout, il croit que je suis médicomage à Sainte-Mangouste, donc tout va bien. » « Non tout va pas bien, non, il est aveugle, donc ça implique qu'il entende super bien, je me trompe ? Il connaît ta voix maintenant. Et il faut absolument lui en fournir, des papiers, parce que si t'étais vraiment un médico venu pour t'assurer qu'il allait bien, tu repartirais pas comme ça sans revenir avec les papiers pour effecti » Son poing agrippe mon bras et le serre fortement ; assez pour me faire taire et retenir mon attention. « Le mec là-bas, c'est un brigadier, il nous regarde. On va pas rester devant l'immeuble et retourner à la planque, d'une parce qu'il nous voit, de deux parce qu'on est considérés comme des terroristes et que personnellement, j'ai pas envie de finir à Azkaban. » Exaspéré, je lui arrache mon bras. Et le fait qu'il puisse faire le lien entre deux terroristes devant l'appart d'un handicapé, ça lui échappait ? Et le fait que s'il vous voyait, il pouvait aussi nous suivre jusqu'à la planque en question ? « Retournes-y toi, moi je pars de l'autre côté pour pas qu'il puisse nous suivre tous les deux en même temps ... Et si tu vois qu'il te suit toi, fais un tour, rentre pas directement. » Pardon, je me sens obligé de préciser .. ses bourdes commencent à me faire stresser sérieusement. Navré si ça blesse son petit égo.
Je tourne les talons et me dirige vers la rue adjacente, passant non loin du brigadier. Il nous a vus le regarder, il a vu Awkreed me saisir le bras et le désigner dans sa grande discrétion ... Il y a quatre-vingt-dix pourcents de chances qu'il suive l'un de nous, et autant dire que je préférerais que ce soit moi. Pour une fois. J'essaie d'avoir l'air décontracté, joue d'une volonté incroyable pour ne pas m'assurer que mon collègue n'a pas l'air trop suspect et ne regarde pas fixement le policier en s'en éloignant ... Non sans croiser les doigts pour que ce ne soit pas le cas.
Je passe près de l'homme qui regarde dans ma direction. Son oeil passe sur moi comme sur les autres individus qui traversent la rue et il ne jette pas le moindre coup d'oeil vers la direction empruntée par mon coéquipier ; d'autant que je peux en voir, en tout cas. Tranquillisé, je tâche de me détendre et d'assouplir ma démarche, traçant mentalement l'itinéraire que j'allais prendre pour retourner à la planque sans retraverser la rue.
Ca se joue de dix bonnes minutes, lorsque je frappe à la porte de bois, les cheveux plaqués au visage par la pluie et dégoulinant de toute ma personne. Tout ça à cause de la discrétion de ce débile ... Heureusement, il ne me fait pas attendre et ouvre très vite la porte, visiblement soulagé de me trouver. J'ignore ses paroles - sans doute profondément inutiles - en passant devant lui pour me mettre au sec, grognant un simple « Pas de nouveau ? » en m'écrasant dans un fauteuil, entreprenant de me débarrasser de ma veste trempée, cherchant déjà visuellement des vêtements secs.
« Oui, bon, de toute façon le but n'était pas de rentrer, je voulais juste voir s'il allait bien, hein ... Et puis c'est le cas, il est prévoyant, il laissera personne rentrer sans justification d'identité. » Je soupire. « Donc t'es en train de me dire qu'on a flingué notre couverture -ou en tout cas le fait qu'il ne sache pas qu'on le suit-, tout ça pour s'assurer que, comme tout le laisser penser, il était encore vivant et que, comme on le savait déjà, il est très prudent ? C'est un bon résumé ? » « Oh, baisse d'un ton, jeune homme. On a rien flingué du tout, il croit que je suis médicomage à Sainte-Mangouste, donc tout va bien. » « Non tout va pas bien, non, il est aveugle, donc ça implique qu'il entende super bien, je me trompe ? Il connaît ta voix maintenant. Et il faut absolument lui en fournir, des papiers, parce que si t'étais vraiment un médico venu pour t'assurer qu'il allait bien, tu repartirais pas comme ça sans revenir avec les papiers pour effecti » Son poing agrippe mon bras et le serre fortement ; assez pour me faire taire et retenir mon attention. « Le mec là-bas, c'est un brigadier, il nous regarde. On va pas rester devant l'immeuble et retourner à la planque, d'une parce qu'il nous voit, de deux parce qu'on est considérés comme des terroristes et que personnellement, j'ai pas envie de finir à Azkaban. » Exaspéré, je lui arrache mon bras. Et le fait qu'il puisse faire le lien entre deux terroristes devant l'appart d'un handicapé, ça lui échappait ? Et le fait que s'il vous voyait, il pouvait aussi nous suivre jusqu'à la planque en question ? « Retournes-y toi, moi je pars de l'autre côté pour pas qu'il puisse nous suivre tous les deux en même temps ... Et si tu vois qu'il te suit toi, fais un tour, rentre pas directement. » Pardon, je me sens obligé de préciser .. ses bourdes commencent à me faire stresser sérieusement. Navré si ça blesse son petit égo.
Je tourne les talons et me dirige vers la rue adjacente, passant non loin du brigadier. Il nous a vus le regarder, il a vu Awkreed me saisir le bras et le désigner dans sa grande discrétion ... Il y a quatre-vingt-dix pourcents de chances qu'il suive l'un de nous, et autant dire que je préférerais que ce soit moi. Pour une fois. J'essaie d'avoir l'air décontracté, joue d'une volonté incroyable pour ne pas m'assurer que mon collègue n'a pas l'air trop suspect et ne regarde pas fixement le policier en s'en éloignant ... Non sans croiser les doigts pour que ce ne soit pas le cas.
- De#1:
- 1 : Le brigadier ne suit personne et se désintéresse de nous.
2 : Le brigadier me voit passer près de lui et retient mon attention en me hélant.
3 : Je jette un oeil au brigadier, refait quelques pas en regardant devant moi, lui rejete un regard ... merde, il est plus là. En me retournant, je le vois emboîter le pas à Awkreed...
Je passe près de l'homme qui regarde dans ma direction. Son oeil passe sur moi comme sur les autres individus qui traversent la rue et il ne jette pas le moindre coup d'oeil vers la direction empruntée par mon coéquipier ; d'autant que je peux en voir, en tout cas. Tranquillisé, je tâche de me détendre et d'assouplir ma démarche, traçant mentalement l'itinéraire que j'allais prendre pour retourner à la planque sans retraverser la rue.
Ca se joue de dix bonnes minutes, lorsque je frappe à la porte de bois, les cheveux plaqués au visage par la pluie et dégoulinant de toute ma personne. Tout ça à cause de la discrétion de ce débile ... Heureusement, il ne me fait pas attendre et ouvre très vite la porte, visiblement soulagé de me trouver. J'ignore ses paroles - sans doute profondément inutiles - en passant devant lui pour me mettre au sec, grognant un simple « Pas de nouveau ? » en m'écrasant dans un fauteuil, entreprenant de me débarrasser de ma veste trempée, cherchant déjà visuellement des vêtements secs.
Dernière édition par Sirius Black le Sam 14 Juin - 22:40, édité 1 fois
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