Aleksander Greystock || Fini
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Aleksander Greystock || Fini
۞ ÂGE : 25 ans, 18 octobre 1953 ۞ NATIONALITÉ : Britannique (Ecossais de naissance) ۞ ÉTAT CIVIL : Célibataire ۞ SANG : Sang-mêlé (bien que né-moldu en réalité) ۞ BAGUETTE : Aleksander possède une baguette de sycomore, bois réputé pour son goût de l'aventure et sa particularité de prendre feu lorsqu'elle "s'ennuie". Son coeur est en phénix, ce qui a plus d'une fois sauvé la mise à l'homme qui sait apprécier la tendance de ce coeur à prendre des initiatives. Elle mesure trente-deux centimètres cinq et s'avère à son possesseur, donc plutôt rigide. ۞ ECOLE : Durmstrang ۞ MAISON : Il n'a pas connu les maisons, mais s'il avait dû être réparti dans une, il serait sans doute Gryffondor. ۞ MÉTIER/OCCUPATION : Ex-Chasseur de dragons, il travaille désormais avec le ministère de la magie. ۞ ORGANISATION : Neutre - Phénix ۞ CAPACITE(S) SPECIALE(S) : Que vous soyez Crépusculaire, Animagus, Loup-Garou ou Legilimens, nous rappelons qu'une demande devra avoir été faite auprès d'un administrateur avant la création de votre personnage. Les informations ICI. |
When I was a child ...
[Minimum de ~ 200 mots - Cette partie comporte une barre déroulante]
Ici vous pouvez tout nous dire sur l'enfance de votre personnage. Qui sont ses parents ? Où a-t-il grandi ? Quel genre de bambin était-il ? Nous considérons que cette période de sa vie s'arrête au moment où il entre au Collège mais rien ne vous empêche d'allonger l'échéance, tout dépend de la façon dont vous souhaitez le présenter.
Je me souviens de l'ombre au dessus des nuages. Je me souviens de l'odeur de l'iode, du bruit des vagues contre les rochers. Puis plus rien.
Le noir. Le vide.
Celui qui fait peur. Celui que, petit, on ne peut affronter, et qu'adulte, on a peur d'épier. Parce qu'on ne sait jamais ce qu'on va y trouver.
Une partie de l'enfance d'Aleksander s'est envolée un jour. Un accident, lui a-t-on dit. Jeune, crédule, vulnérable, il y a cru. Il n'avait pas d'autres solutions, après tout, il n'était qu'un gosse. Parfois dans ses rêves il peut sentir le vent des côtes de l'Ecosse caresser son visage. Mais il ne sait pas d'où ça vient, pensant être l'enfant d'un couple anglais, même si ce ne sont pas ceux qu'il a connu. Il est impensable à ses yeux qu'il vienne des Highlands, ou du moins il n'en a pas envisagé la possibilité, alors que c'est bien de là qu'il vient. Un village de pêcheurs, dont son père est le plus réputé, et sa mère... S'il s'en souvenait, il n'aurait sans doute pas le coeur à en parler. Elle est partie alors qu'il était encore assez jeune avec un autre homme, et il s'est sans doute battu plus d'une fois avec des enfants de là-bas qui répétaient tout haut ce que leurs parents disaient tout bas à son sujet.
Ne pas se souvenir des six premières années de sa vie ne l'a en rien empêché de vivre sa vie d'enfant, au delà de ça. Même si son "père" n'était pas tendre avec lui, il avait une "mère" très présente, clairement heureuse de l'avoir.
Vers ses huit ans, il découvrit la magie, ses merveilles, jusqu'à ce que cela devienne une malédiction. Une douleur. C'était son fardeau.
Je n'ai jamais compris pourquoi c'était mal. Ce n'était même pas ma faute, c'était... Ca arrivait, c'est tout. Mais à chaque fois il était là, avec sa ceinture.
Il n'y allait pas de main morte, et je me disais au fond de moi que c'était de ma faute. Que j'étais un monstre. A mes propres yeux j'avais perdu mon humanité, et je ne valais rien. J'ai commencé à me haïr. Jusqu'à ce que je comprenne. Quand il me frappait, ce n'était pas moi.
C'était lui.
C'était son incapacité à être un sorcier.
Ici vous pouvez tout nous dire sur l'enfance de votre personnage. Qui sont ses parents ? Où a-t-il grandi ? Quel genre de bambin était-il ? Nous considérons que cette période de sa vie s'arrête au moment où il entre au Collège mais rien ne vous empêche d'allonger l'échéance, tout dépend de la façon dont vous souhaitez le présenter.
Je me souviens de l'ombre au dessus des nuages. Je me souviens de l'odeur de l'iode, du bruit des vagues contre les rochers. Puis plus rien.
Le noir. Le vide.
Celui qui fait peur. Celui que, petit, on ne peut affronter, et qu'adulte, on a peur d'épier. Parce qu'on ne sait jamais ce qu'on va y trouver.
Une partie de l'enfance d'Aleksander s'est envolée un jour. Un accident, lui a-t-on dit. Jeune, crédule, vulnérable, il y a cru. Il n'avait pas d'autres solutions, après tout, il n'était qu'un gosse. Parfois dans ses rêves il peut sentir le vent des côtes de l'Ecosse caresser son visage. Mais il ne sait pas d'où ça vient, pensant être l'enfant d'un couple anglais, même si ce ne sont pas ceux qu'il a connu. Il est impensable à ses yeux qu'il vienne des Highlands, ou du moins il n'en a pas envisagé la possibilité, alors que c'est bien de là qu'il vient. Un village de pêcheurs, dont son père est le plus réputé, et sa mère... S'il s'en souvenait, il n'aurait sans doute pas le coeur à en parler. Elle est partie alors qu'il était encore assez jeune avec un autre homme, et il s'est sans doute battu plus d'une fois avec des enfants de là-bas qui répétaient tout haut ce que leurs parents disaient tout bas à son sujet.
Ne pas se souvenir des six premières années de sa vie ne l'a en rien empêché de vivre sa vie d'enfant, au delà de ça. Même si son "père" n'était pas tendre avec lui, il avait une "mère" très présente, clairement heureuse de l'avoir.
Vers ses huit ans, il découvrit la magie, ses merveilles, jusqu'à ce que cela devienne une malédiction. Une douleur. C'était son fardeau.
Je n'ai jamais compris pourquoi c'était mal. Ce n'était même pas ma faute, c'était... Ca arrivait, c'est tout. Mais à chaque fois il était là, avec sa ceinture.
Il n'y allait pas de main morte, et je me disais au fond de moi que c'était de ma faute. Que j'étais un monstre. A mes propres yeux j'avais perdu mon humanité, et je ne valais rien. J'ai commencé à me haïr. Jusqu'à ce que je comprenne. Quand il me frappait, ce n'était pas moi.
C'était lui.
C'était son incapacité à être un sorcier.
[Minimum de ~ 200 mots - Cette partie comporte une barre déroulante]
Le moment d'entrée au Collège de votre personnage est crucial. Que s'y est-il passé ? Premiers cours ? Premières colles ? Premiers émois ? Bon ou mauvais élèves ? Où la Guerre en était-elle à ce moment-là ? L'adolescence est une grande période de changement pendant laquelle la personnalité de votre personnage et ses aptitudes magiques se révèlent.
On a tous connu un jour cette étincelle, ce battement de cœur, où on se dit que ça y est, qu'enfin on est libre.
Moi je l'ai connu quand je suis entré à Durmstrang et que j'ai pu fuir les coups que me donnait mon père et ma mère trop présente. La sensation d'oppression disparut de mes épaules avec un immense soulagement alors que je gagnais un onde nouveau qui apportait tant de réponses à mes questions.
De ces années passées là-bas, je garde les plus beaux souvenirs de ma jeunesse.
Le coup était parti, et rapidement un cercle se format autour d'eux alors qu'Aleksander n'avait pas perdu de temps. Il avait grimpé sur le mec d'une tête de plus que lui pour le frapper encore et encore. Il n'avait arrêté que lorsqu'il avait sentit des bras l'agripper et l'éloigner du pauvre type qui avait insulté sa mère et son père.
Il ne savait pas pourquoi il défendait son père qu'il détestait tant autant que sa mère, d'ailleurs. Mais il le faisait. Et au cours de ses premières années d'étude, cette situation arriva bien plus souvent qu'il n'aurait aimé l'admettre. Combien de fois il avait fini avec un œil au beurre noir, la mâchoire ou l'épaule démise ? Il a rapidement arrêté de compter. Puis avec le temps, il n'a plus eu besoin de se faire entendre avec les poings (« Tsss, un truc de moldu, de se battre », disait-on dans son dos) et parvint à se faire respecter par d'autres moyens lorsqu'il commença à mieux appréhender la magie.
Les professeurs l'appréciaient assez en cours, puisqu'il se révéla posséder un certain talent. Et même quand une matière ne l'intéressait pas, il se contentait de dormir caché derrière un bouquin en attendant que ça passe. Autant dire que ses notes c'était souvent les montagnes russes (sans mauvais jeu de mot).
C'était comme vivre mes rêves. Quand j'ai vu cette créature fendre les nuages, j'ai tout de suite su que toute ma vie je voudrais voir évoluer ces êtres. Je ne pensais juste pas en arriver à les tuer.
Mais je voulais capturer leur essence.
Mon premier réflexe a été de me stopper net en entendant le rugissement, et de lever les yeux au ciel. Je sentais comme un écho en moi.
C'était inoubliable, vraiment.
Voyage scolaire dans les Carpates, la dernière région encore sauvage d'Europe déjà à l'époque. C'était un peu un genre de stage de survie, malgré la présence de professeurs. Les élèves étaient majoritairement autonomes, devaient se débrouiller pour trouver de l'eau et de la nourriture à la dure. C'était pour les endurcir, le genre de choses qui plus tard sera abandonné sous la pression des parents sans doute. Tout le monde plaisantait sur le fait que y'aurait peut-être des morts durant ce voyage, d'ailleurs. « Dix pour cent de perte autorisée », disaient les professeurs en rigolant.
Etrangement, à l'époque, Aleksander ne le ressentait pas vraiment comme une plaisanterie.
Alors qu'ils allaient installer le campement, l'adolescent qu'il était encore à seize ans partit s'aventurer un peu dans la forêt. Après avoir vu ce dragon passer au dessus d'eux, il s'était dit que son nid ne devait pas être loin. Certains dragons étendaient leurs territoires sur près de deux cent cinquante kilomètres, mais on ne savait jamais. Ca pouvait être difficile à repérer dans le paysage quelque peu escarpé, mais il n'avait pas peur de faire un peu d'escalade à cet âge là. Ce qui ne s'améliorerait sans doute pas avec l'âge, d'ailleurs, encore moins avec le métier qu'il exercerait.
Il n'a, fort heureusement, pas réussi à trouver le nid ce jour là. Néanmoins, il a commencé à développer une sorte d'obsession pour les dragons et rêvé de trouver un métier à leur contact.
Je ne savais pas si c'était cette liberté qui s'en dégageait ou cette force, mais rapidement, cela éclipsa le reste. J'en oubliais même les filles, qui étaient jusque là un de mes plus grands centres d'intérêt.
Le moment d'entrée au Collège de votre personnage est crucial. Que s'y est-il passé ? Premiers cours ? Premières colles ? Premiers émois ? Bon ou mauvais élèves ? Où la Guerre en était-elle à ce moment-là ? L'adolescence est une grande période de changement pendant laquelle la personnalité de votre personnage et ses aptitudes magiques se révèlent.
On a tous connu un jour cette étincelle, ce battement de cœur, où on se dit que ça y est, qu'enfin on est libre.
Moi je l'ai connu quand je suis entré à Durmstrang et que j'ai pu fuir les coups que me donnait mon père et ma mère trop présente. La sensation d'oppression disparut de mes épaules avec un immense soulagement alors que je gagnais un onde nouveau qui apportait tant de réponses à mes questions.
De ces années passées là-bas, je garde les plus beaux souvenirs de ma jeunesse.
Le coup était parti, et rapidement un cercle se format autour d'eux alors qu'Aleksander n'avait pas perdu de temps. Il avait grimpé sur le mec d'une tête de plus que lui pour le frapper encore et encore. Il n'avait arrêté que lorsqu'il avait sentit des bras l'agripper et l'éloigner du pauvre type qui avait insulté sa mère et son père.
Il ne savait pas pourquoi il défendait son père qu'il détestait tant autant que sa mère, d'ailleurs. Mais il le faisait. Et au cours de ses premières années d'étude, cette situation arriva bien plus souvent qu'il n'aurait aimé l'admettre. Combien de fois il avait fini avec un œil au beurre noir, la mâchoire ou l'épaule démise ? Il a rapidement arrêté de compter. Puis avec le temps, il n'a plus eu besoin de se faire entendre avec les poings (« Tsss, un truc de moldu, de se battre », disait-on dans son dos) et parvint à se faire respecter par d'autres moyens lorsqu'il commença à mieux appréhender la magie.
Les professeurs l'appréciaient assez en cours, puisqu'il se révéla posséder un certain talent. Et même quand une matière ne l'intéressait pas, il se contentait de dormir caché derrière un bouquin en attendant que ça passe. Autant dire que ses notes c'était souvent les montagnes russes (sans mauvais jeu de mot).
C'était comme vivre mes rêves. Quand j'ai vu cette créature fendre les nuages, j'ai tout de suite su que toute ma vie je voudrais voir évoluer ces êtres. Je ne pensais juste pas en arriver à les tuer.
Mais je voulais capturer leur essence.
Mon premier réflexe a été de me stopper net en entendant le rugissement, et de lever les yeux au ciel. Je sentais comme un écho en moi.
C'était inoubliable, vraiment.
Voyage scolaire dans les Carpates, la dernière région encore sauvage d'Europe déjà à l'époque. C'était un peu un genre de stage de survie, malgré la présence de professeurs. Les élèves étaient majoritairement autonomes, devaient se débrouiller pour trouver de l'eau et de la nourriture à la dure. C'était pour les endurcir, le genre de choses qui plus tard sera abandonné sous la pression des parents sans doute. Tout le monde plaisantait sur le fait que y'aurait peut-être des morts durant ce voyage, d'ailleurs. « Dix pour cent de perte autorisée », disaient les professeurs en rigolant.
Etrangement, à l'époque, Aleksander ne le ressentait pas vraiment comme une plaisanterie.
Alors qu'ils allaient installer le campement, l'adolescent qu'il était encore à seize ans partit s'aventurer un peu dans la forêt. Après avoir vu ce dragon passer au dessus d'eux, il s'était dit que son nid ne devait pas être loin. Certains dragons étendaient leurs territoires sur près de deux cent cinquante kilomètres, mais on ne savait jamais. Ca pouvait être difficile à repérer dans le paysage quelque peu escarpé, mais il n'avait pas peur de faire un peu d'escalade à cet âge là. Ce qui ne s'améliorerait sans doute pas avec l'âge, d'ailleurs, encore moins avec le métier qu'il exercerait.
Il n'a, fort heureusement, pas réussi à trouver le nid ce jour là. Néanmoins, il a commencé à développer une sorte d'obsession pour les dragons et rêvé de trouver un métier à leur contact.
Je ne savais pas si c'était cette liberté qui s'en dégageait ou cette force, mais rapidement, cela éclipsa le reste. J'en oubliais même les filles, qui étaient jusque là un de mes plus grands centres d'intérêt.
[Minimum de ~ 200 mots - Cette partie comporte une barre déroulante]
Une fois diplômé, quel a été le parcours de votre personnage ? S'est-il marié ? Ou plutôt mourir ? En parlant de mort, quelle répercussions l'ascension du Mage Noir a-t-elle (eu) sur son existence ? La période de transition est terminée, à présent, il faut construire sa vie d'adulte.
Parfois, quand on aime trop quelque chose, tout ce qu'on peut faire, c'est le détruire.
C'était tout ce que je pouvais faire face aux dragons, face à leur liberté. J'avais cette sorte de rage, sans savoir pourquoi.
Peut-être parce que je sentais au fond de moi qu'ils possédaient quelque chose que moi je n'aurais jamais tant que je resterai prisonnier de mes parents.
Loin de mes racines.
Le boulot d'ethnologue n'était pas fait pour lui. Il imaginait sans doute qu'il aurait à aller et venir dehors, qu'il pourrait travailler sur le terrain. C'était du moins ce qu'il avait imaginé quand son ami, fils de son employeur, lui avait exposé la chose avant de le pistonner auprès de son paternel pour obtenir le poste qu'il occupait désormais. Malheureusement, la réalité était toute autre, surtout en tant qu'étudiant-chercheur. Tout ce qu'il faisait, c'était... Hé bien... Chercher. Dans des livres, des tonnes de pages. Il s'était rarement autant usé les yeux. Au point qu'il craignit à un moment devoir porter des lunettes.
Alors autant vous dire que lorsque l'occasion de faire autre chose se présenta, quelque chose de plus palpitant, il n'hésita pas même une seule seconde.
Il lui fallut un peu de temps, mais il parvint à remonter un réseau pour trouver ce qu'il cherchait ; Un maître pour lui apprendre à côtoyer les dragons et à les dominer. C'est un ami, une fois encore, qui l'avait mis sur la voie (quoiqu'ami était peut-être un peu fort, il s'agissait en réalité d'un autre étudiant un peu plus âgé que lui, qui se vantait un peu trop de ses contacts dans le milieu underground) en lui parlant des Braconniers, ceux connus également sous le nom de Chasseur de Dragon.
Il lui apprit notamment à se maîtriser lui-même, à contrôler ses impulsions et à conserver son sang-froid en toute circonstance. Il apprit l'escrime, art indispensable aux yeux du vieux braconnier qui parvenait sans trop de mal à maîtriser le jeune homme à ses débuts. Et ce bien qu'Aleks se révélait beaucoup plus imposant et endurant que l'homme en apparence. Il dû apprendre l'escalade également, car il n'était pas rare que les dragons vivent dans les hauteurs. A vrai dire, c'était même leur environnement de prédilection, car c'était là que faire leur nid était le plus aisé pour eux. Leurs flammes leur permettait de creuser la roche pour se réfugier dans les profondeurs terrestres, là où ils pouvaient trouver des sources de chaleur bienvenue.
Il lui enseigna également les meilleures techniques de chasse, ainsi que les plus rusées, celles qui demandaient autant de la patience que de l'habilité.
Mais les dragons n'étaient pas les seuls ennemis des braconniers. Il y avait aussi les êtres humains, et Aleksander devait se parer face à eux également. Il s'entraîna aux duels, comprenant rapidement que la maîtrise de la lame l'aidait à avoir un meilleur maintient et de meilleures réaction lorsqu'il s'agissait de se battre avec la magie.
Cette formation l'avait forcé à s'éloigner de ceux qu'il prenait pour sa famille, dans une sorte de soulagement général. Seule Helen, sa mère, vivait mal cet éloignement, et si Aleks avait su comment il s'était retrouvé chez eux, sans doute aurait-il compris pourquoi. Mais il pensait juste que c'était normal pour une mère de s'inquiéter quand son fils s'éloignait. Heureusement qu'elle ignorait les activités réelles de son fils.
Je me souviens des insultes qui volaient. Des cris et de la douleur dans mon poing quand après l'avoir frappé j'étais sorti.
Définitivement.
Je crois que ce jour là j'ai décelé quelque chose qui s'apparentait à de la tristesse sur son visage. Je ne sais pas très bien, je ne suis pas sûr. Il faut dire, à partir de ce jour-là, je n'étais plus sûr de rien. Je ne savais plus qui j'étais, et je me demandais même si je l'avais su un jour.
La perte d'un parent est toujours difficile.
La perte de soi est une épreuve encore plus rude.
La première hospitalisation avait déjà été un coup dur pour le jeune homme. Proche de sa mère, il avait du mal à supporter l'idée qu'une maladie moldue puisse l'atteindre. Elle était une sorcière, elle n'y était donc pas immunisée ? Apparemment non, ce n'était pas comme ça que ça fonctionnait. Il s'était senti impuissant, et ça ne s'était pas amélioré lors de la seconde hospitalisation de la femme. Il avait insisté alors auprès de son père pour la faire hospitaliser dans le monde sorcier, pour lui donner une chance, mais il avait refusé net, provoquant la colère d'Aleksander. Mais il avait appris à se contrôler, alors il ne craqua pas, ne cria pas, ne le frappa pas malgré l'envie dévorante qui le prenait. Il se demanda plus tard s'il n'aurait pas dû l'implorer pour qu'il cède. Mais il savait que ça n'aurait rien changé. Au contraire.
Lorsque, après une troisième hospitalisation, elle l'appela à son chevet en l'absence de son mari, Aleksander su au fond de lui que quelque chose n'allait pas. Il le sentit dans ses entrailles où une boule s'était formée. Il avait hésité longuement après devant le bureau à la maison, là où elle lui avait dit de chercher. Il se souvient être resté une heure debout devant, avant de s'asseoir sur le fauteuil en cuir de son père, la tête entre les mains. Et puis finalement, il avait ouvert le tiroir et pris l'enveloppe adressée à un nom qu'il ne connaissait pas. Il avait avalé sa salive avant de comprendre. Même s'il n'en avait pas envie, c'était l'évidence.
La mort de sa mère l'empêcha de trouver des réponses à ses questions rapidement. Alors quand un mois plus tard il les trouva, la période de deuil passée, il éclata. Et il tourna le dos à ce qui restait de sa « famille » pour ne plus jamais la revoir, sans doute.
Le choc fut évidemment immense, et il ne se rendit pas tout de suite en Angleterre pour retrouver ses racines. Il était perdu, et il lui fallut un nouveau mois avant de se décider. Un mois qu'il passa sur un bateau de pêche russe quelque part perdu dans la mer. Et lorsqu'il est revenu à la civilisation, il est allé voir ses contacts pour regagner la Grande-Bretagne.
Ce fut difficile, évidemment, parce que quand on a vécu longtemps en Russie, même en étant anglais d'origine, on ne va pas d'un pays à un autre si facilement, surtout avec un tel contexte politique. Alors il fallut mentir un peu. C'est une lettre en main signant son droit à l'exil qu'il pu regagner son pays natal, lettre où il était écrit noir sur blanc que sa vie était mise en danger à cause de son retournement de veste. Parce que désormais, il n'était plus chasseur de dragon.
Et personne n'aime les traîtres, alors il devait partir.
Mais la traîtrise n'était probablement pas contre ceux qu'on le pensait, au final, dans ce double jeu qu'il ménerait par la suite.
Je crois que jamais je n'avais autant aimé la pluie que ce jour là. L'émotion était si vive quand je suis sortie dans les rues qu'elle m'aurait tranché en deux si elle avait été réelle. Nette.
Je crois que j'ai autant aimé cette pluie parce que mes larmes purent se mêler à l'eau qui coulait sur mon visage.
Des guerres civil, il y en a eu, et il y en aura toujours. Mais voir une communauté censé se serrer les coudes face à l'adversité se déchirer, c'est toujours douloureux.
La situation à mon arrivée en Grande Bretagne n'était pas sans me rappeler une histoire, celle du Jugement de Salomon, où chaque mère se réclame avoir toute légitimité sur un enfant.
Sauf qu'aujourd'hui, ces deux mères n'hésiteraient pas à trancher leur enfant en deux.
En arrivant, Aleksander avait lu des journaux. Peu nombreux étaient ceux qui relataient la guerre qui avait commencé depuis quelques années déjà, et la situation semblait encore empirer, malgré ce que le ministère semblait tenter de faire croire. Mais lui désirait savoir, et prit toutes les sources d'information qu'il pu.
Nouveau venu au pays, travaillant avec le ministère plus ou moins officiellement, il ne pouvait pas vraiment prendre parti pour un côté ou pour l'autre, même s'il ne se voyait clairement pas pencher pour un côté ou pour l'autre pour le moment.
Il faut dire, il se trouvait déjà dans une situation délicate sans en rajouter par dessus. Comme déjà dit, il travaillait pour le ministère, notamment en leur fournissant des informations sur le braconnage de dragon. Une place avantageuse pour lui, qui lui permettait d'évoluer autant dans l'ombre que dans la lumière en assurant sa position comme informateur, sans cesser totalement ses activités, loin de là. Mais c'était également une position délicate. Difficile de conserver le qui pro quo qu'il entretenait sans craindre de se faire attraper. Il commença ainsi à s'intéresser à l'occlumancie, sans pouvoir approfondir la chose plus avant jusqu'à présent, plus préoccupé par la quête de ses origines qu'il avait entamé, sans succès jusqu'à présent.
Mais dans ce climat d'hostilité et de paranoïa, il sentait qu'il en aurait besoin, que ça lui serait plus qu'utile. Surtout pour quelqu'un passant son temps entre deux mondes incompatibles et où la méfiance était accrue par la situation politique du pays.
Je ne pouvais pas exposer mes idées.
Car quand je commerçais avec un partisan des idéaux de sang-pur, je devais le respecter ainsi que ses idées. Et quand je me trouvais en présence d'une personne qui se battait pour l'Ordre, je m'abstenais de faire part de ce que je pensais.
Bien sûr, je ne pouvais pas savoir, ce qui rendait les choses d'autant plus délicates et me cloisonnaient à ce mensonge que la population vivait jour après jour sur la situation réelle de la Grande-Bretagne.
Sans oublier que j'appartenais au ministère qui était neutre, alors c'était délicat de même tenter d'en sortir.
Pourtant, c'était un temps de choix, mais rien ne nous permettait d'en faire réellement. C'était comme se trouver dans une prison, sans les barreaux. Et sans mon désir de retrouver ma famille j'aurais sans doute foutu le camp il y a longtemps.
Mais je restais.
Une fois diplômé, quel a été le parcours de votre personnage ? S'est-il marié ? Ou plutôt mourir ? En parlant de mort, quelle répercussions l'ascension du Mage Noir a-t-elle (eu) sur son existence ? La période de transition est terminée, à présent, il faut construire sa vie d'adulte.
Parfois, quand on aime trop quelque chose, tout ce qu'on peut faire, c'est le détruire.
C'était tout ce que je pouvais faire face aux dragons, face à leur liberté. J'avais cette sorte de rage, sans savoir pourquoi.
Peut-être parce que je sentais au fond de moi qu'ils possédaient quelque chose que moi je n'aurais jamais tant que je resterai prisonnier de mes parents.
Loin de mes racines.
Le boulot d'ethnologue n'était pas fait pour lui. Il imaginait sans doute qu'il aurait à aller et venir dehors, qu'il pourrait travailler sur le terrain. C'était du moins ce qu'il avait imaginé quand son ami, fils de son employeur, lui avait exposé la chose avant de le pistonner auprès de son paternel pour obtenir le poste qu'il occupait désormais. Malheureusement, la réalité était toute autre, surtout en tant qu'étudiant-chercheur. Tout ce qu'il faisait, c'était... Hé bien... Chercher. Dans des livres, des tonnes de pages. Il s'était rarement autant usé les yeux. Au point qu'il craignit à un moment devoir porter des lunettes.
Alors autant vous dire que lorsque l'occasion de faire autre chose se présenta, quelque chose de plus palpitant, il n'hésita pas même une seule seconde.
Il lui fallut un peu de temps, mais il parvint à remonter un réseau pour trouver ce qu'il cherchait ; Un maître pour lui apprendre à côtoyer les dragons et à les dominer. C'est un ami, une fois encore, qui l'avait mis sur la voie (quoiqu'ami était peut-être un peu fort, il s'agissait en réalité d'un autre étudiant un peu plus âgé que lui, qui se vantait un peu trop de ses contacts dans le milieu underground) en lui parlant des Braconniers, ceux connus également sous le nom de Chasseur de Dragon.
Il lui apprit notamment à se maîtriser lui-même, à contrôler ses impulsions et à conserver son sang-froid en toute circonstance. Il apprit l'escrime, art indispensable aux yeux du vieux braconnier qui parvenait sans trop de mal à maîtriser le jeune homme à ses débuts. Et ce bien qu'Aleks se révélait beaucoup plus imposant et endurant que l'homme en apparence. Il dû apprendre l'escalade également, car il n'était pas rare que les dragons vivent dans les hauteurs. A vrai dire, c'était même leur environnement de prédilection, car c'était là que faire leur nid était le plus aisé pour eux. Leurs flammes leur permettait de creuser la roche pour se réfugier dans les profondeurs terrestres, là où ils pouvaient trouver des sources de chaleur bienvenue.
Il lui enseigna également les meilleures techniques de chasse, ainsi que les plus rusées, celles qui demandaient autant de la patience que de l'habilité.
Mais les dragons n'étaient pas les seuls ennemis des braconniers. Il y avait aussi les êtres humains, et Aleksander devait se parer face à eux également. Il s'entraîna aux duels, comprenant rapidement que la maîtrise de la lame l'aidait à avoir un meilleur maintient et de meilleures réaction lorsqu'il s'agissait de se battre avec la magie.
Cette formation l'avait forcé à s'éloigner de ceux qu'il prenait pour sa famille, dans une sorte de soulagement général. Seule Helen, sa mère, vivait mal cet éloignement, et si Aleks avait su comment il s'était retrouvé chez eux, sans doute aurait-il compris pourquoi. Mais il pensait juste que c'était normal pour une mère de s'inquiéter quand son fils s'éloignait. Heureusement qu'elle ignorait les activités réelles de son fils.
Je me souviens des insultes qui volaient. Des cris et de la douleur dans mon poing quand après l'avoir frappé j'étais sorti.
Définitivement.
Je crois que ce jour là j'ai décelé quelque chose qui s'apparentait à de la tristesse sur son visage. Je ne sais pas très bien, je ne suis pas sûr. Il faut dire, à partir de ce jour-là, je n'étais plus sûr de rien. Je ne savais plus qui j'étais, et je me demandais même si je l'avais su un jour.
La perte d'un parent est toujours difficile.
La perte de soi est une épreuve encore plus rude.
La première hospitalisation avait déjà été un coup dur pour le jeune homme. Proche de sa mère, il avait du mal à supporter l'idée qu'une maladie moldue puisse l'atteindre. Elle était une sorcière, elle n'y était donc pas immunisée ? Apparemment non, ce n'était pas comme ça que ça fonctionnait. Il s'était senti impuissant, et ça ne s'était pas amélioré lors de la seconde hospitalisation de la femme. Il avait insisté alors auprès de son père pour la faire hospitaliser dans le monde sorcier, pour lui donner une chance, mais il avait refusé net, provoquant la colère d'Aleksander. Mais il avait appris à se contrôler, alors il ne craqua pas, ne cria pas, ne le frappa pas malgré l'envie dévorante qui le prenait. Il se demanda plus tard s'il n'aurait pas dû l'implorer pour qu'il cède. Mais il savait que ça n'aurait rien changé. Au contraire.
Lorsque, après une troisième hospitalisation, elle l'appela à son chevet en l'absence de son mari, Aleksander su au fond de lui que quelque chose n'allait pas. Il le sentit dans ses entrailles où une boule s'était formée. Il avait hésité longuement après devant le bureau à la maison, là où elle lui avait dit de chercher. Il se souvient être resté une heure debout devant, avant de s'asseoir sur le fauteuil en cuir de son père, la tête entre les mains. Et puis finalement, il avait ouvert le tiroir et pris l'enveloppe adressée à un nom qu'il ne connaissait pas. Il avait avalé sa salive avant de comprendre. Même s'il n'en avait pas envie, c'était l'évidence.
La mort de sa mère l'empêcha de trouver des réponses à ses questions rapidement. Alors quand un mois plus tard il les trouva, la période de deuil passée, il éclata. Et il tourna le dos à ce qui restait de sa « famille » pour ne plus jamais la revoir, sans doute.
Le choc fut évidemment immense, et il ne se rendit pas tout de suite en Angleterre pour retrouver ses racines. Il était perdu, et il lui fallut un nouveau mois avant de se décider. Un mois qu'il passa sur un bateau de pêche russe quelque part perdu dans la mer. Et lorsqu'il est revenu à la civilisation, il est allé voir ses contacts pour regagner la Grande-Bretagne.
Ce fut difficile, évidemment, parce que quand on a vécu longtemps en Russie, même en étant anglais d'origine, on ne va pas d'un pays à un autre si facilement, surtout avec un tel contexte politique. Alors il fallut mentir un peu. C'est une lettre en main signant son droit à l'exil qu'il pu regagner son pays natal, lettre où il était écrit noir sur blanc que sa vie était mise en danger à cause de son retournement de veste. Parce que désormais, il n'était plus chasseur de dragon.
Et personne n'aime les traîtres, alors il devait partir.
Mais la traîtrise n'était probablement pas contre ceux qu'on le pensait, au final, dans ce double jeu qu'il ménerait par la suite.
Je crois que jamais je n'avais autant aimé la pluie que ce jour là. L'émotion était si vive quand je suis sortie dans les rues qu'elle m'aurait tranché en deux si elle avait été réelle. Nette.
Je crois que j'ai autant aimé cette pluie parce que mes larmes purent se mêler à l'eau qui coulait sur mon visage.
Des guerres civil, il y en a eu, et il y en aura toujours. Mais voir une communauté censé se serrer les coudes face à l'adversité se déchirer, c'est toujours douloureux.
La situation à mon arrivée en Grande Bretagne n'était pas sans me rappeler une histoire, celle du Jugement de Salomon, où chaque mère se réclame avoir toute légitimité sur un enfant.
Sauf qu'aujourd'hui, ces deux mères n'hésiteraient pas à trancher leur enfant en deux.
En arrivant, Aleksander avait lu des journaux. Peu nombreux étaient ceux qui relataient la guerre qui avait commencé depuis quelques années déjà, et la situation semblait encore empirer, malgré ce que le ministère semblait tenter de faire croire. Mais lui désirait savoir, et prit toutes les sources d'information qu'il pu.
Nouveau venu au pays, travaillant avec le ministère plus ou moins officiellement, il ne pouvait pas vraiment prendre parti pour un côté ou pour l'autre, même s'il ne se voyait clairement pas pencher pour un côté ou pour l'autre pour le moment.
Il faut dire, il se trouvait déjà dans une situation délicate sans en rajouter par dessus. Comme déjà dit, il travaillait pour le ministère, notamment en leur fournissant des informations sur le braconnage de dragon. Une place avantageuse pour lui, qui lui permettait d'évoluer autant dans l'ombre que dans la lumière en assurant sa position comme informateur, sans cesser totalement ses activités, loin de là. Mais c'était également une position délicate. Difficile de conserver le qui pro quo qu'il entretenait sans craindre de se faire attraper. Il commença ainsi à s'intéresser à l'occlumancie, sans pouvoir approfondir la chose plus avant jusqu'à présent, plus préoccupé par la quête de ses origines qu'il avait entamé, sans succès jusqu'à présent.
Mais dans ce climat d'hostilité et de paranoïa, il sentait qu'il en aurait besoin, que ça lui serait plus qu'utile. Surtout pour quelqu'un passant son temps entre deux mondes incompatibles et où la méfiance était accrue par la situation politique du pays.
Je ne pouvais pas exposer mes idées.
Car quand je commerçais avec un partisan des idéaux de sang-pur, je devais le respecter ainsi que ses idées. Et quand je me trouvais en présence d'une personne qui se battait pour l'Ordre, je m'abstenais de faire part de ce que je pensais.
Bien sûr, je ne pouvais pas savoir, ce qui rendait les choses d'autant plus délicates et me cloisonnaient à ce mensonge que la population vivait jour après jour sur la situation réelle de la Grande-Bretagne.
Sans oublier que j'appartenais au ministère qui était neutre, alors c'était délicat de même tenter d'en sortir.
Pourtant, c'était un temps de choix, mais rien ne nous permettait d'en faire réellement. C'était comme se trouver dans une prison, sans les barreaux. Et sans mon désir de retrouver ma famille j'aurais sans doute foutu le camp il y a longtemps.
Mais je restais.
Aleks ne sait pas grand chose, pour ne pas dire rien. Il est aussi aveugle que tout le reste de la population du pays, mais nul doute que s'il en entendait parler, il n'y accorderait pas une grande foi. Les fous sont fous, on y peut rien.
۞ QUEL RAPPORT AVEZ-VOUS AVEC LA DIVINATION ? : [Minimum de ~ 50 mots]
Le brun n'y croit pas nécessairement. Néanmoins, il sait certaines choses qui le poussent à croire qu'il existe bien une sorte de destin. Et donc que la divination est possible en un sens. Mais ça dépend quel genre de divination. Par exemple, pour lui, lire le futur dans les étoiles, c'est des bullshit, pour la simple et bonne raison que ce qui se passe dans l'espace n'a rien à voir avec la terre. Il est loin le temps où on pensait être au centre de l'univers quand même. Et puis que Vénus soit alignée avec Mars est normal, c'est deux points. Deux points sont toujours alignés.
۞ QUE PENSEZ-VOUS DE L'ORDRE DES PHÉNIX ET DES MANGEMORTS ? : [Minimum de ~ 100 mots]
Etant donné les origines d'Aleks, celui-ci voit évidemment d'un mauvais œil les mangemorts. Même sans savoir qu'il est né-moldu, il se croit tout de même sang-mêlé, et en conséquence, il ne supporte pas l'idée qu'on puisse s'en prendre à ceux-ci. Surtout que mine de rien, ils ont apporté pas mal de choses à l'humanité. Bah ouais, un moldu, c'est utile. Et d'ailleurs, Aleksander ne parierait pas nécessairement sur le monde sorcier en cas de guerre entre les deux mondes. Et visiblement le ministère non plus puisque le secret magique international est toujours en vigueur partout dans le monde. Pour faire court, le jeune homme considère les mangemorts comme des crétins sans cervelle (sans parler de leur capacité à penser par eux-même visiblement) qui devraient juste mourir étouffé dans leur propre vomi de connerie. Et comme le dicton très connu le dit : les ennemis de mes ennemis sont mes amis. Il a donc une assez bonne opinion de l'ordre du phénix. Même s'il faut avouer que prendre position, c'est pas trop son truc, et qu'il reste donc assez neutre pour le moment.
۞ AVATAR : Henry Cavill ۞ DOUBLE COMPTE ? Non. ۞ PRÉNOM OU PSEUDO :Sylence ۞ ÂGE DU JOUEUR : 20 ans ۞ COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? PRD, la recherche de Célène ۞ COMMENT TROUVEZ-VOUS LE FORUM ?J'espère un design plus clair à l'avenir, mais dans l'ensemble j'aime bien :3 ۞ PRÉSENCE SUR LE FORUM : 5 jours sur 7 à priori. Minus mes heures de cours et quand je dors x) |
Dernière édition par Aleksander Greystock le Jeu 21 Nov - 1:43, édité 20 fois
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Re: Aleksander Greystock || Fini
Bienvenue parmi nous petit galopin. Au plaisir de lire ta fiche et de retrouver en jeu. A bientôt !
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Re: Aleksander Greystock || Fini
Bienvenue officiellement !
- range les chaînes pour ne pas faire fuir le petit nouveau -
Bonne chance pour ta fiche et n'hésite pas si tu as la moindre question, à me contacter moi ou un autre membre du Staff !
Ps : Attention à l'âge d'Aleks, il a 25 ans maintenant puisqu'il est d'octobre 1953 ^^
- range les chaînes pour ne pas faire fuir le petit nouveau -
Bonne chance pour ta fiche et n'hésite pas si tu as la moindre question, à me contacter moi ou un autre membre du Staff !
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Célène Fraser- Drama Queen Serial Kickeuse
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Re: Aleksander Greystock || Fini
Merci Célène n_n
Ah en effet, je n'y avais pas pensé pour l'âge /o/ C'est donc modifié =)
Merci Shawn de ton accueil o/
Ah en effet, je n'y avais pas pensé pour l'âge /o/ C'est donc modifié =)
Merci Shawn de ton accueil o/
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Re: Aleksander Greystock || Fini
Bienvenue cher condisciple!
Bon courage pour la rédaction de ta fiche
Bon courage pour la rédaction de ta fiche
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Re: Aleksander Greystock || Fini
Bienvenue parmi nous ! ^^
Bonne chance pour la suite de ta fiche. ^^
Bonne chance pour la suite de ta fiche. ^^
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Re: Aleksander Greystock || Fini
Merci à vous trois, Morrigan, Viktoria et Eliot pour votre accueil
Edit : fiche finie o/
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Re: Aleksander Greystock || Fini
Bienvenue sur Crépu !
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Dorion Volk- Terreur de Bouillie
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Re: Aleksander Greystock || Fini
C'est Célène qui est chanceuse dis donc!! Et PRD semble un bon ami aussi!
On s'occupe de toi rapidement
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Re: Aleksander Greystock || Fini
Dorion, merci de ton accueil, et en réponse à ton spoiler :
Merci Nicholaus n_n J'espère que ma fiche ira en tout cas o/
- Spoiler:
Merci Nicholaus n_n J'espère que ma fiche ira en tout cas o/
Invité- Invité
Re: Aleksander Greystock || Fini
Bienvenu beau gosse Aleksander !
Au plaisir de te voir en jeu ^^
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Basil Cavendish- Messages : 356
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Re: Aleksander Greystock || Fini
Bon alors, autant le dire carrément : on aime vraiment beaucoup ta fiche ! Tu as un style très agréable à lire et on se laisse transporter par l'histoire que tu nous racontes. :nyeux:Le scénario a été bien intégré et l'essentiel du contexte aussi.
Néanmoins, comme on est un peu pointilleux sur les bords, il y a deux trois petites choses qu'il va falloir corriger avant qu'on puisse te valider.
Néanmoins, comme on est un peu pointilleux sur les bords, il y a deux trois petites choses qu'il va falloir corriger avant qu'on puisse te valider.
On suppose que c'est une erreur de formulation puisque par la suite, on sent bien l'attachement d'Aleksander pour sa mère adoptive, mais au cas où, on te le signale pour que tu puisses le modifier.Aleksander Greystock a écrit:Il ne savait pas pourquoi il défendait son père qu'il détestait autant que sa mère, d'ailleurs.
Tu as très bien saisi le principe du scénario, cela manque juste de transition. Il nous faudrait quelques petites explications (comment il a accédé à cette formation d'ethnologue, grâce à qui, puis grâce à qui encore il s'est tourné vers le braconnage ...). Bien sûr, inutile d'en faire un pavé, simplement un petit peu plus développé pour ne pas passer du coq à l'âne (ou des bouquins au terrain).Aleksander Greystock a écrit:Le boulot d'ethnologue n'était pas fait pour lui. Il imaginait sans doute qu'il aurait à aller et venir dehors, qu'il pourrait travailler sur le terrain. La réalité était toute autre, surtout en tant qu'étudiant chercheur. Tout ce qu'il faisait, c'était... Hé bien... Chercher. Dans des livres, des tonnes de pages. Il s'était rarement autant usé les yeux. Au point qu'il craignit à un moment devoir porter des lunettes.
Alors autant vous dire que lorsque l'occasion de faire autre chose se présenta, quelque chose de plus palpitant, il n'hésita pas même une seule seconde.
Il lui fallut un peu de temps, mais il parvint à remonter un réseau pour trouver ce qu'il cherchait ; Un maître pour lui apprendre à côtoyer les dragons et à les dominer.
Alors on n'a rien contre le fait que le jeune homme ait eu quelques nécessités à apprendre l'escrime pour défendre contre les bestioles dangereuses auxquelles il avait affaire (sachant que les dragons sont assez résistants à la magie et qu'en effet, ils doivent posséder des points sensibles accessibles aux armes blanches). Attention tout de même ! Ces créatures sont extrêmement résistantes, aux matériaux moldus en particulier, donc à nuancer.
De même, on ne comprend pas pourquoi il aurait besoin de se servir d'armes à feu. Les autres braconniers auxquels il a affaire sont des sorciers, donc ils utilisent leurs baguettes généralement. Sans compter qu'Aleksander est un peu jeune. Magie + escrime + armes à feu, ça fait un peu trop. Nous te conseillons de garder la maîtrise des armes blanches, ce sera déjà bien suffisant.
Les motivations d'Aleksander sont certes très bonnes pour vouloir (r)entrer dans un pays en guerre, mais là encore, cela manque d'explication. Comment a-t-il négocié son transfert du Ministère Russe à celui d'Angleterre ? Il serait bien de parler de la lettre attestant faussement que sa vie était en danger là-bas et des petites magouilles qui l'ont permis.
Alors il faut savoir que les médias, à l'exception du "Wizards War True" Lies et du "The True War", sont contrôlés par le Ministère. Donc, quand un étranger débarque sur le sol anglais et lit les journaux, en apparence, le Ministère semble très bien maîtriser la situation face aux Mangemorts, minimisent leurs actes etc.Aleksander Greystock a écrit:En arrivant, Aleksander avait lu des journaux. Nombreux étaient ceux qui relataient la guerre qui avait commencé depuis quelques années déjà, et la situation semblait encore empirer. Nouveau venu au pays, travaillant avec le ministère plus ou moins officiellement, il ne pouvait pas vraiment prendre parti pour un côté ou pour l'autre, même s'il ne se voyait clairement pas pencher pour un côté ou pour l'autre pour le moment.
Après, étant là depuis quelques mois, il a pu tomber sur un exemplaire du Wizards et découvrir d'autres facettes ou, plus récemment, tomber sur les fameux tracts Mangemorts et leur journal, ce qui lui permettrait de prendre la mesure "réelle" de ce qui se passe vraiment dans le pays.
Ce n'est pas vraiment une correction à faire en soit (à part les premières phrases), plutôt quelque chose qu'on préfère t'indiquer et qui pourra t'être utile pour la suite et IRP.
Alors attention : oui Aleksander travaille plus ou moins dans l'ombre et non, il ne fréquente pas forcément que du beau monde mais, comme tu le dis, il reste un fonctionnaire du Ministère. Autrement dit, il sait qu'être Mangemort est illégal et que les Phénix risquent également des ennuis. Les sorciers vont donc pouvoir se montrer plus " du côté de telle Organisation ", mais aucun n'ira se vanter d'y appartenir s'il tient à sa tête, surtout pas devant un petit nouveau.Aleksander Greystock a écrit:
Je ne pouvais pas exposer mes idées. Car quand je commerçais avec un partisan des idéaux de sang-pur, je devais le respecter ainsi que ses idées. Et quand je me trouvais en présence d'une personne qui se battait pour l'Ordre, je m'abstenais de faire part de ce que je pensais. J'appartenais au ministère qui était neutre, alors c'était délicat.
Il doit donc taire pas mal de choses, surtout s'il ne veut pas faire de vagues, sauf qu'à ce niveau-là, théoriquement, il ne devrait pas avoir trop de soucis.
Les Crépusculaires sont des cas extrêmement rares, donc s'il n'a pas été en contact avec l'un d'eux ou n'a pas fait de recherches par rapport à ça, pour le moment, il n'en sait tout simplement rien. Disons que ce ne sont pas des cas qui méritent des rumeurs. Pour le moment, du moins ...Aleksander Greystock a écrit:
Il a entendu des rumeurs, des bruits de couloirs, mais il n'y accorde pas une foi immense. Pour lui c'est des légendes urbaines un peu superstitieuses [...]
Voilà ! Alors ça peut paraître long et conséquent quand on voit ce gros pavé mais en réalité, ce sont vraiment de petites choses, donc ne prend pas peur. Comme dit, nous avons bien vu que nous avions affaire à une fiche de qualité.
Une fois toutes ces petites modifications faites, nous te validerons avec plaisir !
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Re: Aleksander Greystock || Fini
Alors, concernant la première phrase, elle est effectivement ambiguë, mais c'est dans le sens qu'il protège son père autant que sa mère alors qu'il déteste ce premier. J'ai apporté une petite modif à la phrase qui devrait clarifier la choses.
Pour les armes à feu, j'ai viré, même si à mes yeux, c'est plus pratique d'utiliser ça dans la mesure où je doute que les boucliers type protego soient fait pour arrêter les balles (sans parler du fait que le temps entre l'arrivée d'un sort et d'une balle est pas le même xD). Mais bon, tant pis. Pour l'épée, j'ai assez dans l'idée de proposer un sort une fois validée où en gros la baguette prend la forme d'une épée d'escrime justement, ou quelque chose dans le genre, vu que je pars du principe que les légendes des chevaliers bravant les dragons à l'épée sont en partie réalité dans le monde d'HP, et donc que ça reste une sorte de technique un peu ancestrale à laquelle certains du milieu sont attachés (ou quelque chose comme ça, mais je peux me tromper hein).
Et pour le reste c'est modifié/ajouté, toussa toussa o/
Les modifs en question :
Phrase ambiguë
Pour les armes à feu, j'ai viré, même si à mes yeux, c'est plus pratique d'utiliser ça dans la mesure où je doute que les boucliers type protego soient fait pour arrêter les balles (sans parler du fait que le temps entre l'arrivée d'un sort et d'une balle est pas le même xD). Mais bon, tant pis. Pour l'épée, j'ai assez dans l'idée de proposer un sort une fois validée où en gros la baguette prend la forme d'une épée d'escrime justement, ou quelque chose dans le genre, vu que je pars du principe que les légendes des chevaliers bravant les dragons à l'épée sont en partie réalité dans le monde d'HP, et donc que ça reste une sorte de technique un peu ancestrale à laquelle certains du milieu sont attachés (ou quelque chose comme ça, mais je peux me tromper hein).
Et pour le reste c'est modifié/ajouté, toussa toussa o/
Les modifs en question :
Phrase ambiguë
Détails attribution du poste d'ethnologue + comment il a décidé de chercher un maître chasseur de dragonIl ne savait pas pourquoi il défendait son père qu'il détestait tant autant que sa mère, d'ailleurs.
Suppression arme à feu + justification supplémentaire escrimeLe boulot d'ethnologue n'était pas fait pour lui. Il imaginait sans doute qu'il aurait à aller et venir dehors, qu'il pourrait travailler sur le terrain. C'était du moins ce qu'il avait imaginé quand son ami, fils de son employeur, lui avait exposé la chose avant de le pistonner auprès de son paternel pour obtenir le poste qu'il occupait désormais. Malheureusement, la réalité était toute autre, surtout en tant qu'étudiant-chercheur.
[...]
Il lui fallut un peu de temps, mais il parvint à remonter un réseau pour trouver ce qu'il cherchait ; Un maître pour lui apprendre à côtoyer les dragons et à les dominer. C'est un ami, une fois encore, qui l'avait mis sur la voie (quoiqu'ami était peut-être un peu fort, il s'agissait en réalité d'un autre étudiant un peu plus âgé que lui, qui se vantait un peu trop de ses contacts dans le milieu underground) en lui parlant des Braconniers, ceux connus également sous le nom de Chasseur de Dragon.
Transfert chez les sassenachMais les dragons n'étaient pas les seuls ennemis des braconniers. Il y avait aussi les êtres humains, et Aleksander devait se parer face à eux également. Il s'entraîna aux duels, comprenant rapidement que la maîtrise de la lame l'aidait à avoir un meilleur maintient et de meilleures réaction lorsqu'il s'agissait de se battre avec la magie.
Les journauxEt lorsqu'il est revenu à la civilisation, il est allé voir ses contacts pour regagner la Grande-Bretagne.
Ce fut difficile, évidemment, parce que quand on a vécu longtemps en Russie, même en étant anglais d'origine, on ne va pas d'un pays à un autre si facilement, surtout avec un tel contexte politique. Alors il fallut mentir un peu. C'est une lettre en main signant son droit à l'exil qu'il pu regagner son pays natal, lettre où il était écrit noir sur blanc que sa vie était mise en danger à cause de son retournement de veste. Parce que désormais, il n'était plus chasseur de dragon.
Et personne n'aime les traîtres, alors il devait partir.
Mais la traîtrise n'était probablement pas contre ceux qu'on le pensait, au final, dans ce double jeu qu'il ménerait par la suite.
Ministère et factionsEn arrivant, Aleksander avait lu des journaux. Peu nombreux étaient ceux qui relataient la guerre qui avait commencé depuis quelques années déjà, et la situation semblait encore empirer, malgré ce que le ministère semblait tenter de faire croire. Mais lui désirait savoir, et prit toutes les sources d'information qu'il pu.
CrépusculairesJe ne pouvais pas exposer mes idées.
Car quand je commerçais avec un partisan des idéaux de sang-pur, je devais le respecter ainsi que ses idées. Et quand je me trouvais en présence d'une personne qui se battait pour l'Ordre, je m'abstenais de faire part de ce que je pensais.
Bien sûr, je ne pouvais pas savoir, ce qui rendait les choses d'autant plus délicates et me cloisonnaient à ce mensonge que la population vivait jour après jour sur la situation réelle de la Grande-Bretagne.
Sans oublier que j'appartenais au ministère qui était neutre, alors c'était délicat de même tenter d'en sortir.
Pourtant, c'était un temps de choix, mais rien ne nous permettait d'en faire réellement. C'était comme se trouver dans une prison, sans les barreaux. Et sans mon désir de retrouver ma famille j'aurais sans doute foutu le camp il y a longtemps.
Mais je restais.
Aleks ne sait pas grand chose, pour ne pas dire rien. Il est aussi aveugle que tout le reste de la population du pays, mais nul doute que s'il en entendait parler, il n'y accorderait pas une grande foi. Les fous sont fous, on y peut rien.
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Re: Aleksander Greystock || Fini
Tu viens d'intégrer Crépuscule !
Et voilà, c'est tout bon et donc, avec plaisir qu'on t'accueille parmi nous !
D'après tes informations dans ta fiche, même si Aleksander n'a pas été à Poudlard, on présume que tu soutiens les Gryffondors. Aussi, les PP que tu gagneras à l'avenir leur seront attribués. Mais si cela ne te convient pas, n'hésite pas à nous le faire savoir.
Tu rejoins le groupe du
Ministère .
Tu rapportes également 10 Points de Poudlard aux Gryffondors.
Tu peux d'ores et déjà créer ta fiche de lien & commencer à rédiger ton carnet de bord. Nous t'invitons également à remplir tous les champs de ton profil, mais surtout, à bien fouiner notre forum, car bien d'autres sujets s'offrent à toi !
Et voilà, c'est tout bon et donc, avec plaisir qu'on t'accueille parmi nous !
D'après tes informations dans ta fiche, même si Aleksander n'a pas été à Poudlard, on présume que tu soutiens les Gryffondors. Aussi, les PP que tu gagneras à l'avenir leur seront attribués. Mais si cela ne te convient pas, n'hésite pas à nous le faire savoir.
Tu rejoins le groupe du
Tu rapportes également 10 Points de Poudlard aux Gryffondors.
Tu peux d'ores et déjà créer ta fiche de lien & commencer à rédiger ton carnet de bord. Nous t'invitons également à remplir tous les champs de ton profil, mais surtout, à bien fouiner notre forum, car bien d'autres sujets s'offrent à toi !
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