Morgane Breckenridge - "N'oublie jamais, celui qui croit savoir n'apprend plus. " ✧ Momo
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Morgane Breckenridge - "N'oublie jamais, celui qui croit savoir n'apprend plus. " ✧ Momo
۞ ÂGE : Son compteur affiche 25 Automnes, née dans les environs du 18 Novembre 1953. Un quart de siècle déjà.. ۞ NATIONALITÉ : Selon toute vraisemblance, Morgane est de nationalité britannique. D'ailleurs, ses parents adoptifs l'étant, elle n'a aucune raison de douter de l'inverse. ۞ ÉTAT CIVIL : Morgane est tout ce qu'il y a de plus célibataire dans ce monde. Sans attache, la jeune femme volette d'homme à homme, sans vraiment se poser. Elle n'a pas encore trouvé la perle rare. ۞ SANG : Officieusement, Morgane est une sang-mêlée, fruit interdit d'un sorcier au sang ordinaire et d'une moldue. Morgane est surtout une enfant adultère, car l'homme était déjà marié à une autre femme. La femme moldue, abandonnée par l'homme qu'elle aimait lorsque le scandale éclata dans la famille du père, ne se sentit pas d'élever son enfant seule et la déposa pour son propre bien devant la porte d'un orphelinat moldu, où elle fut adoptée rapidement par un couple. Ce qui explique qu'au yeux de la loi, elle est une née-moldue. Morgane n'a appris son adoption que tardivement et recherche sa mère avec l'énergie du désespoir, ne se doutant pas que c'est du côté de son père que la vérité peut être trouvée. ۞ BAGUETTE : Morgane a été choisie par une baguette de 24.6cm, relativement souple. Elle est composée d'un bois de hêtre et d'une fibre d'Elebore. Comme vous l'avez sans doute compris, elle a acheté cette baguette auprès de Woody Parkles, en 1976, après la perte - oui la perte ! - de sa première baguette. ۞ ECOLE : La jeune femme a effectué toute sa scolarité à Poudlard. Avec brio en plus. ۞ MAISON : Morgane est une indécise. Elle a passé sept minutes sur le tabouret, en attendant d'être répartie. Ambitieuse, discrète mais toujours la première pour se trouver là ou il ne fallait pas l'être, le choixpeau ne parvenait pas à déterminer sa future maison. C'est finalement vers Serdaigle qu'il choisi de l'envoyer, car son amour pour la connaissance supplantait le reste. ۞ MÉTIER/OCCUPATION : Après son diplome, elle s'est décidé à rentrer au Ministère de la Magie, plus principalement en tant qu'avocate au département de la justice magique, poste qu'elle occupe depuis quelques années maintenant. ۞ ORGANISATION : Elle s'est toujours désignée comme neutre, essentiellement parce qu'elle n'a aucune envie de prendre parti pour l'un des deux clans. Néanmoins, elle sait qu'elle fait partie de la liste noire des mangemorts : après tout, aux yeux de tous, elle n'est connue que pour être une née-moldue. Elle ne désire pas s'engager aux côtés des Phenix pour le moment car elle a trop peur des répercutions éventuelles. ۞ CAPACITE(S) SPECIALE(S) : Mogo, elle n'a pas de capacité spéciales et tant mieux. Elle n'a pas besoin de pouvoir supplémentaires pour être extraordinaires éè |
When I was a child ...
Un miracle. C'est ce que je fus pour mes parents – ou tout du moins ceux qui usurpèrent ce titre pendant près de deux décennies. La date de ma naissance n'est qu'approximative. Je suis née en milieu novembre de l'année 1953. Le 17, le 18 ? Le mystère est entier. Les médecins ont pris le parti du 18. Celui qui a choisi devait aimer les chiffres pairs, je suppose. Quoiqu'il en soit, je suis née et j'ai été abandonnée. Réjouissant, n'est-ce pas ? Personne ne sait qui était ma mère, pourquoi elle m'a déposée, ce matin là, à la porte de la paroisse du coin. De la paroisse, tiens : encore une ironie du sort. Quoiqu'il en soit, les religieux se sont occupés de moi et m'ont amené à l’hôpital. J'ai par la suite été confiée à l'orphelinat du coin, en attendant d'être adoptée. Processus qui durait généralement une éternité. Je n'ai aucun souvenir de cette période, n'y ayant été que quelques fois. Ça aussi c'est un miracle : les enfants sont rarement adoptés dans les orphelinats, à cause du caractère qu'ils développent et de leur absence de bonnes manières.
Mais revenons au miracle que je fus. Mes parents adoptifs ne pouvaient avoir d'enfant et ils s'étaient décidé à adopter. J'étais un bébé calme, tranquille mais attentif, d'après ce qu'on m'a expliqué. Je suppose que c'est ce que mes vrais parents ont rejeté, mais cela a attiré le regard de mes nouveaux. A six mois, j'étais dans ma nouvelle maison. Je ne peux pas dire que j'ai manqué de quoi que ce soit pendant mon enfance, ce serait même une honte d'affirmer l'inverse. Choyée comme l'unique enfant que j'étais et que je suis encore pour eux, ils m'ont tout donné. J'ai toujours trouvé ça normal, vous voyez. Pourtant, cela n'a pas fait de moi une enfant pourrie gâtée, comme ç’aurait été le cas de nombre d'autres. Inconsciemment, je suppose que je me doutais déjà que quelque chose clochait. Tant d'amour n'était pas normal, ils avaient forcément quelque chose à se reprocher, à combler. Mon raisonnement n'était pas aussi pragmatique mais mes capacités d'analyses, apparues très tôt, me permirent de comprendre que j'étais différente.
Cette différence s'est clairement affiché lors de ma sixième année. Je me souviens très bien de ce jour, encore maintenant, car il a été le premier tournant de ma vie. Une tempête faisait rage dans la région, nous ayant coupé de manière momentanée l'électricité. Nous avions des bougies certes, mais pas autant d'allumettes. Le noir était toujours quelque chose qui m'avait effrayé. Sombre, déprimant, décevant, effrayant, tant de mots pourraient le décrire. Nous devions cependant supporter cette obscurité permanente en cette fin de soirée et il n'était que peu prudent pour mon père d'aller chercher des allumettes dans un commerce alentour. D'autant plus qu'il était presque sûr de trouver porte close. Je me souviens m'être levée et m'être dirigée vers la cheminée. Elle ne crachotait plus rien que de fines braises, qu'on ne pouvait que difficilement attiser, mes parents s'y étant essayé en vain. J'avais froid, j'avais peur, je voulais de la lumière.
Et la lumière fut. Je ne plaisante pas, vous voyez. Des flammes, d'abord ténues mais plus importantes s'étaient mises à apparaître dans la cheminée. « Enry, regarde le bois ! » s'était exclamée ma mère lorsqu'elle avait aperçu la source de luminosité. Mes parents furent aux anges, bien qu'ils n'imputèrent d'abord pas cet incident – bienheureux certes, mais incident tout de même – à moi. C'était un miracle, une chance. Tout comme je l'avais été pour eux, lorsqu'ils avaient pu m'adopter. En revanche, c'est à partir de ce jour là que j'ai compris que j'étais différente. Pas puissante – pas pour le moment, certes – mais puissante, tout de même. J'ai été capable de bien des choses par la suite, même si je n'ai décidé par moi même d'aucune de ces choses : ouvrir des portes qui étaient fermées initialement (surtout lorsque j'étais privée de diner) en était un bon exemple. Mais le feu, je n'ai jamais su le faire réapparaitre à nouveau comme ce soir là. Pas sans ma baguette magique en tout cas. La réaction de mes parents ne me parut pas évidente, car je n'étais qu'une enfant à l'époque. Pourtant, les divers incidents qui se déroulaient sur leur toit n'avait pas de quoi les rassurer et je les vis à plusieurs reprises chuchoter tous les deux. Je peux aisément deviner maintenant qu'ils parlaient de moi et se faisaient mutuellement part de leur inquiétude. Pourquoi leur si tendre enfant faisait-elle des choses anormales ? Avait-elle un problème mental ? S'ils ne me firent jamais part de leur angoisse, je la ressentis parfois, latente dans les conversations que nous avions et cela finit par m'inquiéter quelque peu.
La confirmation, enfin, est arrivée. Nous étions mi-juin. Une chance pour le représentant magique, mes deux parents étaient de repos ce jour là. Si mon père n'avait pas été présent – et témoin – de ce qu'il a vu ce jour là, sans doute aurait-il franchement rit si nous lui avions expliqué l'histoire sans réelle preuve. Mais revenons à nos hyppogriffes.
Mon père était en train de jardiner lorsque le monsieur est arrivé. Son premier réflexe a été de le repousser. Mon père n'était pas connu pour son sens du tact, néanmoins, je comprenais sa réaction : qu'auriez-vous fait si vous vous étiez retrouvé face à un homme à l’accoutrement fort spécial (cape violette) qui souhaitait vous parler tout en restant mystérieux ? Cependant, après la froideur initiale, mon père s'est efforcé de se montrer courtois envers ce représentant et l'a invité à rentrer. Intriguée, ma mère et moi sommes arrivées dans le salon où les deux hommes avaient pris place. Lorsqu'il m'a vu, il a souri. J'ai compris qu'il venait pour moi. Un enfant normal aurait craint d'être repris à l'orphelinat et de devoir quitter à nouveau son foyer. Au lieu de ça, je me suis avancée et lui ai déclaré avec un ton cérémonieux: « Je vous attendais. » Je ne savais pas exactement ce que j'attendais mais je savais qu'il était là pour moi, pour expliquer à mes parents que tout ce que je faisait n'était pas normal, que c'était extraordinaire.
A la fin de l'entretien, qui a duré toute l'après-midi tant il fut difficile pour mes parents d'assimiler la vérité, je n'étais pas peu fière. Je dois avouer que mon orgueil, déjà relativement présent, en a pris un coup et pour employer une vulgaire expression « je ne me sentais plus voler ». C'est lors de mes achats sur le Chemin de Traverse que je suis redescendue véritablement sur Terre : je n'étais pas la seule sorcière – c'est ce que j'étais désormais – et j'étais loin d'être la plus douée. Il m'allait falloir travailler énormément pendant un certain temps pour acquérir de nombreuses compétences et faire de moi une sorcière accomplie et douée. Un défi que je me promis de relever.
Le moment le plus marquant de mon enfance – outre tous ces évènements – fut l'achat de ma baguette, qui a marqué l'un des pas dans mon apprentissage de la magie. Je me souviens de mon entrée dans le magasin d'Ollivanders, avec mes parents. Cet homme fantastique a bien vite compris aux coups d’œils que nous glissions partout, que nous n'étions pas de ce monde. Mes parents, en tout cas. Il nous a guidé à travers les méandres des étagères, m'a expliqué le fonctionnement des baguettes, comment elle allait me choisir. Je me suis tout de suite sentie proche de cet homme déjà âgé mais passionné par son métier. C'est lui qui nous fournissait, enfants que nous étions, l'avenir que nous aurions. Lorsque finalement, je choisis ma baguette, composée d'un ventricule de dragon et d'un bois de hêtre, de 25,2 cm j'étais l'enfant la plus heureuse. Et surtout, surtout, surtout : J'étais prête à devenir une sorcière à part entière.
La fumée de la locomotive qui crachotait à l'avant, l'agitation de tous les élèves et familles qui s’affairaient pour trouver une place convenable dans un compartiment x ou y et qui mettaient leurs diverses valises dans les endroits attribués, le bruit des nombreux animaux qui créait un vacarme infernal, les rires, les pleurs, les retrouvailles.. Du haut de ses 1m45, il y avait de quoi être franchement effrayé. Pourtant, aucun de ses sentiments n'étaient mien. L'excitation m'avait gagné progressivement au cours de la journée précédente et semblait être à son paroxysme en ce moment. Mes parents et moi étions arrivés à Londres la veille. C'était la seconde fois que je me rendais à Londres – après ma journée au chemin de traverse. La capitale continuait de m'impressionner par sa grandeur, son agitation.. sa vie !
L'arrivée à la gare de King's Cross, je l'admets, à été le théâtre d'adieux quelques peu déchirants. C'était la première fois que je partais loin de mes parents, pour une école dont nous ne connaissions que le nom qui se trouvait l'on ne sait où – en Écosse selon le manuel «L'histoire de Poudlard» que j'avais commencé à lire. Je m'étais préparée à ces adieux, tachant de ne pas afficher trop de chagrin – passer pour une faible ? Certainement pas. Quelques larmes discrètes avaient cependant échappé de mes yeux, que j'avais rapidement essuyé d'un revers de main. Il était temps pour moi de grandir, de franchir une nouvelle étape, symboliquement reflétée par la traversée du mur me menant au quai 9 ¾. L'expérience, je me dois de l'avouer, m'a paru insurmontable quand je me trouvais à quelques mètres. J'étais pleine de questions alors que je me mis à courir, persuadée que j'allais m'écraser contre le mur et passer pour une imbécile de première. Il n'en fut évidemment rien et c'est ainsi que je me retrouvais à ma place, parmi tant d'autres sorciers.
Le trajet à Poudlard se passa relativement bien. J'étais intimidée par tous les élèves qui passaient ça et là, dans les couloirs et les différents comportements. Étant arrivée dans les derniers, je n'avais pas eu le choix et m'étais installée à côté d'élèves plus âgés. Je n'avais pas échangé un mot avec eux pendant le voyage : nous n'avions aucune envie de nous adresser la parole. Arrivée à la gare de Pré-Au-Lard, je me laissais guider parmi le flot d'élèves de première année. La traversée en barque fut magique et nous étions tous ébahis par la majestuosité du château, qui se révéla dans toute sa splendeur au fur et à mesure que les barques nous approchaient de lui. De nombreux autres premières années poussaient des cris de joies, riaient, s'impatientaient. Un instant, ma barque trembla, puisqu'un autre élève se balançait, inclinant de manière dangereuse le bateau. Il fut rapidement remis à l'ordre par le garde-chasse. Enfin, enfin, enfin, nous mimes pied à terre et nous fûmes conduits dans la Grande Salle, escortée par la directrice adjointe. Je retrouvais dans cette salle l'atmosphère et une grande partie des décorations décrites dans L'Histoire de Poudlard. Je ne manifestai alors pas mon ébahissement devant les actes de magie visibles – choses que les autres élèves ne purent s'empêcher de faire. Mon absence de réaction, mon indifférence somme toute, fut peut-être ce qui conduit les autres à me considérer comme une personne différente, trop imbue, trop fière pour manifester de la joie ou de l'émerveillement.
La répartition fut telle que je l'avais imaginée : un casse-tête. Je ne sais exactement combien de temps je suis restée sur ce maudit tabouret à écouter ce choixpeau de malheur s'efforcer de me trouver une maison. Mon impatience grandissait, tout comme ma peur secrète mais néanmoins présente de ne pouvoir être répartie et de devoir retrouver chez moi. Le chemin avait été à présent fait, il était hors de question de revenir en arrière. Enfin, après d'interminables minutes qui me parurent des heures, le Choixpeau me désigna vers la maison des Aigles, qui m'applaudit alors que je venais de les rejoindre. Désormais, j'avais toutes les cartes en mains pour réussir et devenir une excellente sorcière.
Mon objectif de réussite devint une véritable obsession à mesure que je prenais de l'âge. Étant d'un caractère particulièrement affirmé mais surtout franc, je m'attirais ça et là des remarques désobligeantes pour une prétention qui, je dois l'avouer, a toujours fait partie de ma personnalité. Motivée, travailleuse, je ne cachais pas mon envie d'excellence, chose propre dans la maison dans laquelle j'ai été répartie. Je me révélais particulièrement douée pour les Potions et la Botanique, tout comme pour l'Histoire de la Magie. En revanche, l'art des étoiles et la Métamorphose m'intéressaient beaucoup moins, matières que je ne négligeai cependant point car je voulais à tout prix prouver ma valeur par l'excellence scolaire. Chose stupide lorsqu'on sait que la valeur du sorcier ne se détermine pas par ses notes mais par ses actes. Bornée comme je l'étais dans mon idée d'excellence, je ne pus échapper à quelques déceptions jalonnant mon parcours.
Ma première déception – et non des moindres – se déroula en cinquième année, lorsque le poste de Préfète de la maison m'échappa au profit d'une autre élève particulièrement douée, Célène Fraser. Nous n'avons jamais été des amies proches mais en bonnes camarades, il nous arrivait souvent de travailler en binôme en classe et d'éventuellement papoter. Rien de plus, cependant car je sentais qu'elle ne recherchait pas d'amies proches. En tout cas, tel était mon sentiment à son propos. Quand j'appris qu'elle avait obtenu le fameux insigne, une douleur sourde se mêla à la jalousie que je me mis à ressentir pour elle. J'avais tout fait pour obtenir les faveurs du directeur et avoir plus de responsabilités : élève modèle et excellente à tous les niveaux, j'étais par ailleurs poursuiveuse dans l'équipe de Serdaigle à Poudlard. Le directeur m'avait-il jugé trop imbue de moi-même, avait-il estimé que j'avais suffisamment de quoi briller en tant qu'élève ou que le poste de Préfet n'était tout simplement pas de mon ressort ? Avec le recul, je ne connais toujours pas le motif de son choix exact mais je comprends pourquoi il est allé à cette fille. Pourtant, à l'époque, il m'était impossible de ne pas éprouver autre chose que de la jalousie. Cette frustration grandissante m'a cependant permis de m'améliorer encore et toujours sur le chemin de l'excellence, quitte à parfois écraser les autres pour obtenir ce que je voulais. Un ami proche, avec qui je ne suis plus en contact maintenant, m'a reproché d'oublier mes racines et de faire preuve d'un acharnement violent et haineux à l'encontre de tous ceux qui se trouvaient sur mon chemin, devenant une véritable Serpentard. Ne m'étant pas identifiée à cette maison, rassemblant des personnalités toutes plus troubles les unes que les autres, je me sentis profondément vexée par cette remarque et nos chemins se séparèrent là.
Parallèlement, la montée en puissance de celui dont on commençait à chuchoter le nom avec frayeur – Lord Voldemort – se déroulait. Des moldus commençaient à être assassinés et le Ministère faisait tout pour enrayer la panique qui grandissait parmi la population sorcière. Soucieuse, je mis mes parents sur leurs gardes et leur demandaient de changer d'habitation, par crainte de quelque courroux ou de quelque envie de meurtre d'un des partisans du Lord. Poudlard demeurait pour moi la seule protection contre la violence alentour et j'étais rassurée d'y effectuer ma scolarité. Enfin, au bout de sept années de dures labeurs, j'obtins mes ASPICs avec brio mais ne fut pas réellement satisfaite : là encore, quelqu'un avait brillé davantage que moi et m'avait ravi la place de major de promotion, que je pensais pourtant mériter plus que quiconque, au vus des efforts considérables fournis. Mais trop d'estime de soi amenait l'échec et mon moral tout comme mon égo en prirent un sacré coup, me faisant par ailleurs redescendre de mon petit nuage.
A ma sortie de Poudlard, diplômée et pleine d'espoir, je n'avais désormais plus aucun doute sur le chemin qui était tracé pour moi : n'étant pas une joueuse de Quidditch hors-pair, j'avais décidé de tenter une carrière au Ministère, dans le département de la justice magique, comme me l' avait si bien conseillé Flitwick, mon directeur de maison à Poudlard. Malheureusement, cet été qui devait décider de manière définitive de mon avenir ne fut pas de tout repos et je dus faire face à une révélation de la plus grande importance.
Le souvenir de cette soirée d'été reste encore fraiche dans ma mémoire et aucune image, aucun son ne semble m'avoir échappé tant les sentiments que j'éprouvais ce soir là furent forts. Bavarde comme je l'étais, je racontais à mes parents les différentes possibilités qui s'offraient à moi, parlant avec allégresse du succès qui m'attendait peut-être, moi, fille de moldus qui ne connaissait rien avant ses 11 ans à la magie et au sport sorcier. Mes parents ont échangés un coup d'oeil discret. Pas assez cependant pour que je ne le remarque pas. « Qu'ai-je dit de mal ? » leur avais-je demandé, avec l'impression qu'ils me cachaient quelque chose. Mon instinct ne m'avait pas trompée et je tombais des nues lorsque j'appris la vérité. Je n'étais pas leur fille ; ou plutôt ils ne m'avaient pas conçus. J'avais été adoptée, alors encore un poupon incapable de se débrouiller seuls. La douleur de cette révélation, aussi brutale inattendue, je ne peux la décrire. J'aurais aimé le savoir plus tôt, me construire avec ce manque. Je pense que cela aurait renforcé le lien avec ces gens qui m'avaient éduqué comme leur enfant. Cela nous a cependant éloigné. 18 ans de mensonges, de cachotteries de non-dits .. Le reste de la famille devait pour la plupart être au courant et aucun d'entre eux n'avait jugé bon de m'en informer. J'avais l'impression de perdre mon identité et que ma vie n'était qu'un tissu de mensonges. Je repensais à toutes ces fois où le mot sang de bourbe s'était échappé de la bouche quelque prétentieux au sang pur envers moi .. Qu'étais-je au fond ? Mes origines n'étaient pas moldues, elles étaient inconnues et cela créait un flou encore plus grand dans mon esprit. Ce fut la dernière fois que j'adressais la parole à mes parents, faisant mes bagages dans la journée qui suivit. J'ai trouvé refuge chez des amis proches – ah! Les seuls avec qui j'ai gardé contact après Poudlard – et ai commencé mes études au sein du QESM, dans le but de devenir avocate. Cette épreuve, aussi douloureuse soit-elle, m'avait fait grandir et murir et désormais, je n'avais plus le choix : pour survivre et me construire un avenir, je me devais de trouver un métier qui non seulement me plaisait mais rapportait de quoi subvenir à mes besoins toute seule. Le parcours n'a pas été sans difficulté mais j'ai passé outre, ma motivation toujours intacte. Il m'a d'ailleurs fallu faire face à la perte de ma première baguette magique, ce qui fut sans doute la source de mon plus grand désespoir. Je ne possédais pas suffisamment d'économies pour en racheter une à Ollivanders , aussi me tournais-je vers son concurrent direct, Woody Parkles qui lui en trouva une toute aussi agréable et un peu plus originale. Dans ces études, je peux là aussi dire que j'ai en quelque sorte brillé par mes résultats et suis sortie, il y a de cela trois ans avec un diplôme en poche. Les débuts n'ont cependant pas été fructueux : il fallait se trouver une clientèle à l'heure où la sécurité était au cœur des pensées des sorciers. Mais de part mon inexpérience, étant encore jeune, je fus souvent oubliée par les clients qui préféraient aller vers des hommes plus expérimentés et je me retrouvais donc majoritairement avocate commise d'office pour des sorciers louches, qui ne pouvaient pas toujours payer des honoraires à la hauteur de mon travail. Cela n'entama que peu ma motivation et je gardais en tête une idée fixe : la reconnaissance viendrait un jour.
Par la suite, alors que ce souvenir ne cessait de me hanter, je trouvais amusant que ma mère – la vraie – m'ai appelé Morgane. Morgane, cette sorcière célèbre pour être adepte de magie noire – j'en frissonnais rien que d'y penser – et l'ennemie de Merlin. Quelle chance y avait-il pour que ma mère, qui m'avait lâchement laissé tomber, demande dans la lettre adressée à la paroisse qu'on me prénomme Morgane, si elle-même n'était pas une sorcière ? Avait-elle mal tournée ? S'appelait-elle également Morgane et avait-elle voulu me laisser un quelconque héritage du monde sorcier ? Pourquoi m'avait-elle abandonné, étais-je le fruit d'un amour sorcier interdit et prohibé ? Une nouvelle obsession se créa ainsi dans mon esprit, occultant la précédente. Je devais retrouver ma mère. Elle m'avait forcément abandonné pour une bonne raison et je me devais de découvrir laquelle. Mon poste au ministère pouvait me garantir l'accès à certains dossiers, voire également à des archives que seul le personnel était autorisé à voir. Pour l'instant, cela n'a rien donné mais je reste persuadée qu'une trace, aussi infime soit-elle, existe et que c'est mon devoir de la retrouver.
Cependant, cette quête a été mise entre parenthèses car la situation et la mentalité du pays se dégradent de plus en plus, me mettant dans l'angoisse. De plus en plus, dans nos boites au lettres, à travers des journaux de propagande ou au travers de diverses conversations et rumeurs qui circulent, tels des murmures nauséabondes, on sent la progression des idées du Lord, ce fameux Lord qui recrute de plus en plus et affirme sa position anti-moldus et pro-sorcière.Je commence à voir les clients enfin arrivés dans mon cabinet, pour réclamer une justice pour des actes si minimes qu'il m'est arrivé parfois de me demander si les victimes n'en était pas même les coupables. Les gens ont peur, comment à se braquer, l'insécurité gagne du terrain mais cette peur collective n'est pas fondée que sur des faits : elle est propagée de manière inconsciente, tel un virus psychologique qu'on ne peut stopper ni avec la magie, ni avec des médicaments. J'essaye de mon coté de ne pas m'attirer d'ennuis quelconque, de rester la plus discrète possible. Pourtant, des gens meurent, cependant, victimes d'attentats terroristes, comme ce fameux 1er Novembre.
Il ne me reste plus qu'à attendre, désormais, que les choses reviennent à la normale. Moi qui voulait construire un foyer, une famille, me voilà piégée. Comment donner la sécurité à un enfant si le climat actuel est propice à la violence et la débauche ? Je suis dans l'impasse et j'ose espérer que Voldemort tombera aussi rapidement qu'il est arrivé.
Le souvenir de cette soirée d'été reste encore fraiche dans ma mémoire et aucune image, aucun son ne semble m'avoir échappé tant les sentiments que j'éprouvais ce soir là furent forts. Bavarde comme je l'étais, je racontais à mes parents les différentes possibilités qui s'offraient à moi, parlant avec allégresse du succès qui m'attendait peut-être, moi, fille de moldus qui ne connaissait rien avant ses 11 ans à la magie et au sport sorcier. Mes parents ont échangés un coup d'oeil discret. Pas assez cependant pour que je ne le remarque pas. « Qu'ai-je dit de mal ? » leur avais-je demandé, avec l'impression qu'ils me cachaient quelque chose. Mon instinct ne m'avait pas trompée et je tombais des nues lorsque j'appris la vérité. Je n'étais pas leur fille ; ou plutôt ils ne m'avaient pas conçus. J'avais été adoptée, alors encore un poupon incapable de se débrouiller seuls. La douleur de cette révélation, aussi brutale inattendue, je ne peux la décrire. J'aurais aimé le savoir plus tôt, me construire avec ce manque. Je pense que cela aurait renforcé le lien avec ces gens qui m'avaient éduqué comme leur enfant. Cela nous a cependant éloigné. 18 ans de mensonges, de cachotteries de non-dits .. Le reste de la famille devait pour la plupart être au courant et aucun d'entre eux n'avait jugé bon de m'en informer. J'avais l'impression de perdre mon identité et que ma vie n'était qu'un tissu de mensonges. Je repensais à toutes ces fois où le mot sang de bourbe s'était échappé de la bouche quelque prétentieux au sang pur envers moi .. Qu'étais-je au fond ? Mes origines n'étaient pas moldues, elles étaient inconnues et cela créait un flou encore plus grand dans mon esprit. Ce fut la dernière fois que j'adressais la parole à mes parents, faisant mes bagages dans la journée qui suivit. J'ai trouvé refuge chez des amis proches – ah! Les seuls avec qui j'ai gardé contact après Poudlard – et ai commencé mes études au sein du QESM, dans le but de devenir avocate. Cette épreuve, aussi douloureuse soit-elle, m'avait fait grandir et murir et désormais, je n'avais plus le choix : pour survivre et me construire un avenir, je me devais de trouver un métier qui non seulement me plaisait mais rapportait de quoi subvenir à mes besoins toute seule. Le parcours n'a pas été sans difficulté mais j'ai passé outre, ma motivation toujours intacte. Il m'a d'ailleurs fallu faire face à la perte de ma première baguette magique, ce qui fut sans doute la source de mon plus grand désespoir. Je ne possédais pas suffisamment d'économies pour en racheter une à Ollivanders , aussi me tournais-je vers son concurrent direct, Woody Parkles qui lui en trouva une toute aussi agréable et un peu plus originale. Dans ces études, je peux là aussi dire que j'ai en quelque sorte brillé par mes résultats et suis sortie, il y a de cela trois ans avec un diplôme en poche. Les débuts n'ont cependant pas été fructueux : il fallait se trouver une clientèle à l'heure où la sécurité était au cœur des pensées des sorciers. Mais de part mon inexpérience, étant encore jeune, je fus souvent oubliée par les clients qui préféraient aller vers des hommes plus expérimentés et je me retrouvais donc majoritairement avocate commise d'office pour des sorciers louches, qui ne pouvaient pas toujours payer des honoraires à la hauteur de mon travail. Cela n'entama que peu ma motivation et je gardais en tête une idée fixe : la reconnaissance viendrait un jour.
Par la suite, alors que ce souvenir ne cessait de me hanter, je trouvais amusant que ma mère – la vraie – m'ai appelé Morgane. Morgane, cette sorcière célèbre pour être adepte de magie noire – j'en frissonnais rien que d'y penser – et l'ennemie de Merlin. Quelle chance y avait-il pour que ma mère, qui m'avait lâchement laissé tomber, demande dans la lettre adressée à la paroisse qu'on me prénomme Morgane, si elle-même n'était pas une sorcière ? Avait-elle mal tournée ? S'appelait-elle également Morgane et avait-elle voulu me laisser un quelconque héritage du monde sorcier ? Pourquoi m'avait-elle abandonné, étais-je le fruit d'un amour sorcier interdit et prohibé ? Une nouvelle obsession se créa ainsi dans mon esprit, occultant la précédente. Je devais retrouver ma mère. Elle m'avait forcément abandonné pour une bonne raison et je me devais de découvrir laquelle. Mon poste au ministère pouvait me garantir l'accès à certains dossiers, voire également à des archives que seul le personnel était autorisé à voir. Pour l'instant, cela n'a rien donné mais je reste persuadée qu'une trace, aussi infime soit-elle, existe et que c'est mon devoir de la retrouver.
Cependant, cette quête a été mise entre parenthèses car la situation et la mentalité du pays se dégradent de plus en plus, me mettant dans l'angoisse. De plus en plus, dans nos boites au lettres, à travers des journaux de propagande ou au travers de diverses conversations et rumeurs qui circulent, tels des murmures nauséabondes, on sent la progression des idées du Lord, ce fameux Lord qui recrute de plus en plus et affirme sa position anti-moldus et pro-sorcière.Je commence à voir les clients enfin arrivés dans mon cabinet, pour réclamer une justice pour des actes si minimes qu'il m'est arrivé parfois de me demander si les victimes n'en était pas même les coupables. Les gens ont peur, comment à se braquer, l'insécurité gagne du terrain mais cette peur collective n'est pas fondée que sur des faits : elle est propagée de manière inconsciente, tel un virus psychologique qu'on ne peut stopper ni avec la magie, ni avec des médicaments. J'essaye de mon coté de ne pas m'attirer d'ennuis quelconque, de rester la plus discrète possible. Pourtant, des gens meurent, cependant, victimes d'attentats terroristes, comme ce fameux 1er Novembre.
Il ne me reste plus qu'à attendre, désormais, que les choses reviennent à la normale. Moi qui voulait construire un foyer, une famille, me voilà piégée. Comment donner la sécurité à un enfant si le climat actuel est propice à la violence et la débauche ? Je suis dans l'impasse et j'ose espérer que Voldemort tombera aussi rapidement qu'il est arrivé.
Par mon métier d'avocate, il m'a fallu connaître les dossiers de certains de mes clients, qui avaient parfois un lien avec le domaine de la santé. Cependant, je dois admettre que je ne m'y connais que très peu en maladies magiques.
Je ne serai sans doute pas rassurée le moins du monde si l'affaire venait à éclater. Après tout, nous sommes mortels et à l’abri de peu de choses.
۞ QUE PENSEZ-VOUS DU MINISTÈRE DE LA MAGIE ? :
Sans Ministère, il n'y aurait actuellement plus l'Angleterre que nous connaissons aujourd'hui. Elle serait depuis longtemps tombée aux mains de celui dont on ne doit pas prononcer le nom et de ses sbires. Qu'en serait-il de moi alors? Je n'ose imaginer cette possibilité. Le Ministère a certes ses défauts mais il sait faire preuve de réactivité et de fermeté. Le climat trouble qui s'est installé dans le pays, il ne peut certes pas l'empêcher de s'amplifier mais je suis persuadée qu'il peut le contenir et le battre, à moyen terme. Pour cela, nous, citoyens, devons nous mobiliser pour montrer que oui, nous ne céderons pas, nous ne lâcherons rien. Cette fermeté face à ces barbares, le Ministère l'exprime à travers ses annonces officielles. J'ai foi pour le gouvernement de mon pays, même si je crains de plus en plus d'être une cible de choix. Que me resterait-il donc si je perdais la foi en mon seul rempart contre la mort ou l'esclavage qui m'est promis ?
۞ COMMENT AVEZ-VOUS VÉCU LA JOURNÉE DU 1ER NOVEMBRE 1978 ET SES CONSÉQUENCES ? : [Minimum de ~ 100 mots]
Ce jour demeure l'un des évènements marquant de ma vie d'adulte et je peux sans contexte dire que j'ai crains pour la première fois d'y laisser la vie. La journée avait pourtant bien démarré, je m'étais affairée pour arriver à l'heure pour la commémoration annuelle qui se déroulait sur la Grande Place de Londres. De nombreux sorciers, plus ou moins influents, d'origines diverses, étaient rassemblés en ce haut lieu lorsque l'attaque a eu lieu. Nous n'avons rien vu venir, nous n'aurions jamais pensé être attaqués sur notre propre terrain. A vrai dire, la menace qui pesait sur le monde sorcier était pour beaucoup qu'un brouillard, gênant mais pas dangereux, pour peu qu'on savait la contrôler. Là a été notre erreur. La bataille a commencé, violente, cruelle et meurtrière. J'ai vu des hommes et des femmes, qu'ils soient dans leur vingtaine ou avec un certain âge, tomber, terrassés par le sortilège de mort, leur yeux effrayés encore grands ouverts sur un futur qu'ils ne pourraient plus découvrir désormais. J'ai vu des collègues être torturés ou laissés pour mort. Moi-même, j'ai été victime de sortilèges, qui m'ont laissé une cicatrice nette sur l'avant-bras droit. Je n'ai du mon salut qu'à un coup de chance : un homme, inconnu, a pris le sortilège mortel qui venait vers moi, me sauvant ainsi la vie. Cette journée a été un carnage et elle a démontré tant l’inefficacité de l'Ordre du Phénix, qui se targuait pourtant de nous protéger mais qui n'a en réalité que ralenti les secours, que la montée en puissance de l’extrémisme et de la violence représentée par les Mangemorts. Aujourd'hui, des cauchemars de ce massacre me reviennent encore en mémoire. Qui sait ce que nous réserve réellement l'avenir ?
۞ AVATAR : J. Law, c'est la plus belle d'abord. ۞ DOUBLE COMPTE ? Nope ۞ PRÉNOM OU PSEUDO : Mystery Mais vous pouvez m’appeler Emma. ۞ ÂGE DU JOUEUR : J'ai dépassé la majoritééééé ! ۞ COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? Par les top-sites, j'ai été intriguée par votre forum qui me semble bien différent des autres (et tant mieux!) ۞ COMMENT TROUVEZ-VOUS LE FORUM ? Comme dit plus haut, le contexte est différent et j'adore. Je suis un peu moins fan du design (parce que je n'aime pas le orange, sauf chez les rousses) mais ce n'est cependant pas gênant ۞ PRÉSENCE SUR LE FORUM : Environ 3 à 4 fois par semaine, dès qu'une réponse m'attend (bien que je mette souvent plusieurs jours à la pondre, je n'aime pas répondre à la va-vite à un RP). |
Dernière édition par Morgane O. Breckenridge le Mer 12 Fév - 11:53, édité 23 fois
Invité- Invité
Re: Morgane Breckenridge - "N'oublie jamais, celui qui croit savoir n'apprend plus. " ✧ Momo
Le début de ton histoire semble aussi prometteur que mystérieux dis-donc^^ Vivement qu'on en lise davantage!
Bon courage pour la suite, n'hésites pas un instant à contacter un membre du Staff si la moindre question te taraude!
Nicholaus Rosenhirsh- Messages : 910
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Re: Morgane Breckenridge - "N'oublie jamais, celui qui croit savoir n'apprend plus. " ✧ Momo
Bienvenue par ici demoiselle
Célène Fraser- Drama Queen Serial Kickeuse
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Re: Morgane Breckenridge - "N'oublie jamais, celui qui croit savoir n'apprend plus. " ✧ Momo
Merci à vous deux pour votre accueil chaleureux.
@Nicholaus: Effectivement, j'ai quelques petites questions par rapport aux crépusculaires. Je vais tacher de mettre mes question en ordre et puis je t'enverrai un MP
@Nicholaus: Effectivement, j'ai quelques petites questions par rapport aux crépusculaires. Je vais tacher de mettre mes question en ordre et puis je t'enverrai un MP
Dernière édition par O. Morgane Breckenridge le Ven 7 Fév - 18:50, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Morgane Breckenridge - "N'oublie jamais, celui qui croit savoir n'apprend plus. " ✧ Momo
Bienvenuuuuue
J'espère que tu te plairas parmi nous
J'espère que tu te plairas parmi nous
Invité- Invité
Re: Morgane Breckenridge - "N'oublie jamais, celui qui croit savoir n'apprend plus. " ✧ Momo
Bienvenue miss !
J'ai vraiment hâte de lire te fiche en entier
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Basil Cavendish- Messages : 356
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Re: Morgane Breckenridge - "N'oublie jamais, celui qui croit savoir n'apprend plus. " ✧ Momo
Notre Nicholaus étant un peu par monts et par vaux ce week end, si tu as des questions un peu pressantes, ma boite à mp est dispo si tu veux
Ah ! Et j'avais oublié : bonne rédaction
Ah ! Et j'avais oublié : bonne rédaction
Célène Fraser- Drama Queen Serial Kickeuse
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Re: Morgane Breckenridge - "N'oublie jamais, celui qui croit savoir n'apprend plus. " ✧ Momo
Merci Basil et Erin pour vos messages de bienvenue.
Célène, c'est noté, un MP t'es parvenu(bon couraaaage)
Célène, c'est noté, un MP t'es parvenu
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Re: Morgane Breckenridge - "N'oublie jamais, celui qui croit savoir n'apprend plus. " ✧ Momo
Bienvenue sur le forum ! Bon courage pour la rédaction de ta fiche, j'espère que tu te plairas parmi nous !
Sirius Black- Black-Bad-Boy-Bébé-Style !
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Re: Morgane Breckenridge - "N'oublie jamais, celui qui croit savoir n'apprend plus. " ✧ Momo
Merci beaucoup Sirius.
Etant donné que j'arrive à la partie de mon histoire assez vague (la partie Poudlard, donc), je recherche, si certains sont intéressés, des personnes qui puissent avoir des liens de nature divers (amour ? amis ? rivaux ? ennemis ? sang de pur se moquant de la nature de son sang ou autre si vous avez envie d'autre chose!). Si certains sont intéressés et ont approximativement l'âge de Momo (~25 ans mais on peut très bien imaginer des liens avec des personnages ayant quelques années de différence)... n'hésitez pas à m'envoyer un MP.
Etant donné que j'arrive à la partie de mon histoire assez vague (la partie Poudlard, donc), je recherche, si certains sont intéressés, des personnes qui puissent avoir des liens de nature divers (amour ? amis ? rivaux ? ennemis ? sang de pur se moquant de la nature de son sang ou autre si vous avez envie d'autre chose!). Si certains sont intéressés et ont approximativement l'âge de Momo (~25 ans mais on peut très bien imaginer des liens avec des personnages ayant quelques années de différence)... n'hésitez pas à m'envoyer un MP.
Invité- Invité
Re: Morgane Breckenridge - "N'oublie jamais, celui qui croit savoir n'apprend plus. " ✧ Momo
Il faudrait que tu détermines la date de naissance dans la fiche de ta demoiselle car suivant le mois, la promotion peut ne pas être la même (un sorcier entre à Poudlard à 11 ans révolus et pour ceux nés en fin d'année, ils ne seront pas dans la même promotion que leurs camarades du début de cette même année).
Sinon, Célène est également née-moldue et est âgée de 25 ans, donc suivant leurs promotions et maisons respectives, on peut voir en mp si tu veux.
Sinon, Célène est également née-moldue et est âgée de 25 ans, donc suivant leurs promotions et maisons respectives, on peut voir en mp si tu veux.
Célène Fraser- Drama Queen Serial Kickeuse
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Re: Morgane Breckenridge - "N'oublie jamais, celui qui croit savoir n'apprend plus. " ✧ Momo
Jennifer Lawrennnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnce -mode fan off-
Bienvenue à toi ! Bon courage pour ta fiche ! (Ça va être confusant deux Momo en même temps xD)
A très vite ♥
Bienvenue à toi ! Bon courage pour ta fiche ! (Ça va être confusant deux Momo en même temps xD)
A très vite ♥
Invité- Invité
Re: Morgane Breckenridge - "N'oublie jamais, celui qui croit savoir n'apprend plus. " ✧ Momo
Basil est aussi un né-moldu de 25 ans mais il était dans l'année supérieure à celle de Célène. Donc effectivement, ça dépendra de ton mois et de ton année de naissance. Dans tous les cas, même année ou pas, je serais ravie d'avoir un lien avec toi
Basil Cavendish- Messages : 356
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Re: Morgane Breckenridge - "N'oublie jamais, celui qui croit savoir n'apprend plus. " ✧ Momo
Basil, je te contacte par MP rapidement et merci à Morrigan pour son petit mot gentil.
Sinon, je signale officiellement que ma fiche est terminée. J'espère qu'elle conviendra et si ce n'est pas le cas, j'effectuerai les modifications nécessaires en fonction de ce qui est incorrect.
J'en profite également pour signaler (je l'ai déjà fait par la Chatbox mais ne sait-on jamais) que je ne suis pas de langue maternelle française, même si je parle couramment, puisque je suis en France depuis mes 7 ans. J'ai fait attention mais il se peut que certaines fautes de grammaire ou même idiomatiques (il m'arrive d'inventer des mots dérivés de ma langue d'origine ahem) restent présentes et je m'en excuse d'avance. En espérant que cela ne pose pas de problème pour la validation (je me devais d'être honnête tout de même)...
Sinon, je signale officiellement que ma fiche est terminée. J'espère qu'elle conviendra et si ce n'est pas le cas, j'effectuerai les modifications nécessaires en fonction de ce qui est incorrect.
J'en profite également pour signaler (je l'ai déjà fait par la Chatbox mais ne sait-on jamais) que je ne suis pas de langue maternelle française, même si je parle couramment, puisque je suis en France depuis mes 7 ans. J'ai fait attention mais il se peut que certaines fautes de grammaire ou même idiomatiques (il m'arrive d'inventer des mots dérivés de ma langue d'origine ahem) restent présentes et je m'en excuse d'avance. En espérant que cela ne pose pas de problème pour la validation (je me devais d'être honnête tout de même)...
Invité- Invité
Re: Morgane Breckenridge - "N'oublie jamais, celui qui croit savoir n'apprend plus. " ✧ Momo
En voilà une fiche agréable à lire ! Tu as bien intégré le contexte et ton personnage est intéressant comme tout
Il y a juste quelques petites choses à corriger mais ne t'inquiète pas, c'est vraiment trois fois rien
Il y a juste quelques petites choses à corriger mais ne t'inquiète pas, c'est vraiment trois fois rien
On comprend que tu ne puisses pas l'intégrer dans l'histoire, mais il nous faudrait l'information dans la première partie informations HRP (celle avec la date d'anniversaire etc), histoire que nous, en tant qu'admins, sachons où nous en sommes.
Morgane O. Breckenridge a écrit:Je crois que cette absence de réaction spontanée me sauva la vie et surtout, me permit de me fondre dans la masse à Poudlard sans attirer de problèmes.
Morgane O. Breckenridge a écrit:Dont moi, évidemment, née-moldue que je suis. Déjà je vois certains clients hésité pour faire appel à moi.
Sauf que, premièrement, comme tu l'as dit toi-même, peu de gens savent qu'elle est née-moldue.
De plus ni les mangemorts ni le ministère ne possède de liste des sorciers né-moldus d'Angleterre. Il est donc peu probable que quiconque soit au courant si Morgane n'en a pas elle-même parlé à la personne concernée.
Pour finir, si Voldemort en a après les moldus qui donnent naissance à des sorciers ou aux sorciers qui se marient avec des moldus et s'il voit les " sang-de-bourbe " comme " des sorciers moindres ", il n'en a pas directement après eux pour l'instant. L'un de ses plus fidèles Mangemort, Tomaso Bressini, est d'ailleurs un né-moldu.
A savoir également qu'outre des élèves ou des sorciers pas très malins émanant de vieilles familles de sorciers, la vision des statuts de sang lors de sa scolarité n'est pas ce qu'elle commence à être depuis l'apparition de Voldemort.
Toutefois, si tu veux garder l'aspect discriminatoire à Poudlard ou au travail, tu peux trouver des motifs tout aussi crédibles. Le fait qu'elle était une " grosse tête " studieuse suffirait pour qu'on se moque d'elle à l'école, par exemple. Pour son boulot, tu peux aussi évoquer le fait que les clients hésitent à faire appel à elle à cause de son âge et de son manque d'expérience.
Morgane O. Breckenridge a écrit: J'ai été capable de bien des choses par la suite : ouvrir des portes qui étaient fermées initialement, déplacer des objets à travers la pièce, redonner « la vie » à des plantes malades.. Mais le feu, je n'ai jamais su le contrôler comme je l'ai contrôler ce soir là.
Et dans la même idée, si elle n'a aucun contrôle sur ses pouvoirs, il semble assez étrange que ses parents n'aient rien remarqué. Peut être pourrais-tu ajouter quelques lignes pour expliquer ça ou décrire leur réaction et la perception qu'ils ont de leur fille ? Leur attitude lors de la rencontre avec le professeur qui vient leur expliquer un peu plus tard ce qu'elle est par ailleurs très bien décrite.
De plus, il est extrêmement difficile d'exceller à la fois au Quidditch ET dans différentes matières scolaires avec l'emploi du temps qu'ont les élèves de sixième année et plus. Morgane peut être une bonne joueuse mais peut-être pas au point de rejoindre une équipe officielle (puisqu'il faudrait pour cela s'entraîner plusieurs heures par jour, ce qui est inconciliable avec les heures d'études acharnées et les bonnes notes).
Cependant, Morgane peut jouer dans l'une des équipes de joueurs amateurs du ministère. Ce sont de bons joueurs passionnés qui organisent quelques matchs lorsqu'ils ont le temps, pour le plaisir du sport.
A ce propos, tu ne parles pas du tout de ses études au Q.E.S.M., passage obligatoire pour les sorciers désirant entrer au Ministère. Morgane étant avocate, elle a dû faire au minimum 4 ans d'études post-ASPIC et n'est pas titulaire de son poste depuis longtemps.
Il faudrait donc modifier ce passage là :
Morgane O. Breckenridge a écrit:J'ai vu des enfants, fauchés par des sortilèges de mort alors qu'ils n'étaient que des pauvres êtres sans défense
Voilà ! C'est tout
Concernant les petites coquilles ou erreurs qui se sont glissés dans le texte, nous n'en n'avons pas relevé beaucoup et il suffira de te relire avant de poster tes rps si vraiment tu as peur qu'elles gênent. ^^
Quoi qu'il en soit, nous apprécions beaucoup ta fiche et nous avons hâte de lire tes corrections pour pouvoir te valider. Bon courage !
Concernant les petites coquilles ou erreurs qui se sont glissés dans le texte, nous n'en n'avons pas relevé beaucoup et il suffira de te relire avant de poster tes rps si vraiment tu as peur qu'elles gênent. ^^
Quoi qu'il en soit, nous apprécions beaucoup ta fiche et nous avons hâte de lire tes corrections pour pouvoir te valider. Bon courage !
Destin- Admin
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Re: Morgane Breckenridge - "N'oublie jamais, celui qui croit savoir n'apprend plus. " ✧ Momo
Les modifications ont été effectuées, en espérant que cette fois-ci, ce soit bon. J'ai mis les modifs en bleu, histoire que ça aille plus vite pour vous
- sang:
- ۞ SANG : Officieusement, Morgane est une sang-mêlée, fruit interdit d'un sorcier au sang ordinaire et d'une moldue. Morgane est surtout une enfant adultère, car l'homme était déjà marié à une autre femme. La femme moldue, abandonnée par l'homme qu'elle aimait lorsque le scandale éclata dans la famille du père, ne se sentit pas d'élever son enfant seule et la déposa pour son propre bien devant la porte d'un orphelinat moldu, où elle fut adoptée rapidement par un couple. Ce qui explique qu'au yeux de la loi, elle est une née-moldue. Morgane n'a appris son adoption que tardivement et recherche sa mère avec l'énergie du désespoir, ne se doutant pas que c'est du côté de son père que la vérité peut être trouvée.
- découverte des pouvoirs + réactions parents:
- En revanche, c'est à partir de ce jour là que j'ai compris que j'étais différente. Pas puissante – pas pour le moment, certes – mais puissante, tout de même. J'ai été capable de bien des choses par la suite, même si je n'ai décidé par moi même d'aucune de ces choses : ouvrir des portes qui étaient fermées initialement (surtout lorsque j'étais privée de diner) par exemple. Mais le feu, je n'ai jamais su le faire réapparaitre à nouveau comme ce soir là. Pas sans ma baguette magique en tout cas. La réaction de mes parents ne me parut pas évidente, car je n'étais qu'une enfant à l'époque. Pourtant, les divers incidents qui se déroulaient sur leur toit n'avait pas de quoi les rassurer et je les vis à plusieurs reprises chuchoter tous les deux. Je peux aisément deviner maintenant qu'ils parlaient de moi et se faisaient mutuellement part de leur inquiétude. Pourquoi leur si tendre enfant faisait-elle des choses anormales ? Avait-elle un problème mental ? S'ils ne me firent jamais part de leur angoisse, je la ressentis parfois, latente dans les conversations que nous avions et cela finit par m'inquiéter quelque peu.
- raison pour laquelle elle était peu aimée à l'école:
- Je ne manifestai alors pas mon ébahissement devant les actes de magie visibles – choses que les autres élèves ne purent s'empêcher de faire. Mon absence de réaction, mon indifférence somme toute, fut peut-être ce qui conduit les autres à me considérer comme une personne différente, trop imbue, trop fière pour manifester de la joie ou de l'émerveillement.
- orientation:
- A ma sortie de Poudlard, diplômée et pleine d'espoir, je n'avais désormais plus aucun doute sur le chemin qui était tracé pour moi : n'étant pas une joueuse de Quidditch hors-pair, j'avais décidé de tenter une carrière au Ministère, dans le département de la justice magique, comme me l' avait si bien conseillé Flitwick, mon directeur de maison à Poudlard.
- QESM+nouvelle baguette+ début difficile:
- J'ai trouvé refuge chez des amis proches – ah! Les seuls avec qui j'ai gardé contact après Poudlard – et ai commencé mes études au sein du QESM, dans le but de devenir avocate. Cette épreuve, aussi douloureuse soit-elle, m'avait fait grandir et murir et désormais, je n'avais plus le choix : pour survivre et me construire un avenir, je me devais de trouver un métier qui non seulement me plaisait mais rapportait de quoi subvenir à mes besoins toute seule. Le parcours n'a pas été sans difficulté mais j'ai passé outre, ma motivation toujours intacte.Il m'a d'ailleurs fallu faire face à la perte de ma première baguette magique, ce qui fut sans doute la source de mon plus grand désespoir. Je ne possédais pas suffisamment d'économies pour en racheter une à Ollivanders , aussi me tournais-je vers son concurrent direct, Woody Parkles qui lui en trouva une toute aussi agréable et un peu plus originale. Dans ces études, je peux là aussi dire que j'ai en quelque sorte brillé par mes résultats et suis sortie, il y a de cela trois ans avec un diplôme en poche. Les débuts n'ont cependant pas été fructueux : il fallait se trouver une clientèle à l'heure où la sécurité était au cœur des pensées des sorciers. Mais de part mon inexpérience, étant encore jeune, je fus souvent oubliée par les clients qui préféraient aller vers des hommes plus expérimentés et je me retrouvais donc majoritairement avocate commise d'office pour des sorciers louches, qui ne pouvaient pas toujours payer des honoraires à la hauteur de mon travail. Cela n'entama que peu ma motivation et je gardais en tête une idée fixe : la reconnaissance viendrait un jour.
- nouveaux clients très récemment + impressions sur le monde actuellement:
- Je commence à voir les clients enfin arrivés dans mon cabinet, pour réclamer une justice pour des actes si minimes qu'il m'est arrivé parfois de me demander si les victimes n'en était pas même les coupables. Les gens ont peur, comment à se braquer, l'insécurité gagne du terrain mais cette peur collective n'est pas fondée que sur des faits : elle est propagée de manière inconsciente, tel un virus psychologique qu'on ne peut stopper ni avec la magie, ni avec des médicaments. J'essaye de mon coté de ne pas m'attirer d'ennuis quelconque, de rester la plus discrète possible. Pourtant, des gens meurent, cependant, victimes d'attentats terroristes, comme ce fameux 1er Novembre.
- bataille du 1er Novembre:
- La bataille a commencé, violente, cruelle et meurtrière. J'ai vu des hommes et des femmes, qu'ils soient dans leur vingtaine ou avec un certain âge, tomber, terrassés par le sortilège de mort, leur yeux effrayés encore grands ouverts sur un futur qu'ils ne pourraient plus découvrir désormais. J'ai vu des collègues être torturés ou laissés pour morts.
Invité- Invité
Re: Morgane Breckenridge - "N'oublie jamais, celui qui croit savoir n'apprend plus. " ✧ Momo
Tu viens d'intégrer Crépuscule !
Rapidité et efficacité, on est tout bons !
Juste une petite précision qui peut t'être utile pour la suite : les avocats commis d'office ne sont pas rémunérés par les clients qu'ils défendent mais par l'Etat (soit ici, le Ministère de la Magie). Le principe du commis d'office est justement que les personnes à faibles revenus puissent tout de même avoir accès à un procès équitable.
Tu rejoins le groupe du
Ministère .
Tu rapportes également 10 Points de Poudlard aux Serdaigles.
Tu peux d'ores et déjà créer ta fiche de lien & commencer à rédiger ton carnet de bord. Nous t'invitons également à remplir tous les champs de ton profil, mais surtout, à bien fouiner notre forum, car bien d'autres sujets s'offrent à toi !
Rapidité et efficacité, on est tout bons !
Juste une petite précision qui peut t'être utile pour la suite : les avocats commis d'office ne sont pas rémunérés par les clients qu'ils défendent mais par l'Etat (soit ici, le Ministère de la Magie). Le principe du commis d'office est justement que les personnes à faibles revenus puissent tout de même avoir accès à un procès équitable.
Tu rejoins le groupe du
Tu rapportes également 10 Points de Poudlard aux Serdaigles.
Tu peux d'ores et déjà créer ta fiche de lien & commencer à rédiger ton carnet de bord. Nous t'invitons également à remplir tous les champs de ton profil, mais surtout, à bien fouiner notre forum, car bien d'autres sujets s'offrent à toi !
Destin- Admin
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